En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Sylvie Brunet-Grupposo

La version proposée salle Favart revient aux intentions initiales d'Offenbach mais le texte parlé s'avère peu convaincant. Musicalement, Michael Spyres, souvent magistral, incarne un Hoffmann plein d'humanité.

Si la mise en scène de Tobias Kratzer n'est pas dépourvue d'incohérences, elle réserve tout de même de grands moments de spectacle. Et la distribution tient son rang, emmenée par un grand Pene Pati.

Dans la mise en scène bien connue de Robert Carsen, le ténor français crève l'écran dans le rôle-titre de l'opéra d'Offenbach, au sein d'une distribution très satisfaisante.

Après un mois et demi d'annulations successives, l'Opéra de Paris a rouvert ses portes pour l'œuvre d'Offenbach, dans la célèbre mise en scène de Robert Carsen, toujours aussi ingénieuse.

Les Contes d’Hoffmann reviennent à La Monnaie. Si la mise en scène hollywoodienne de Krzysztof Warlikowski montre ses limites, l'interprétation musicale n'appelle que des éloges.

L’opéra Iolanta et le ballet Casse-Noisette sont réunis dans une co-création d’envergure qui rassemble les talents du scénographe Dmitri Tcherniakov et des chorégraphes Sidi Larbi Cherkaoui, Edouard Lock et Arthur Pita.

Il est tentant de plaquer sur l’essence poétique du livret de Maeterlinck, à la fois illogique et cohérent, des relectures, des idées de mise en scène ou des projections plus ou moins pertinentes – en bref : de rationnaliser un propos laissé volontairement à l’imagination. 

Proposition étonnante, la programmation des deux oeuvres dans une même soirée fait le pari des contrastes, mais parvient difficilement à se tenir à distance d'un traitement narratif très vertical et moralisateur.

L'Opéra de Marseille ouvre sa saison avec une production d'Hamlet d'Ambroise Thomas encore perfectible mais également pleine d'éléments positifs. 

Surréaliste, psychanalytique, ce Pélléas et Mélisande l’est donc assurément. Mais c’est peut-être sa naïveté, sa tendresse presque enfantine, qui l’emporte.

La mise en scène déconcertante de Christophe Honoré n’arrive pas à la cheville de la direction musicale de Kazushi Ono.

On ressort plutôt perplexe de cette nouvelle production de l'unique opéra de Paul Dukas avec Olivier Py à la mise en scène. 

Zwar litt die Inszenierung an bekannten oder braven Wirrungen, doch überzeugten Gesangs- und Instrumentalensembles mit kontrastreicher, kräftiger und griffiger Sprache in trüben Zeiten.

Hamlet lives! Ambroise Thomas' operatic take on The Bard has a particularly French ending but that doesn't spoil this terrific revival in Paris. 

Despite a great cast led by Marina Rebeka, La Fura dels Baus's unambitious approach to the myth of Faust and Dan Ettinger's noisy conducting prevent a brighter season opening at the Teatro Real.

Despite its failings, La Monnaie turn Gaspare Spontini's 1805 La vestale into a fascinating evening's opera.

Hans von Bülow taunted that Verdi’s Requiem was just another of his operas “in ecclesiastical garb’”. It’s difficult to disagree when dispatched with as much operatic fervour as Antonio Pappano mustered here.