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L'« operatorio » de Dusapin remporte un beau succès, grâce à la science orchestrale du compositeur, l'incarnation d'une belle distribution et une mise en scène efficace en noir et blanc.

Dans son dernier opéra, le compositeur s'aventure vers la contemplation, tandis que le metteur en scène n'hésite pas à aller à l'encontre de la partition...

Au sein d'un programme riche en évocations, le superbe concerto pour orgue Waves de Pascal Dusapin, magnifiquement porté par Olivier Latry, compense les limites de la direction d'Ariane Matiakh.

Après sa création à La Monnaie en 2019, l'ouvrage de Pascal Dusapin et Frédéric Boyer fait ses débuts à l'Opéra-Comique. Un succès qui mériterait de dépasser le cercle des habitués de l'art lyrique.

Pour ouvrir la saison 2022-23, Klaus Mäkelä a dirigé un programme original au sein duquel la création contemporaine occupait une place de choix : une audace qu'on aimerait voire reproduite !

En création mondiale au Festival d'Aix-en-Provence, Il viaggio, Dante du compositeur français échoue à transmettre la dimension poétique de l'œuvre originelle et bascule dans des ressorts psychologiques dignes d'une série TV.

Dans la salle des concerts de la Cité de la Musique, le Quatuor Danel a marqué les esprits par son engagement, non sans susciter des réserves.

Avec un programme consacré aux œuvres religieuses, le Chœur de Radio France a interprété avec plus ou moins de justesse les partitions de compositeurs français, habilement dirigé par Martina Batič. 

La saison bruxelloise s'ouvre sur un événement : la création de Macbeth Underworld de Pascal Dusapin. L'œuvre inégale est portée par la mise en scène de Thomas Jolly et la performance des solistes.

Diriger est avant tout un élan vital, une conviction, confirme Roberto Forés Veses en clôture des Musiques Démesurées clermontoises. Canat de Chizy, Dusapin, Tanguy, Escaich et Bacri à l'appui !

Retour sur le concert des lauréats au Théâtre des Bouffes du Nord, avec les pianistes Maroussia Genet, Hyeonjun Jo et Miharu Ogura.

Programmer trois œuvres chorales de Johannes Brahms, Pascal Dusapin et Maurice Duruflé était déjà très une belle idée. Surtout, lorsque le chœur invité pour la circonstance est un des meilleurs ensembles européens, le RIAS Kammerchor. Magnifique soirée donc que ce concert donné à la Philharmonie 2 (anciennement Cité de la Musique), malheureusement devant une salle peu remplie.

At this year's Musikfest Berlin, Kirill Petrenko conducts his Berliner Philharmoniker in a devilishly intricate programme. 

Alexander Liebreich y la Orquestra de València concluyen la temporada con un concierto brillante. 

Andrés Orozco-Estrada and the LPO offer an eclectic and unusual mix of works which, despite commendable playing, never quite added up to a satisfying whole.

An inspired piece of programming illustrates the continuities in angst-filled works from the Baroque, Romantic and contemporary eras.

Absorbing performances from Mitch Reilly and Jack Symonds render Dusapin's O Mensch a highly charged experience at the end of the Sydney Festival.

It's quite a contradiction when you call a work Passion and then spend 90 minutes resisting all emotions. 

A fascinating sneak preview of Pascal Dusapin's new opera Penthesilea forms the centrepiece of a fine performance by the Orchestre National des Pays de la Loire.

Mit Humor, Kreativität und großer Musikalität zeigt das Deutschs Symphonie-Orchester, dass zur Vielseitigkeit eines Orchesters noch lange nicht alles gesagt ist.

MaNOj Kamps honours Claude Vivier in carte blanche concert Cappella Amsterdam. 

Celebrating 40 years of championing the contemporary string quartet, the Arditti Quartet concluded a day-long marathon with six quartets from composers around the globe. Polished beyond belief, they gave mesmerising performances.