En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Étienne Pluss

Le rare opéra de Charpentier bénéficie de l'incarnation proche de l'idéal d'Elsa Dreisig dans le rôle-titre, dans une mise en scène de Christof Loy qui joue habilement avec l'intrigue de cet ouvrage à la Zola.

Ce trittico fera date, grâce à un travail d’équipe exceptionnel d’où se distinguent notamment Christof Loy, Carlo Rizzi et l’incroyable Asmik Grigorian dans les trois rôles féminins de l’ouvrage.

Dans son dernier opéra, le compositeur s'aventure vers la contemplation, tandis que le metteur en scène n'hésite pas à aller à l'encontre de la partition...

Formidable dans le rôle-titre, Stéphane Degout emmène une très belle distribution, sous la baguette excellente de Daniele Rustioni et dans une mise en scène intelligente signée Richard Brunel.

Le chef et le metteur en scène reconstituent librement l'opéra de Jean-Philippe Rameau daté de 1733, sur un livret de Voltaire, dont la partition est perdue. Une proposition aussi puissante que pertinente.

Après Salomé, Lydia Steier signe une nouvelle mise en scène forte, dans un ouvrage de Spontini qui mérite son retour à Paris, surtout quand il est porté par une belle distribution.

La mise en scène de Claus Guth laisse encore une fois sceptique voire irrite, tandis que la direction musicale de Michele Mariotti déçoit. Aylin Pérez compose en revanche une Mimi touchante.

Le dernier opéra du compositeur liégeois est une perle qui associe irrévérence et subtilité, bien défendue par la mise en scène de Richard Brunel et l'ensemble des interprètes.

Dans une mise en scène épurée, Asmik Grigorian est la grande triomphatrice de la production ; sous la direction de Franz Welser-Möst, les Wiener Philharmoniker sont au meilleur de leur forme.

En création mondiale au Festival d'Aix-en-Provence, Il viaggio, Dante du compositeur français échoue à transmettre la dimension poétique de l'œuvre originelle et bascule dans des ressorts psychologiques dignes d'une série TV.

L'Opéra national de Lorraine accueille la production foisonnante de Rigoletto mis en scène par Richard Brunel, avec un casting vocal particulièrement brillant et une direction musicale tirée au cordeau.

Difficile de comprendre réellement comment a pu naître, dans l’esprit du metteur en scène allemand, un rapprochement aussi saugrenu. C’est pourtant dans un vaisseau spatial, puis sur la terre lunaire, que l’action de La bohème se déroule.

Claus Guth's new production at the Metropolitan Opera, originally seen at the Bolshoi in 2021, moves the action from biblical Judea to the era of the opera's composition. 

A traditional staging by Romain Gilbert is welcomed at the Teatro di San Carlo, with a glittering line-up of soloists. 

Claus Guths neue Turandot mit psychologischem Tiefgang wird bejubelt, lässt andere aber eher unbefriedigt zurück. Asmik Grigorian und Jonas Kaufmann brillieren in ihren jeweiligen Rollendebüts.

Claus Guth's staging walks a line between atmosphere and audacity, in a powerful company achievement from Latvian National Opera.

Puccinis Commedia lirica erscheint in Zürich als Schweizerische Erstaufführung. Ermonela Jaho ist eine fabelhafte Hauptdarstellerin, Christof Loy bietet eine schlüssige Inszenierung und Marco Armiliato lässt Italianità vom Feinsten erklingen. 

A delayed season opening at the Teatro di San Carlo, but a night of epic grand opera as Claus Guth and Juraj Valčuha deliver a weighty Don Carlo.

Argentinian film director Damián Szifron's production is lauded in Naples, as are star soloists Anita Rachvelishvili and Brian Jagde.

Director Claus Guth's new production for the Staatsoper Berlin is a bit of a mixed bag but the evening succeeds more on its musical merits, with a splendid ensemble of singers and orchestra conducted by Sir Simon Rattle.

Das Opernhaus des Jahres präsentiert zwei Werke des Barockkomponisten Pergolesi.

Ein halbes Jahr später als ursprünglich geplant konnte die Grazer Erstaufführung von Mieczysław Weinbergs Werk nun endlich stattfinden; eine Premiere, die packt und bewegt.

Daniel Barenboim conducts an underwhelming cast in the Staatsoper's new Samson et Dalila, and Argentinian director Damián Szifron's operatic debut is stale and cliché-ridden.