En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Stéphanie d'Oustrac

Le metteur en scène imagine une mise en abyme qui montre ses limites. Sur le plan musical c'est en revanche une réussite, de Nathalie Stutzmann à la baguette à Stéphanie d'Oustrac dans le rôle-titre.

Le chef gréco-russe et le metteur en scène américain se rejoignent dans une vision généreuse et universaliste de l'opéra de Rameau, servie par une distribution impeccable.

Premier des cinq concerts célébrant les 90 ans de l'Orchestre National de France, La Damnation de Faust de Berlioz dirigée par Cristian Măcelaru a laissé l'auditeur sur sa faim.

L'opéra de Ravel remporte son match face au ballet de Stravinsky Pulcinella, plutôt décevant, alors que l'inénarrable Stéphanie d'Oustrac remporte un triomphe dans le rôle de Concepción.

Dans un programme de musique symphonique très maritime, Philippe Jordan et l'Orchestre National de France ont montré une fois de plus la complicité qui les unit.

Si la nouvelle production signée Dominique Pitoiset produit un résultat mitigé quant à la mise en scène, la distribution se révèle de haute qualité.

En n'altérant ni le livret, ni la musique – ou si peu –, les équipes de cette Périchole rappellent que point n'est besoin de modifier l'œuvre à tout crin pour toucher et faire rire le public. 

La nouvelle production de Mignon à l'Opéra Royal de Wallonie-Liège fait surtout la part belle à Philine, dont Jodie Devos fait une prise de rôle remarquée.

Carmen est à l'affiche en ce mois de décembre à l'Opéra national du Rhin à Strasbourg, dans une production où brille l'étoile Stéphanie d'Oustrac.

Pour l'entrée au répertoire d'Anna Bolena à Genève, seul l'orchestre semble véritablement tirer son épingle d'un jeu belcantiste face à un plateau vocal et une proposition scénique en demi-teinte.

Réunis pour une soirée de gala exceptionnelle, les adhérents de l’association UNISSON ont proposé, d’une seule voix, un concert mettant en avant des œuvres lyriques d’une grande diversité. 

Dans le petit amphithéâtre de la Cité de la Musique, une équipe s'est formée autour de la mezzo Stéphanie d'Oustrac pour un enthousiasmant programme de mélodies sur instruments d'époque.

Au beau milieu du Festival Berlioz, une soirée consacrée à Offenbach a apporté une belle ambiance festive malgré des accrocs non négligeables.

Le chef-d'œuvre de Rameau est donné au Théâtre des Champs-Élysées en version de concert, sous la direction inégale d'Emmanuelle Haïm, avec une distribution excellente emmenée par Stéphanie d'Oustrac.

Au Théâtre des Champs-Élysées, l'Orchestre National de France et son directeur musical, Emmanuel Krivine, délivrent une interprétation sèche de l'œuvre de Berlioz. Malgré une grande Stéphanie d'Oustrac.

À la Philharmonie, l'Orchestre de Paris invite Jakub Hrůša à la direction, le violoniste Renaud Capuçon et la mezzo-soprano Stéphanie d'Oustac pour un programme riche et varié.

Edgaras Montvidas et Stéphanie d’Oustrac rayonnent dans les premiers rôles, entourés de seconds tout à fait à la hauteur.

Ce que Robert Carsen nous donne à voir à travers cette vertigineuse mise en abyme, c’est le théâtre de l’âme humaine en quête d’accomplissement.

Difficile de reprocher à cette entrée en matière une quelconque prévisibilité. Loin des passages obligés, du « grand » répertoire et des pages viennoises auxquelles s’attelle plus volontiers le Philharmonique en ce mouvementé début de saison, l’ONF se restreint avec ce concert d’ouverture à la musique française.

Avant-dernière œuvre d’Haendel et seul de ses oratorios fondé sur un sujet chrétien, Theodora apparaît également comme le testament musical d’un musicien au crépuscule de sa vie. Cette nouvelle production retranscrit avec justesse son esprit tout en en modernisant la lettre.

