En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Anthea Pichanick

Un Stabat Mater de Pergolèse incandescent, d’une intensité pénétrante, redevable à des instrumentistes et une direction inspirés, et à deux solistes au profil vocal parfaitement complémentaire.

La zarzuela renaît dans un univers de fantaisie absolument épatant, avec une distribution exemplaire et les textures formidables du Poème Harmonique de Vincent Dumestre.

L’Opéra National de Lorraine transpose avec succès l’opéra bouffe de Rossini.

Marc Minkowski et ses musiciens décidément irréprochables connaissent en effet le verbe mozartien sur le bout des doigts, et en conjuguent avec le même plaisir manifeste l’intranquille sensualité, le délicat tumulte et le lyrisme résigné. 

Il suffit parfois de quelques voix bien choisies pour qu'une œuvre prenne son envol.

Recréation française du Mitridate Eupatore d'Alessandro Scarlatti au festival de Beaune. Une composition musicale parfois austère, une œuvre politique audacieuse dans le traitement de ses personnages

Une soirée avec le Concert de l'Hostel Dieu à Saint Bonaventure de Lyon, c’est un véritable tableau vivant de la musique baroque. N’imaginerait-on pas ainsi l’Avent en Saxe, dans un sanctuaire médiéval, le maître de Leipzig à son clavecin, dirigeant une maîtrise dans l’une de ses cantates ?

Le « Concert de la nature » fait redécouvrir un haut-lieu de la musique et de l’architecture lyonnaises.

L'orchestre Les Accents et de magnifiques voix emportent l'adhésion du public au Festival Baroque et Romantique de Beaune avec Tamerlano de Vivaldi, dans une version de concert et originale de Thibault Noally.

Un Haendel tout aussi sensible que festif par le Concert de l’Hostel Dieu à l’Église Saint-Bonaventure.

L’Église Saint-Vincent de Lyon résonne de plain-chant et de filigrane orchestral.

Les Siècles Romantiques sous Jean-Philippe Dubor rallument la braise du Stabat Mater de Dvořák 

Thibault Noallys Ensemble und Cast beeindruckten knackig und theatralisch in Alessandro Scarlattis Oper, die hoffentlich nicht die letzte und so hervorragend ausgeführte niederländische Barockpremiere der Neuzeit bleibt.

Das römische Ensemble unter dem lässigen Dirigat Montanaris bot eine naturgemäß leichtgängige, nicht überladene Serenaden-Auszeit, die Hasses exzellentem Ruf und Stil ziemlich gerecht wurde.

Eine verheißungsvolle Kraft der Tonsprache Monteverdis, der nur ein minimales Quäntchen zur Ergriffenheitsschwelle fehlte für den Olymp.