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Les absents ont eu tort de manquer un très beau programme classique viennois, avec une soprano en état de grâce et un chef inspiré, suivi avec enthousiasme par des musiciens volontaires et disciplinés.

À la tête des forces associées de l'Orchestre Symphonique de la Monnaie et du Belgian National Orchestra, le chef évite l'écueil d'une flamboyance superficielle dans cette œuvre aux effectifs monumentaux.

La création belge de Eco… del vuoto de la compositrice Annelies Van Parys a ouvert de fort belle manière la saison nouvelle, mais le reste de la soirée fut moins enthousiasmant.

Au violon dans Mozart et à la baguette dans les Tableaux d'une exposition, le premier chef invité du Belgian National Orchestra a mené une belle « Symphonic Hour » devant une salle comble.

Si le pianiste a offert une interprétation de haute tenue d'une œuvre (trop) rare, le Belgian National Orchestra et son directeur musical ont malheureusement déçu dans la célèbre Cinquième de Tchaïkovski.

Dans un programme qui sortait des sentiers battus et avec un soliste-surprise (Stephen Waarts remplaçant au pied levé Christian Tetzlaff), le BNO et son chef associé ont suscité l'enthousiasme.

Sous la direction à la fois soignée, claire et ferme du chef britannique Ian Page, solistes, chœur et orchestre ont livré une interprétation à la fois énergique et sensible de l'œuvre de Haendel.

Après un Lorenzo Gatto comme toujours d'une grande élégance dans le Troisième Concerto pour violon de Saint-Saëns, l'orchestre belge s'est distingué dans la pourtant complexe Symphonie n° 8 de Chostakovitch.

Chef et orchestre ont donné à cette musique extraordinaire toute sa dimension cosmique sans céder à la tentation d'effets spectaculaires inutiles.

Le jeune violoniste suédois a proposé une interprétation purement extraordinaire du Concerto de Mendelssohn, avant une convaincante Quatrième Symphonie de Brahms.

Hugh Wolff et le Belgian National Orchestra naviguent brillamment dans Mozart, Berlioz et Mendelssohn mais se révèlent vraiment avec les Rückert Lieder de Mahler aux côtés de Véronique Gens.

Pour son grand retour auprès du Belgian National Orchestra qui retrouvait par la même occasion son ancien directeur musical, Hilary Hahn subjugue.

Invité pour la première fois à diriger le Belgian National Orchestra, le chef-compositeur montre son double talent en compagnie d'un excellent Kirill Gerstein.

Lise de la Salle, le Belgian National Orchestra et Stanislav Kochanovsky ont offert de très belles interprétations d'un grand concerto du répertoire encadré de deux œuvres rares.

Quelle alchimie pour une première rencontre ! Après un concerto de Liszt interprété par un Jean-Yves Thibaudet au sommet, la Shéhérazade de Lionel Bringuier et du BNO fut une merveille.

La précision d'Aziz Shokhakimov magnifie Ravel et Beethoven quand Patricia Kopatchinskaja, pieds nus et survoltée, fait du Premier Concerto pour violon de Mendelssohn un moment inoubliable.

À Bozar, le Belgian National Orchestra et le chef Antony Hermus impressionnent autant dans le classicisme de Schubert que dans l'irréductible étrangeté de Sibelius.

Rarement donnée en concert, l'ouvrage beethovenien a bénéficié d'une interprétation extraordinaire sous la baguette du maestro américain.

La démesure de Hugh Wolff bouscule et émeut dans la Symphonie n° 2 de Mahler, portée par un orchestre et un grand chœur en état de grâce. 

Dans le cadre du Nordic Festival, le Belgian National Orchestra a fait honneur aux musiques de Sibelius, Grieg et Nielsen sous la baguette inspirée de Michael Schønwandt. Dans le concerto, Khatia Buniatishvili n'a pas convaincu.

BOZAR, Bruxelles. Ray Chen excelle dans le Concerto de Tchaikovsky. La Première symphonie de Brahms en revanche se décevante.

Antony Hermus searches for menace and intrigue in the BNO's programme in Amsterdam's Concertgebouw. 

Josep Vicent decepciona al frente de la Belgian National Orchestra en Ibermúsica.

Roberto González-Monjas conducts the Belgian National Orchestra, joined by Paul Lewis, in Manchester's Bridgewater Hall.

Stanislav Kochanovsky, Nikolai Lugansky and the Belgian National Orchestra impress with an all-Russian triple bill.

Think of an exhilarating journey animated by an expert guide who lives and enjoys every moment, yet makes you believe he is discovering it with you and isn’t afraid to tease you with some daredevil steps off the beaten track.

Fiery Prokofiev but lacklustre Britten with the National Orchestra of Belgium.

Mismatching between programme and performers resulted in a disappointing evening of operatic all-time favourites.

Fazil Say zog das Düsseldorfer Publikum mit seinem emotionsgeladenen Spiel in den Bann.

The world première of Giya Kancheli’s Nu.Mu.Zu is the blow-your-socks-off highlight of an evening that includes colourful playing of Falla and Strauss.

It can be a strange experience to listen to Rachmaninov’s Piano Concerto no. 2 without the visuals of Celia Johnson’s doe-eyed sadness and Trevor Howard’s tortured half-smile to go with it, so synonymous is the work with Brief Encounter, Noël Coward’s celebrated paean to 1940s English morality and thwarted love.

Brussels’ Palais des Beaux-Arts occupies the site where once stood the Pensionnat Héger, the school where Charlotte and Emily Brontë lived during their sojourn in the Belgian capital – an appropriate setting, as it is not difficult to imagine Bruckner’s mighty Fourth Symphony underscoring one of the sisters’ Gothic tales of unrequited love.