En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Loïc Félix

La patte du metteur en scène est bien visible dans cette production vivante, physique bien qu'en définitive très consensuelle. La distribution joue parfaitement le jeu, les premiers comme les seconds rôles.

La scénographie de Pierre-André Weitz et la mise en scène d’Olivier Py font de l'œuvre de Poulenc un drame intemporel, universel, intérieur, porté par une réalisation musicale de haut vol.

Denis Podalydès offre une lecture divertissante et accessible de la dernière comédie de Verdi, sans grandes trouvailles toutefois. La direction d'Antonello Allemandi manque singulièrement de couleur et d'inventivité.

La mise en scène du siècle dernier est toujours d'une mordante actualité, portée par une distribution charismatique. La première Carmen parisienne de Gaëlle Arquez, en particulier, est une superbe réussite.

Fin de saison en demi-teinte à l'Opéra du Rhin avec une production de Madama Butterfly réussie côté mise en scène mais plus mitigée côté distribution.

Les Contes d’Hoffmann reviennent à La Monnaie. Si la mise en scène hollywoodienne de Krzysztof Warlikowski montre ses limites, l'interprétation musicale n'appelle que des éloges.

Malgré une direction peu inspirée de Lawrence Foster, La Flûte enchantée marseillaise bénéficie de l'humour de la mise en scène et d'une solide distribution.

À l'Opéra de Marseille, l'œuvre de Puccini bénéficie de l'élégante mise en scène de Charles Roubaud. Avec un solide tandem Ricarda Merbeth – Antonello Palombi dans les rôles principaux.

À l'Opéra du Rhin, la recréation de l'irrésistible Barkouf, opéra-bouffe d'Offenbach qui n'avait plus été donné depuis 1861, frappe par son actualité.

Genève propose le Baron Tzigane de Johann Strauss pour fêter la fin d’année. Malheureusement la fête est plombée par une mise en scène en berne et un plateau de solistes assez déséquilibré. Reste le plaisir de la musique servie par un Orchestre de la Suisse Romande qui brille sous l’impulsion de Stefan Blunier.

Le Fantasio genevois, loin de démériter, réjouit par la mise en scène savoureuse de Thomas Jolly, un plateau assez homogène, un orchestre coloré et vaillant mais pâtit néanmoins d’une partition qui révèle bien des longueurs.

Imprégné de la poésie du spectacle, on ne quitte pas le théâtre sans avoir envie d’en fredonner ou siffloter les mélodies.

L’Orchestre National du Capitole de Toulouse, sous la baguette de Tugan Sokhiev, et Orfeón Donostiarra offraient à la Halle aux Grains de Toulouse un Roméo et Juliette de Berlioz qui s’est avéré inégal. Serait-ce lié à un effet « salle » ?

L'Opéra Grand-Avignon présente Lakmé dans une charmante production, tant au plan visuel que musical. 

L'Opéra National de Montpellier présente Turandot en ce début février. Une production bien traditionnelle. 

Une Flûte Enchantée dont on retiendra un plateau homogène et une mise en scène peu analytique qui aura eu le soin de reposer nos âmes éprouvées par les émotions d'une année 2015 certainement assez chargée... 

Lever de rideau à l'Opéra de Rennes sur un Barbe-Bleue gargantuesque. Qualité et pétillance au rendez-vous en cette période de fêtes.

Ein Ehepaar treu über 20 Jahre Trennung: Andrea Breth und Susanne Mälkki machen aus dem antiken Pénélope-Stoff ein bewegendes modernes Märchen.

Diane Paulus' staging is remarkably true to the original while making it feel like the work was written yesterday.

A human waxwork, a lottery win and circus buffoonery combine in a long-neglected Offenbach operetta, given a fizzing performance by the forces of Opera Rara and the London Philharmonic.

With Laurent Pelly directing, a very French evening sees a veritable feat of singing from Stéphanie d'Oustrac in La Voix humaine, followed by riotous surrealism in Les Mamelles de Tirésias.

In the expert hands of both director Warlikowski and conductor Kent Nagano, the sequel to Bernstein's Trouble in Tahiti proves to be even darker and more dramatic.

The traditional end of year performance of Beethoven's Ninth Symphony took on extra significance in this, his 250th anniversary year. 

“The very incarnation of vice” was how one critic described Célestine Galli-Marié’s Carmen at the opera’s 1875 Opéra Comique première. That description could equally be applied to Stéphanie d’Oustrac in Glyndebourne’s revival of David McVicar’s terrific production.