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En deux soirées, le festival de musique de chambre deauvillais a montré ce qui fait sa singularité : mélange des générations d'artistes, richesse des répertoires, excellence de l'interprétation.

Le second concert de l'Orchestre Symphonique de la Monnaie a mobilisé moins de spectateurs, mais les absents ont eu tort, tant le programme britannique agencé par Alain Altinoglu méritait le déplacement.

Autour du soliste David Guerrier et du jeune chef James Salomon Kahane, l'Orchestre Symphonique de Mulhouse fait preuve de brio dans un programme qui mettait en avant ses vents.

Elle s'était distinguée pendant le premier confinement en interprétant à elle seule l'Octuor de Mendelssohn : la violoniste suédoise Malin Broman retrouve son public et des partenaires pour un concert réjouissant.

Plus d’un an après la fermeture des salles, une réponse convaincante à la question de la légitimité du concert donné par écrans interposés.

Si la direction quelque peu verticale de Lawrence Renes ne convainc pas totalement, les musiciens de l'ONL ont livré une admirable performance musicale dans un programme entièrement vingtiémiste.

Dans le petit amphithéâtre de la Cité de la Musique, une équipe s'est formée autour de la mezzo Stéphanie d'Oustrac pour un enthousiasmant programme de mélodies sur instruments d'époque.

Dans la salle Pierre Boulez de la Philharmonie, l'Ensemble Intercontemporain se lance avec brio dans quatre concertos de Ligeti.

Artiste en résidence à Radio France cette saison, le pianiste Bertrand Chamayou y donnait un concert-hommage à Beethoven avec Vilde Frang, Sol Gabetta et l'Orchestre Philharmonique de Radio France.

Depuis plusieurs années, l’Opéra de Nice propose chaque lundi midi un concert inédit, donné aux quatre coins de la ville. Aujourd’hui, rendez-vous est pris avec Vera Novakova (violon), Bruno Caulier (cor) et Roberto Galfione (piano).

L'ouverture de saison au Centre de musique de chambre de Paris propose un nouveau concert-spectacle : « Mozart vs Stadler : la grande partie ». Retour sur une soirée festive à la salle Cortot.

Kazuki Yamada conviait Genève à fêter l’esprit français au travers de symphonies de Bizet et Saint-Saëns. Bravo aux musiciens pour cette belle soirée ! 

L’Orchestre de la Suisse Romande, de retour de tournée en Amérique Latine, ravit le public genevois d une Troisième Symphonie de Mahler remarquable. Jonathan Nott aura convaincu le public que Mahler est de retour en terres genevoise par la grande porte.

Un événement rare : Christiane Karg accompagnée par Mahler lui-même grâce à un enregistrement Welte-Mignon, et une Quatrième Symphonie de Mahler de haut vol.

L’Orchestre de la Suisse Romande était sous la baguette de Marin Alsop lors d'une soirée illuminée par la présence rayonnante des quatre cors solos.

Séduisant rapprochement de styles divergents, mais surtout de timbres inaccoutumés, ce choix d’œuvres audacieux met à l’honneur des instruments aussi inhabituels que le basson ou le cor, brouille les harmonies familières.

L’Orchestre de la Suisse Romande sous la baguette de Jonathan Nott poursuit son chemin vers l’excellence. Nelson Goerner offre un concerto de Ravel stratosphérique ! Heureux genevois !

Retour sur le premier concert de la série « Symphonie » de l’Orchestre de la Suisse Romande, entièrement dédié à Ravel. 

Tabea Zimmermann aura offert au Victoria Hall la création d’un concerto du genevois Michael Jarrell de toute beauté, ainsi qu’un Debussy ourlé de mille couleurs sous la direction d’un Pascal Rophé inspiré. On aura regretté un Stravinski un peu en deçà et décousu qui aura certainement fait les frais de la préparation de la création.

Fêter ses septante ans ? Pour Philippe Herreweghe, c’est un prétexte rêvé pour une tournée en Flandre, aux Pays-Bas et en Italie. Retour sur le concert au Concertgebouw de Bruges.

Le concert donné par l’Orchestre Philharmonique de Radio France mettait côte-à-côte deux chef-d’oeuvres aux dimensions prométhéennes : le fascinant premier Concerto pour Violoncelle de Chostakovitch, et la colossale Symphonie Héroïque. Un programme monumental, exigeant de la part des interprètes des parti-pris d’interprétation sans concessions, et un art des contrastes qui l’est tout autant.

Mercredi soir, nous fûmes cueillis par la Maestria d’un chef superlatif dont le talent à la baguette est éblouissant. Bravo Monsieur Petrenko !

Par son irrégularité, son mépris du schéma, sa durée, la 9ème de Mahler est l’une des plus difficiles à interpréter. Malgré un agenda déjà chargé dans le répertoire scénique, l'Orchestre de l'Opéra de Paris et Philippe Jordan ont consenti à sortir de la fosse pour nous la faire entendre dans toute sa splendeur.

