En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Jérémie Rhorer

À la tête de son fidèle Cercle de l'Harmonie, d'une superbe Audi Jugendchorakademie et d'un quatuor de solistes en belle forme, le chef a magnifiquement servi l'œuvre monumentale de Beethoven.

Sous des températures caniculaires, l'orchestre dirigé par Jérémie Rhorer a proposé une version très poétique de Harold en Italie avec Paul Zientara dans le rôle-titre, avant une Symphonie de Bizet rafraîchissante.

Malgré la direction décapante de Jérémie Rhorer, cette nouvelle production pâtit d'une distribution globalement peu à son avantage et d'une mise en scène tiède et littérale.

Le lyricophile James Gray fait ses débuts à l'opéra, avec une mise en scène des Noces de Figaro séduisante à l'œil mais un peu sage. 

Reprise mitigée de l'opéra de Richard Strauss au Théâtre des Champs-Elysées : Olga Pudova, Camilla Nylund et Kate Lindsey tiennent le haut du pavé ; Katie Mitchell échoue à divertir.

Superbement incarnée par Vannina Santoni, c’est une grande Violetta qui est née ce 28 novembre 2018 au Théâtre des Champs-Élysées.

Petibon, Devieilhe, Gens, Koch,... le nec plus ultra de l'art lyrique français était réuni sur la scène du TCE pour la reprise de la production unanimement saluée d'Olivier Py des Dialogues des Carmélite. 

La nouvelle mise en scène de Laurent Pelly fait ses grands débuts. Distribution impeccable pour une production qui ne se cantonne pas à la légèreté de l'intrigue.

Une belle soirée proposée par l’Orchestre de la Suisse Romande qui sous la direction de Jérémie Rhorer offrira des Mozart élégants, mais un Tchaïkovski qui n’eût de « Pathétique » que le nom : gommant la noirceur de cette fresque russe, il en souligne les détails et en étouffe le souffle épique.

La production de Don Giovanni au Festival de Beaune s'est révélée plus intéressante sur le plan dramatique que sur le plan vocal.

Le 5 avril marque les débuts de Jérémie Rhorer avec l’Orchestre de Paris. Entre l'Ouverture de « Polyeucte » de Dukas, le Concerto de Schumann joué par Francesco Piemontesi et la quatrième symphonie de Mendelssohn, le chef a l'occasion de faire ses preuves. Un programme haut en couleurs qui se révèle parfaitement maîtrisé !

Il sera bien malaisé pour le spectateur de trouver dans ce morne tableau la ferveur conjuguée d’Eros et de Thanatos, ou encore, comme souhaité, le désespoir des années SIDA. Ni gaie, ni triste : la chair, ici, indiffère. 

Vlan ! Poum ! Vlan ! Poum ! Difficile de juger d’une œuvre telle que le Requiem de Verdi, si apte à imposer, si naturellement rythmée dans son déroulement. Car l’enjeu véritable, bien que latent, est celui de l’urgence partagée...

Deux mois après une production controversée à Aix, Jérémie Rhorer retrouve son plateau soliste pour une flamboyante version de concert.

Jeudi 14 mai, le Philharmonia Orchestra offrait un programme Schumann/Mendelssohn sous la baguette de Jérémie Rhorer, avec Francesco Piemontesi au piano. Une soirée réussie, en particulier grâce à un orchestre au meilleur de sa forme.

Le 12 décembre 2014, La Clémence de Titus est représentée au Théâtre des Champs-Élysées : la suite du cycle Mozart débuté par l'excellent Jérémie Rhorer depuis quelques années. Une production qui rassemble beaucoup de beau monde… 

Dos obras que reflejan las complejidades de la psique humana de manera magistral llevadas al escenario por Christof Loy, con las voces de Ermonela Jaho y Malin Byström.

Das MusikTheater an der Wien hat die Saison 23/24 mit einer politisierenden Interpretation von Donizettis Les Martyrs eröffnet. Nicht ohne Zwiespalt, mit viel Spektakel und Schalk, aber durchaus fantastisch!

French pianist Alexandre Kantorow and conductor Jérémie Rhorer make successful debuts with the Accademia Nazionale di Santa Cecilia. 

One of the leading events of the Staatsoper Unter den Linden's Festtage, Jérémie Rhorer's interpretation of the Missa solemnis is a monument to the composer... but its marble is not always too cleanly carved.

Claus Guth’s Don Giovanni returns to Amsterdam with an almost entirely new cast with strong leads by Seth Carico and Adrian Sâmpetrean. 

Laurent Pelly’s elegant musical stave production of Il barbiere di Siviglia, from the Théâtre des Champs-Elysées, charms and delights at the Edinburgh International Festival.

Bei dieser Passions-Alternative überzeugten die Ensembles, allerdings fehlte solistische Balance, um aus teils unbekannterem Kleinen nachhaltig etwas ganz Großes zu machen.

Ein frisches Rossini-Opernerlebnis, das nur haarscharf an der Höchstwertung vorbeischrammt. Dennoch zählt diese Produktion mit Solisten und Le Cercle de l'Harmonie zu einem meiner Highlights des Jahres.

Jean-François Sivadier's pulsating new production propels The Don through his lusty adventures at a whirlwind pace. 

Despite being a little rough and ready at times, the Rodolfus Choir and superb Philharmonia captured a moving sense of stillness in these two popular works

The revival of this nine-year-old production feels dated, but its three Rs – Ruiten, Rose and Rhorer – make it a worthwhile evening.

Jérémie Rhorer led a turbocharged performance of this rare Spontini opera, which, although it tires with its grandiose hyperbole, contains excerpts that deserve to be heard more often.

The controversial Aix-en-Provence Così fan tutte reaches the Edinburgh Festival with a thrilling first-rate international cast and the excellent Freiburger Barockorchester.

Le Cercle d'Harmonie with their founder Jérémie Rhorer fail to convince in symphonies by Mozart and Mendelssohn, whereas the Italian soprano Rosa Feola triumphs in two concert arias.

An updating of Mozart's Die Entführung aus dem Serail to the post-World War One era in a desert fails to inspire in Aix. 

An opening night of Così fan tutte in Munich in which Gaëlle Arquez and Marina Rebeka as the two sisters take the honours. 

The 2012 Festival d’Aix-en-Provence began its four-week feast of opera and music with Mozart’s Marriage of Figaro—and could there be better a way? Nothing can beat the sublime company of Mozart, Da Ponte and Beaumarchais on a summer evening in the open-air Théâtre de l'Archevêché.

This was the second vocal concert of late (the last being Ariodante with Joyce DiDinato) to feature an exemplary female soloist caged inside an otherwise nondescript performance. Jérémie Rohrer tried in vain to force energy out of French chamber choir Les Elements and period ensemble Le Cercle de l’Harmonie.