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Dans le cadre imprévu du Palais des Congrès de Souillac, Félicien Brut, Lucienne Renaudin Vary et Thibaut Garcia ont enchanté le public, avant le concert plein de recueillement de Tenebrae avec La Sportelle.

Après une Symphonie « Jupiter » admirable et un concerto de Chostakovitch subtil, le clou de cette soirée de fête aura été la création du Concert pour orchestre d'Éric Tanguy.

Si l'œuvre du jazzman exprime peu les couleurs d'un Orchestre national de Lyon au grand complet, elle a le mérite de son accessibilité, avant une seconde partie Strauss-Ravel plus volubile.

Consacrée à la musique de la compositrice autrichienne, l'édition 2025 du festival a proposé une pléiade de créations d'esthétiques variées, de l'énergie folle de Christophe Bertrand au bruitisme de Margareta Ferek-Petrić.

Avec notamment deux créations mondiales de Tobias Feierabend et José Manuel López-López, le concert d'ouverture du Festival Ensemble(s) a tenu ses promesses.

James Ehnes, Yeol Eum Son, Leif Ove Andsnes, le Dover Quartet, Håkan Hardenberger et Roland Pöntinen ont ouvert cette septième édition consacrée à Johannes Brahms.

À l’invitation de l’Orchestre de Pau Pays de Béarn, Ibrahim Maalouf est revenu avec succès au répertoire classique, mais la rencontre avec la cheffe allemande Johanna Malangré a manqué de synergie.

Le Festival de Menton met en lumière les plus célèbres airs de Broadway magnifiés par l’interprétation de Natalie Dessay et de ses invités surprise.

Véritable Fête de la musique avant l'heure, le concert du London Symphony Orchestra a mis à l'honneur la faculté de la formation britannique à se transformer en ensemble de chambristes de premier ordre.

À la tête de ses Musiciens de Saint-Julien, François Lazarevitch propose une intégrale des six concertos brandebourgeois qui ne manque pas de virtuosité mais a fortement tendance à courir.

De Rameau à la composition contemporaine, le programme concocté par la soprano et cheffe d'orchestre fait la part belle au spleen et manque parfois d'éloquence.

De la trompette de Marc Geujon aux valses de Strauss, retour sur le concert du Nouvel An donné par l'Orchestre Symphonique de Mulhouse à La Filature et diffusé sur Facebook.

Au Festival de Saint-Denis, Lucienne Renaudin-Vary, Shaun Escoffery, Troy Miller et l'ONDIF proposent un enthousiasmant programme d'arrangements spectaculaires d'airs de Gershwin, Weill et Bernstein.

Après avoir maintenu le lien avec son public durant le confinement grâce à des vidéos produites et diffusées par ses membres, l'OSM est réapparu "en vrai" à La Filature. Soirées exceptionnelles tant pour leur organisation que pour la qualité des interprétations offertes.

La première rencontre de l'Orchestre symphonique de Québec et des Violons du Roy a donné lieu à un renversant Sacre du printemps. Prestation sans faille du légendaire trompettiste Håkan Hardenberger.

Temps fort de la quatorzième édition du festival C'est pas classique de Nice, Queen of Sheba d'Ibrahim Maalouf et d'Angélique Kidjo a su ravir son public par son énergie et son éclectisme.

L'Orchestre de Radio-France s'invite à la Philharmonie pour un programme à l'accent américain, de Fauré à Bernstein en passant par Glass (création française du Double concerto) et Copland.

Pour son premier concert au Québec, la trompettiste Lucienne Renaudin Vary offre une interprétation convaincante des concertos de Haydn et Hummel aux côtés d'un chef et d'un orchestre gonflés à bloc.

L’Orchestre de la Suisse Romande, de retour de tournée en Amérique Latine, ravit le public genevois d une Troisième Symphonie de Mahler remarquable. Jonathan Nott aura convaincu le public que Mahler est de retour en terres genevoise par la grande porte.

Retour sur un concert aux forts échos politiques contemporains et conçu comme une manifeste pour la paix.

Séduisant rapprochement de styles divergents, mais surtout de timbres inaccoutumés, ce choix d’œuvres audacieux met à l’honneur des instruments aussi inhabituels que le basson ou le cor, brouille les harmonies familières.

L’Orchestre de la Suisse Romande sous la baguette de Jonathan Nott poursuit son chemin vers l’excellence. Nelson Goerner offre un concerto de Ravel stratosphérique ! Heureux genevois !

Mettre ensemble, faire avancer la musique, modeler les phrases, les nuances, donner les départs sans jamais s'interposer ni entre le public et les musiciens ni entre eux et la musique : voilà la leçon de direction donnée par Neeme Jarvi.