Avec une mise en scène originale, l'Opéra National du Rhin donne une version convaincante du dernier opéra de Mozart: La Clémence de Titus.

Giovanni Antonini leads a splendid orchestral performance of Cesti’s masterpiece, featuring an outstanding cast headlined by Carlo Vistoli.

Mit Roberto Devereux beenden die Regisseurin Mariame Clément und der Dirigent Stefano Montanari an der Genfer Oper ihren dreiteiligen Tudor-Zyklus. Wer die beiden vorhergehenden Stücke auch gesehen hat, profitiert am meisten.  

The Australian director's 2019 production of Handel's satirical comedy-thriller arrives in Amsterdam, with a cast led by the fabulous Stéphanie d'Oustrac. 

With Laurent Pelly directing, a very French evening sees a veritable feat of singing from Stéphanie d'Oustrac in La Voix humaine, followed by riotous surrealism in Les Mamelles de Tirésias.

New National Opera sucessfully  opened a world premiere production of Georges Bizet’s Carmen, directed by Spanish director Àlex Ollé, a production inspired by Amy Winehouse, a diva of today. 

Mezzo-soprano Stephanie d'Oustrac also met the dramatic and musical challenges of Berlioz's Les Nuits d’été.

Una tarde que nos dio que pensar sobre el destino de los héroes y la insondabilidad de los oráculos: reabrir la herida sobre lo humano, demasiado humano.

In Zürich zeigen die Regisseurin Jetske Mijnssen und die Barockspezialistin Emmanuelle Haïm welche Dramatik in Jean-Philippe Rameaus Oper Hippolyte et Aricie steckt.

Tcherniakov reduces Berlioz' epic to little more than Circle Time therapy, a poor way to mark the composer's anniversary year.

A wonderful cast conducted by William Christie in a new production of L’incoronazione di Poppea at the Salzburg Festival. 

Calixto Bieito sets Monteverdi’s L’incoronazione di Poppea in a hedonist, decadent society whose citizens are defined by their egotism, ambition and sexual exploits.

The Orchestra of the Age of Enlightenment stalked the “Corridors of Power” in Prague and Esterházy for a fabulous evening of Classical drama. 

The second half was all about Ravel and Adrian Brendel.

Marble and solitude: Willy Decker's view of La clemenza di Tito is revived with a strong cast at L'Opéra de Paris.

Mozart was supposed to be the composer of La clemenza di Tito but it was really a critical edition of Metastasio’s opus by Teodor Currentzis.

Nicht alles passte in dieser La clemenza di Tito im Konzerthaus Dortmund; unbestritten anregend aber waren die dramatischen Effekte, vor allem das Auskosten des Leisen, der Milde, der Stille.

Just what the doctor ordered: a programme of Franco-Iberian musical delights to advance the cause of a Mediterranean lifestyle, with Charles Dutoit and the RPO in commanding form.

Love may well be a rebellious bird, but that's as nothing to maverick director Dmitri Tcherniakov, whose twisted staging for Festival d'Aix reimagines Bizet's opera as a radical therapy session.

From devoted wife and mother to murdering avenger, Médée is is a challenging role. A new Zurich production firmly secures her place in the collective memory, perhaps for the wrong reasons.

Berlioz's Béatrice et Bénédict is light and fluffy, making it perfect summer festival fare. Sadly, like a soggy soufflé, Pelly's one-trick staging soon falls flat.

Les Arts Florissants' performance of Handel's oratorio Theodora presents true characters with an intense inner life.

“The very incarnation of vice” was how one critic described Célestine Galli-Marié’s Carmen at the opera’s 1875 Opéra Comique première. That description could equally be applied to Stéphanie d’Oustrac in Glyndebourne’s revival of David McVicar’s terrific production.

L’étoile au Dutch National Opera, mis en scène par Laurent Pelly et dirigé par Patrick Fournillier ; ça pétille comme un vin léger et plein de bulles,, à consommer sans modération.