En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Dukas

Trio de Ravel et Concerto de Schumann avec Lucas Debargue, double récital de Beatrice Berrut et Florian Noack, Concerto n° 2 de Brahms avec Jonathan Fournel : retour sur un festival à la programmation riche et variée.

Dans un programme remarquablement construit en forme d'hommages en série, le jeune pianiste a fait montre d'un toucher subtil et d'une belle maîtrise de langages riches et variés.

Si l'excellente surprise est venue de la clarinettiste Floriane Tardy qui a remplacé Martin Fröst sans broncher, l'ONCT a mis du temps à entrer dans un programme pourtant haut en couleur.

François-Xavier Roth et sa fameuse formation historiquement informée se sont offert en guise de cadeau d'anniversaire un programme riche, coloré et poétique.

Mettant à l'honneur plusieurs œuvres rares, ce programme des Berliner Philharmoniker dirigés par le chef français nous plonge dans un univers mélancolique illuminé par la performance de la violoniste allemande. 

Le programme choisi par Sir George Benjamin pour le DSO nous plonge dans les théories modernes de l’utilisation du son orchestral, de Paul Dukas à Benjamin lui-même, avec le concours efficace de Cédric Tiberghien.

À la Philharmonie, Pascal Rophé emmène l'ONPL dans une passionnante (re)découverte d'Alcyone, cantate méconnue du jeune Ravel, et d'Orion, de Kaija Saariaho. Vadim Repin offre un Bruch sentimental mais imparfait.

À l'Opéra de Nice, Hélène Grimaud réalise une superbe performance dans le Concerto en sol de Ravel et parvient à insuffler élégance et expression à l’orchestre philharmonique de la ville.

Le Théâtre du Capitole accueille pour la première fois et dans une nouvelle production l’unique opéra de Paul Dukas : Ariane et Barbe-Bleue. Dans une mise en scène de Stefano Poda et sous la direction de Pascal Rophé.

Bon sang ! Mais pourquoi n'entend-on quasi plus jamais Le Tricorne, tout comme L'Amour sorcier de Manuel de Falla, d'ailleurs ?

Retour sur le concert d'ouverture de la deuxième édition du festival Musique en dialogue aux Carmélites.

Le 5 avril marque les débuts de Jérémie Rhorer avec l’Orchestre de Paris. Entre l'Ouverture de « Polyeucte » de Dukas, le Concerto de Schumann joué par Francesco Piemontesi et la quatrième symphonie de Mendelssohn, le chef a l'occasion de faire ses preuves. Un programme haut en couleurs qui se révèle parfaitement maîtrisé !

Duo d’une rare complicité, Ludmila Berlinskaïa et Artur Ancelle, à l’occasion de la parution de leur troisième album à deux pianos, donnent en exclusivité à la salle Cortot la sonate en si de Liszt dans l’arrangement de Saint-Saëns.

Jeudi 14 mai, le Philharmonia Orchestra offrait un programme Schumann/Mendelssohn sous la baguette de Jérémie Rhorer, avec Francesco Piemontesi au piano. Une soirée réussie, en particulier grâce à un orchestre au meilleur de sa forme.

On ressort plutôt perplexe de cette nouvelle production de l'unique opéra de Paul Dukas avec Olivier Py à la mise en scène. 

Mercredi soir au Victoria Hall, la flûte d'Emmanuel Pahud a fait merveille, comblant le public dans un programme hispanisant, sous la baguette d'Alain Altinoglu.

A programme heavily skewed to the balletic saw the BBC Symphony Orchestra under Josep Pons dispatch difficult passages with ease.

Dukas, Barber, Hindemith and Shchedrin in an intriguing 20th-century programme from the Singapore Symphony. 

Cristian Măcelaru und die Pianistin Beatrice Rana begeistern mit Ravels Klavierkonzert sowie weiteren französischen Klassikern.

Four very pictographic pieces: from early Puccini, through Dukas and Stravinsky to the present-day Spanish composer Francisco Coll. Neatly painted by the performers and with nothing to unduly scare the horses.

Kensho Watanabe and Élisabeth Pion prove they're up to the challenge in a programme featuring Lūcija Garūta's Piano Concerto and Prokofiev's Fifth Symphony.

A programme of French music culminates in a heartfelt Fauré Requiem with the Royal Liverpool Philharmonic Choir. 