La 7e symphonie de Bruckner et la Symphonie concertante de Mozart pour hautbois, clarinette, cor et basson, deux oeuvres à la recherche de la luminosité, avec la Staatskapelle Berlin sous la baguette de Barenboim.

Dans ce texte d’une portée tellurique, qu’il taille et agence avec autant d’adresse que de respect, impossible de ne pas être subjugué par l’autorité et le tact naturels du chef estonien. Un très grand concert !

Le RSNO a clôt sa saison samedi soir avec un programme Beethoven/Strauss. 

Le Quintette en mi bémol majeur pour piano et vents KV 452 de Mozart et le Sextuor à cordes Souvenir de Florence opus 70 de Tchaïkovsky à la Salle Pasteur de Montpellier, deux esthétiques différentes, deux ensembles de musique de chambre différents, deux niveaux d'interprétation d'une différence saisissante !

Un bien beau concerto de Tchaïkovski par le divin Vadim Gluzman, malheureusement la tension ne vint pas du côté de Maestro Yamada qui nous fit louper le train pour la Sibérie… 

Belle soirée offerte par l’Orchestre de la Suisse Romande qui offrit un éclectique programme entre l’impressionniste Fauré, l’intellectuel Pintscher et le romantique Dvořák. Les trois se fécondant assez peu finalement, reste la qualité de l’interprétation de l’orchestre visiblement porté par l’énergie insufflée par le chef-compositeur. 

Très belle matinée autour du cor, dans un programme « melting-pot » assurant la découverte, l'humour et la muscialité d'un instrument peu entendu dans une configuration de quatuor.

L'Orchestre de la Suisse Romande, entre individualités merveilleuses et manque de nuance généralisée! 

Le chef autrichien HK Gruber est l'invité d'honneur de la saison de l'OPS : avec une énergie communicative, il emmène l'orchestre dans un programme autour de la modernité. 

Pour la deuxième fois, le festival de Saint-Lizier en Couseran renouvelle l’étape musicale et gastronomique de Montégut-Plantaurel. Ce moment était l’occasion de réunir trois jeunes artistes pyrénéens dont le talent artistique est déjà bien affirmé : Matthieu Esnult, Hector Burgan et Pierre Mignier. 

Le concert de clôture du Festival Des Arcs: un pari osé mais réussi

Un concert de « musique spatiale », composé d’œuvres de Grisey, Saariaho, Maresz, Harvey et Boule, au festival de Radio France, à Montpellier. Le spectateur est projeté dans un autre espace-temps, pour une immersion au cœur de la technologie et de l’innovation artistique qui ne peut laisser indifférent.

A delightful Mozart appetizer leads to a satisfying account of Bruckner's Fourth Symphony.

Salonen and the Orchestre de Paris opened the Elbphilharmonie season with a vivid journey from Strauss’s dramatic energy, through a reflective new Horn Concerto, to Sibelius’s luminous, precise grandeur.

Jordi Francés encandila al Auditorio Nacional junto a la Orquesta Nacional de España con un repertorio a medio camino entre la modernidad y la tradición.

Continuing with their ‘Made in Manchester’ series of Mozart concertos in Stoller Hall, Manchester Camerata turn to the horn concertos with soloist Martin Owen. 

In a rare performance of Des Canyons aux étoiles, Ludovic Morlot and Steven Osborne plunge the depths of Utah’s canyons and ascend to celestial plains. 

The Berlin Phil celebrates Seong-Jin Cho's recently inaugurated residency with a Hungarian-themed chamber concert.

Howard Griffiths conducts English music in Belgrade. Ian Bostridge and Nikola Ćirić star and Britten's Serenade and Vaughan Williams' Fifth Symphony wow the Serbian audience.

Felix Mildenberger ofreció una lectura impecable de un original programa con obras del primer romanticismo.

Was deutschen Fussball-Fans im Viertelfinale versagt blieb: zur gleichen Zeit konnten Fürther Konzertliebhaber am Ende des Konzerts der Bamberger Symphoniker ein grandioses Finale genießen. Der erst 30-jährige Giuseppe Mengoli ließ Strawinskys Feuervogel-Suite mit einem hymnischen Marcato majestätisch ausklingen.

With the audience sitting on stage with the performers and in the choir loft, this feels like the kind of communal experience that Bach would have recognized.

Smart sophistication and creepy entertainment go hand-in-hand in an excursion to odd corners of the chamber repertoire.

The French horn is the real winner in Bremen as Ben Goldscheider continues to expand the horn repertoire and bring his instrument to a wider audience. 

Honeck’s Pittsburgh program includes a premiere from Michael Daughtery portraying a cross-country road trip, followed by the inward journey towards enlightenment of Mahler’s Fifth. 

As this season's Composer-in-Residence, Jörg Widmann premieres his Horn Concerto at Berlin's Philharmonie, with dedicatee Stephan Dohr as soloist and Sir Simon Rattle conducting.