Le programme, 100% Bach, prévu à l’ouverture, fait ainsi à la fois vibrer les tuyaux de l’impressionnante réplique de l’orgue d’Arnstadt et résonner, entre prélude et fugue, les vocalises des cantates dans l’église de Pontaumur.

Représentant rêvé de la culture symphonique française, Mikko Franck sait ce que ses meilleures heures doivent avant tout à son goût de l’ailleurs.

Entre la gouaille chostakovitchienne et l’exubérance des batucadas, entre la sensualité brésilienne et le fatum d’un Tchaïkovski, il n’y avait qu’un pas, franchi par l’orchestre Neojiba et son chef Ricardo Castro, portés par la figure de Martha Argerich.

Dans ce texte d’une portée tellurique, qu’il taille et agence avec autant d’adresse que de respect, impossible de ne pas être subjugué par l’autorité et le tact naturels du chef estonien. Un très grand concert !

Un Haendel tout aussi sensible que festif par le Concert de l’Hostel Dieu à l’Église Saint-Bonaventure.

David Guerrier, magistral au Bâtiment des Forces Motrices de Genève, a suscité l'enthousiasme grâce à son interprétation du concerto de Chostakovitch. Malheureusement, la structure du programme n'a pas été en faveur de Haydn.

L'Orchestre de la Suisse Romande, entre individualités merveilleuses et manque de nuance généralisée! 

Un concert de « musique spatiale », composé d’œuvres de Grisey, Saariaho, Maresz, Harvey et Boule, au festival de Radio France, à Montpellier. Le spectateur est projeté dans un autre espace-temps, pour une immersion au cœur de la technologie et de l’innovation artistique qui ne peut laisser indifférent.

An evocative first half of music from Cuba, the USA and Mexico was followed by what should have been a fine New World Symphony... 

Two works by Shostakovich sandwiching Rhapsody in Blue made for an exhilerating concert from the Australian Chamber Orchestra in Melbourne

Domingo Hindoyan, Pacho Flores and the Royal Liverpool Philharmonic Orchestra set the BBC Proms on fire with music from the Americas.

Esteban Batallán, the Chicago Symphony Orchestra's top trumpet, plays piccolo trumpet concertos by Telemann and Michael Haydn with the home team, under former CSO music director Riccardo Muti.

Jordi Francés encandila al Auditorio Nacional junto a la Orquesta Nacional de España con un repertorio a medio camino entre la modernidad y la tradición.

Perry So dirigió la Sinfónica de Tenerife en una brillante velada en la que destacó la solista Lucienne Renaudin Vary destacó por su excelencia.

Energetic commitment from the ACO at the Barbican, with precision and edge from Alexander Melnikov and Jeroen Berwaerts in an evening of darkness and light.

Ludovic Morlot dirigió un concierto en el que destacó lo estructural de las composiciones y contó además con Mireia Farrés en el estreno de Meduse.

Oramo leads the BBC Symphony Orchestra and trumpeter Verneri Pohjola in a moving tribute to Kaija Saariaho with the UK premiere of her concerto HUSH. 

Contralto Marie-Nicole Lemieux joins Kent Nagano for a program featuring the premieres of boldly disparate compositions by Matthew Ricketts and Aziza Sadikova. 

Andreas Delfs elicits a HIP aesthetic with Mozart's G minor and Jupiter, while Tine Thing Helseth plays engagingly personal accounts of trumpet concertos by Haydn and Bent Sørensen. 

John Storgårds conducts the BBC Philharmonic in two colourful works for large orchestra, while Håkan Hardenberger demonstrates the versatility of the trumpet in two works, one familiar, the other not.

Seong-Jin Cho und Giullaume Jehl zeigen einen perfekten Schostakowitsch, doch manchmal sollte man der Kühnheit der Komponisten mehr vertrauen...

The CBSO’s matinee, conducted by Fabien Gabel, juxtaposes cheerful Mozart and an unpredictable new concerto from Mark Simpson with a polarised account of Shostakovich’s Ninth Symphony. 

Blockflötensolistin Dorothee Oberlinger und die Akamus Berlin präsentierten sich beim Festival als vertraute, gleichsam von inspirierender Umsetzung befähigte Schicksalsgemeinschaft.

An unusual double bill opens the new season at the Staatsoper Unter den Linden, with Susanna Mälkki offering a moving take on Saariaho and Mahler.

With the audience sitting on stage with the performers and in the choir loft, this feels like the kind of communal experience that Bach would have recognized.

An idiosyncratic outing at Chamberfest Cleveland recounts original sin in ragtime and finds redemption in a neglected wartime masterpiece.