Daniele Rustioni conducts a programme of orchestral favourites and a concerto rarity featuring cellist Alban Gerhardt.

A programme of orchestral showpieces are given the John Wilson treatment, although Rachmaninov's Symphonic Dances disappoints. 

There is little doubt that the combination of Vasily Petrenko and the RPO is currently yielding magnificent results. Daniel Müller-Schott joined them for a performance of Elgar's Cello Concerto.

Un viaje emocional cargado de contrastes de la mano de Pablo Sainz-Villegas, Andrés Salado y la OEX, fue la constante en las obras Martín y Soler, Rodrigo y Dukas.

Mark Elder brought the Hallé down to the Royal Albert Hall for an interesting programme of Dukas, Respighi and Puccini.

A night to remember for Montreal orchestral music devotees as Daniil Trifonov joins the Orchestre symphonique de Montréal and conductor Rafael Payare.

Domingo Hindoyan continues to bring French orchestral rarities, and conducts a Russian symphony in a Sunday matinee to a highly receptive Liverpool audience. 

Boris Giltburg joins The Hallé for Rachmaninov's Fourth Piano Concerto, the emotional heart of the evening.

El trompetista venezolano Pacho Flores maravilló en su triple faceta de compositor, director e intérprete junto al conjunto de metales de la Filarmónica de Bogotá. 

Alain Altinoglu feierte als designierter Chef des hr-Sinfonieorchesters einen gelungenen Einstand mit französischer Fin-de-Siècle-Musik

Simon Rattle continues his European travels, returning to the Philharmonie im Gasteig for a fine programme with the outstanding Bavarian Radio Symphony Orchestra. 

Ravel’s L’enfant et les sortilèges made up for an uneven first half that jumped from Mozart to Harry Potter.

It’s been 97 years since The Cleveland Orchestra performed Frank Bridge’s The Sea, but this weekend’s performance was worth the wait. Paul Dukas’s evergreen The Sorcerer’s Apprentice received a precise and jovial performance.

What a day to hear an all-French programme, and with this fragile moment at its heart criticism feels futile, disrespectful even.

On tour with Orchestre Philharmonique de Radio France, Mikko Franck and Sol Gabetta present an odd programme of mixed fare.

RLPO debutante Kahchun Wong makes a distinctive first impression in a programme of iconic works from the 20th century.

The Berlin Philharmonic gives a first half party before a dark Schmidt symphony. 

Bei ihrem Auftritt mit François-Xavier Roth trafen die Musiker bei Ravel und Dukas in Mark und Bein, bis sie bei Debussy den Himmel teilten und über Wasser gingen.

Paavo Järvi gave a real sense of occasion to the evening, though the Berlioz neither embraced frenzy nor nodded to the fantastical. 

La joven pianista Beatrice Rana debutaba en el Palacio de la Ópera de La Coruña junto a la Orquesta Sinfónica de Galicia. Se presentó bajo la batuta de Otto Tausk con el diabólico Concierto núm. 3 de Prokofiev, el cual acometió con una brillantez y transparencia magníficas. El interés no decayó con el Aprendiz de brujo y la paradigmática La Mer de Debussy en las que la orquesta dio buena muestra de su ductilidad.

Yuja Wang brings brilliance to Prokofiev at the Philharmonie, but Petrenko's conducting of rarities by Dukas and Schmidt also prove richly rewarding.

Atmosphärisch sowie musikalisch dicht, faszinierend und beklemmend landet die Oper Graz mit Paul Dukas' Sicht auf den Blaubart-Mythos einen Premieren-Volltreffer. 

The Belgrade Philhamonic presented a magical concert of music on supernatural themes.   

A thrilling concert by the National Youth Orchestra of Great Britain conducted by Sir Mark Elder culminated in a sinister and atmospheric performance of Duke Bluebeard's Castle.

Rafael Payare contrasts a stentorian Brahms Symphony 4 with colorful French scores, including a scintillating Shéhérazade.

Notwithstanding Esfahani and McKeish’s sterling account of the Poulenc and the orchestra’s thrilling take on The Sorcerer’s Apprentice, this was not a consistent enough concert to be called a complete success.

A superb performance from Chloë Hanslip in the world premiere of Berkeley's Violin Concerto, with the BBC National Orchestra of Wales under Jac van Steen polished but lacking bite in Dukas and Prokofiev.