En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Robby Duiveman

Le rare opéra de Charpentier bénéficie de l'incarnation proche de l'idéal d'Elsa Dreisig dans le rôle-titre, dans une mise en scène de Christof Loy qui joue habilement avec l'intrigue de cet ouvrage à la Zola.

Sous la direction convaincante de Gustavo Dudamel, l'interprétation de Saioa Hernández est remarquable dans le rôle-titre, mais une direction d'acteur erratique et la petite forme de Joseph Calleja tempèrent le succès espéré.

L'inégale Tosca de Pierre Audi est de retour à l'Opéra de Paris. Portée par un duo remarquable et un orchestre formidablement mené par Dan Ettinger.

Cette adaptation par Ezra Pound de deux pièces de théâtre nô, devient dans les mains de Kaija Saariaho un véritable manifeste d’épure théâtrale et de poésie musicale.

Très attaché à la représentation picturale, Pierre Audi signe ici une mise en scène relativement classique, efficace, laissant libre champs à l’attention portée aux voix plutôt qu’aux divers éléments qui composent les décors, très figuratifs.

À travers la nouvelle mise en scène de Pierre Audi, l'oeuvre de Puccini prend une dimension singulièrement symbolique. Le tout servi par une distribution remarquable.

Massenet’s take on Goethe’s blockbuster novella of unrequited love and suicide is handled with great subtlety by Christof Loy and Marc Leroy-Calatayud. Benjamin Bernheim and Marina Viotti lead a starry vocal cast.

Christof Loy ist eine glaubhafte psychologische Durchdringung der Handlung und ihrer Protagonisten gelungen, die in jeder Sekunde aus der Musik heraus empfunden ist.

Dutch National Opera revives Pierre Audi's acclaimed Die Walküre for the very last time.

Kaija Saariaho's delightful but unchallenging fourth opera comes to Madrid with the same crew of the world première and Davone Tines, Philippe Jaroussky and Nora Kimball-Mentzos in the leading roles

The transfer of last year's Clemenza di Tito from Salzburg delights and irritates in equal measure.

In a successfully streamlined staging, Stefano Landi’s obscure, overpopulated opera got the royal treatment by a superior cast and orchestra.

Lange hat man Mozart in Salzburg nicht mehr so mitreißend erlebt. Mit dem neuen Titus gelingt Neo-Intendant Markus Hinterhäuser ein Coup, der erhoffen lässt, dass sich Salzburg einer neuen goldenen Ära entgegenbewegt.

Englishman Laurence Dale’s Göttingen Festival production of Handel’s Agrippina, now presented in the second Brisbane Baroque Festival, is based on the political void between appearance and reality. 

Philippe Jaroussky stars in a new Kaija Saariaho—Peter Sellars collaboration: Only the Sound Remains. Not since Written on Skin has modern opera thrilled with such intensity.