Live, Video: Find classical music concert, opera, ballet and dance reviews | Marie-Henriette Reinhold

Jay Scheib spices up the visual experience with digital content in his production of Parsifal. Sounds good. But is it?

The plot thickens as "episode two" of Bayreuth's new Ring muddies the waters of Siegfried’s paternity and Wotan comes to regret his actions.

Despite its enigmatic details, Bayreuth's Parsifal reaches a cathartic climax. 

Dernier opus de la Tétralogie, le Crépuscule des dieux s'avère plutôt convaincant scéniquement. Vocalement, les chanteurs rendent justice à la musique de Wagner, malgré des signes de fatigue.

Dans ce deuxième épisode de la Tétralogie, le plateau s'épanouit tandis que la mise en scène, toujours efficace, montre peu à peu ses limites.

Pour ce premier tableau du Ring, Valentin Schwarz avance une vision parfois comique mais toujours cohérente de L'Or du Rhin. Musicalement, Ólafur Sigurdarson se distingue dans le rôle d'Alberich.

La production est de retour à Bayreuth, avec les avantages et les inconvénients de son dispositif de réalité augmentée, et surtout une interprétation musicale de très haut vol.

Der Dirigent Giovanni Antonini erzielte mit einem homogenen Vokalquartett, der Zürcher Sing-Akademie und dem Tonhalle-Orchester Zürich eine Interpretation von Beethovens C-Dur-Messe, die das Werk in den historischen Kontext stellte.

Der konzertante Parsifal ist 2021 die einzige Vorstellung unter Leitung Christian Thielemanns. Er schaffte es, den Abend zu etwas ganz besonderen zu machen.

Wagners Oper und eine Kunstperformance von Hermann Nitsch finden am Grünen Hügel gleichzeitig, aber nicht immer aufeinander abgestimmt statt; musikalisch und optisch wird dabei aber durchaus Schönes geboten.

La Sinfónica de Galicia cierra una racheada temporada de conciertos junto al Coro y la Orquesta Intantil en un emocionante concierto.

Una composición cuyo rasgo fundamental es su dulzura y su delicadeza que se introducen y conviven con la seriedad del momento narrado, esto es, el nacimiento de Jesús de Nazareth.

Trotz höchsten Niveaus verhindern fehlende Feinkontrastierung und eine anfängliche große Enttäuschung einen packenderes Konzerterlebnis.

Herreweghe tient son affaire, la lecture est claire d’architecture comme de propos. Et même si le dessin porte parfois quelques ratures, l’équilibre sculptural et la cambrure des attaques restent irrésistibles. On ne croyait pas pouvoir ressentir autant de punch, autant de fulgurance dans cette musique fortement hiératique.