Live, Video: Find classical music concert, opera, ballet and dance reviews | Tabea Zimmermann

Stepping in for Kirill Petrenko, Daniel Harding conducts the Berlin Phil's “army of generals” in an unfussy Bruckner Four, while Tabea Zimmermann plays Schnittke's Viola Concerto.

In a patchwork assembly of German Romantic and French impressionistic works, the chief interest in the Budapest Festival Orchestra's latest programme was the appearance of star violist Tabea Zimmermann in pieces by Schumann and Kurtág.

Issues with technical filming couldn't mar the artistry of a great set of musicians as they tackled Brahms' String Sextets.

In a world for which Neharo't Neharo't had suddenly become painfully relevant once again: the man lamenting his love in the gentle ending could have been lamenting the Kurds.

The New World Symphony's Viola Visions kicked off Wednesday night with a concert of music that spanned three centuries and gave full voice to the splendor of the instrument

I often think you can tell the quality of an orchestra by looking at the back desks of its string sections, and the players on the fringes of the Royal Stockholm Philharmonic play with as much vigour as those at the front; their joy in the music is both visible and audible. The result is a strong and complex string sound, well blended, but with a coolness you don’t get from most German orchestras.

Après un Premier Sextuor op. 18 de Brahms assez déroutant car comme interprété avec le frein à main, le Deuxième Sextuor op. 36 a donné lieu à un jeu généreux et convaincant.

Verfeinert mit Tabea Zimmermann und Jean-Guihen Queyras bietet das Belcea Quartet einen unvergesslichen Abend mit Brahms’ Streichsextetten.

Le quintette de joyeux trublions a conclu la journée du samedi en revisitant le Quintette pour clarinette et cordes de Johannes Brahms, sans toutefois parvenir à électriser les foules.

Malgré l'annulation de dernière minute d'un musicien souffrant, les artistes du Rosendal Chamber Music Festival ont livré un programme bouleversant de bout en bout.

Sous la direction d'Iván Fischer et avec la complicité de l'altiste Tabea Zimmermann, l'orchestre hongrois a livré un concert mémorable, alliant intelligence de la programmation et excellence de l'interprétation.

Moment de grâce absolue avec les Belcea, Zimmerman et Queyras, à la Philharmonie du Luxembourg qui reste encore ouverte malgré le contexte sanitaire. 

Im Münchner Prinzregententheater entstand dank ausdrucksstarker Solisten ein blumiger Mikrokosmos.

Trio (samt Zimmermannscher Unterstützung) und Quartett schlossen beinahe nahtlos an die gebannte Bewunderung des Vorabends an.

Iván Fischer et le Concertgebouw d'Amsterdam livrent une soirée au sommet de l'excellence musicale, accompagnés d'Isabelle Faust et Tabea Zimmermann pour une Symphonie concertante très émouvante.

Réunis autour de Tabea Zimmermann, les jeunes solistes de l’Académie de Kronberg défendent avec enthousiasme Beethoven et Dvořak. Seule en scène, l’altiste offre une vision poétique d’une Sonate de Hindemith.

À la Philharmonie, François-Xavier Roth et Les Siècles ouvrent les festivités de l'année Berlioz, 150 ans après le décès du compositeur. Avec une invitée de marque, l'altiste Tabea Zimmermann.

Das Gürzenich-Orchester Köln zeigt vorbildhaft, wie man zeitgenössische Musik spannend und humorvoll vermitteln kann.

Nach acht Sätzen und drei Märschen blieb eine Empfindung: packend!

Tabea Zimmermann aura offert au Victoria Hall la création d’un concerto du genevois Michael Jarrell de toute beauté, ainsi qu’un Debussy ourlé de mille couleurs sous la direction d’un Pascal Rophé inspiré. On aura regretté un Stravinski un peu en deçà et décousu qui aura certainement fait les frais de la préparation de la création.

Tant de maîtrise et de technique – on ne se souvient pas, tout bonnement, d’avoir entendu un Quatuor plus solide – présageait d’un très beau moment pour le Quatuor n°9 de Beethoven, attendu de pied ferme après l’entracte.

Ce lundi 30 mai, un légendaire pianiste et trois des plus grands archets de notre temps se réunissaient pour interpréter les très exigeants quatuors avec piano opus 25, 26 et 60. La probité exacte, souveraine et inentamée de ces lectures était une démonstration parfaite de la différence qu’il y a entre éloquence et emphase.