Pendant trente ans, Alain Lompech, né en 1954, a été critique musical et journaliste au Monde de la musique puis au Monde, dont il a été chef des pages « Art et Spectacles » puis chef d'édition, tout en tenant la chronique « Jardins » du quotidien. Il a produit de nombreuses émissions sur France Musique, station dont il a été le directeur adjoint et chef des programmes, et où il est l'un des membres réguliers de « La Tribune des critiques de disques ». Il publie chaque mois des critiques de disques dans le mensuel Diapason. Alain Lompech a publié le premier volume des Grands pianistes du XXe siècle, chez Buchet-Chastel, et travaille à la rédaction du deuxième volume.
Un dimanche matin au Théâtre des Champs-Élysées et un concert d'anthologie, porté par l'alto de Lise Berthaud, le piano d'Adam Laloum, la voix de Lucile Richardot, le violon de Pierre Fouchenneret...
Dans sa chronique mensuelle, Alain Lompech revient sur l'histoire du chef-d'œuvre de Bach et ses interprètes emblématiques au fil du temps, jusqu'aux nombreuses publications discographiques de ces dernières années.
Le directeur musical de l'Orchestre Philharmonique de Radio France échoue à structurer l'œuvre debussyste et à assister Bertrand Chamayou, brillant dans Ravel comme dans les études de Yann Robin.
Deuxième jour au Festival Muse&Piano du musée nordiste où, de Clément Lefebvre le matin à Luis Fernando Pérez le soir, d'extraordinaires interprétations ont été livrées par des artistes en état de grâce.
Formidable première journée au Festival Muse&Piano dans le Pas-de-Calais, avec de mémorables récitals de Florian Noack, Sélim Mazari, Gaspard Dehaene et Anne Queffélec.
L'ennuyeuse Symphonie n° 2 de Saint-Saëns n'a pas contribué au succès de ce concert de rentrée à Radio France, animé seulement par l'arrivée du pianiste britannique.
Appelé à la rescousse pour diriger l'Orchestre de Paris, le chef finlandais n'a pas souhaité diriger le Troisième de « Rachma » ; Lukas Geniušas a donc choisi le Concerto en sol de Ravel. Bonne pioche !
Dans la petite église de Neuville-Bosc, la pianiste a interprété un programme magnifiquement agencé, de Beethoven à Liszt en passant par Chopin et Schumann.
Notre chroniqueur s'interroge sur la façon dont se construisent les jeunes talents pianistiques d'aujourd'hui, si nombreux et variés, de Grosvenor à Kholodenko en passant par Laloum ou Kolesnikov...
Notre chroniqueur revient sur le 250e anniversaire de la naissance de Beethoven, son traitement par le service public audiovisuel... et la façon dont celui-ci célébrait l'art du compositeur il y a cinquante ans, en 1970.
Le pianiste et compositeur a livré un récital singulier ; Bach, Ravel, Schubert et Moussorgski se sont succédés avec plus ou moins de bonheur sous les doigts de l'artiste souriant.
Notre chroniqueur rend hommage à Abbey Simon, décédé quelques jours avant ses 100 ans. Injustement oublié de son vivant, ce pianiste a été victime d'un phénomène face auquel les critiques sont impuissants.
Daniel Barenboim et son facteur belge fétiche, un piano chinois en finale du Concours Tchaïkovski... Pourquoi entend-on autant de pianos différents aujourd'hui ? Notre chroniqueur explore l'histoire de l'instrument et donne des éléments de réponse.
Headed by Sylvie Brély, the Centre for romantic pianos is staging a series of concerts on early instruments. We meet Edoardo Torbianelli, one of the performers.
À la Philharmonie de Paris, la pianiste déçoit dans un récital intégralement consacré à Beethoven, malgré quelques pages magnifiques sur le plan sonore.