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À Évian, Liya Petrova et Victor Julien-Laferrière ont fait honneur à la programmation de Philippe Bernhard, et Elim Chan a dirigé une Mer d'anthologie à la tête de l'Orchestre national de Lyon.

Des quatre finalistes rescapés des 330 candidatures initiales, le chef allemand et son confrère estonien ont été les plus convaincants – mais l'un d'eux méritait sans doute le Premier Prix, qui n'a pas été attribué...

Le violoniste américain brille dans l'ingrate Symphonie espagnole de Lalo. Excellent dans Manoury, l'Orchestre National de France et son directeur musical ne résolvent pas tous les mystères de La Mer de Debussy.

Dans un programme très bien conçu, Kensho Watanabe dirige un Orchestre Métropolitain de Montréal en belle forme. Karina Gauvin s'illustre dans des lieder d'Alma Mahler.

Le directeur musical de l'Orchestre Philharmonique de Radio France échoue à structurer l'œuvre debussyste et à assister Bertrand Chamayou, brillant dans Ravel comme dans les études de Yann Robin.

Dans un programme Tchaïkovski, Debussy et Ravel, le violoniste Gil Shaham donne son premier concert public depuis le début de la crise sanitaire, tandis que Paavo Järvi retrouve l'orchestre dont il a été directeur musical.

Après un temps d'adaptation, l'Orchestre de Paris et Pablo Heras-Casado se sont accoutumés l'un à l'autre et ont livré de très belles interprétations, notamment celle du troisième concerto pour violon de Péter Eötvös, joué par Isabelle Faust.

À la Philharmonie de Paris, Yannick Nézet-Séguin et les Berliner Philharmoniker donnent une interprétation bodybuildée du chef-d'œuvre debussyste qui laisse peu de place au mystère.

En point d'orgue d'une tournée hivernale, l'Orchestre Français des Jeunes investit la Philharmonie de Paris. Un concert rempli de promesses pour l'avenir de la scène symphonique française.

Nicholas Angelich rejoint l'Orchestre National du Capitole de Toulouse sous la baguette de Tugan Sokhiev pour interpréter un 3ème concerto de Prokofiev charnel et voluptueux. Musique française aussi, dont une création de Mantovani.

L’excellence d’Adriana Gonzalez dans L’Enfant prodigue est contrastée par les étranges adieux faits par Rani Calderon à Nancy.

Le pianiste italien s'est fait l'avocat éloquent de deux oeuvres concertantes trop peu jouées : les Variations Symphoniques de César Franck et la Burleske de Richard Strauss.

Éblouissantes interprétations des Siècles, au milieu d'un rituel qui aurait bien plu à Monsieur Croche.

Sous la direction de Yannick Nézet-Séguin, l'orchestre montréalais interprétait Elgar (avec Stéphane Tétreault), Ravel (avec Alexandre Tharaud) et Debussy. Retour sur une première qui en appelle d'autres.

Proposer un programme composé exclusivement de compositions des XXème et XXIème siècles a de quoi faire mentir ceux qui réduiraient volontiers la musique savante à son seul classicisme.

Embarquement immédiat pour la croisière 2017-2018 de l’Auditorium. Le concert d’ouverture annonce une programmation colorée dont l’exécution en finesse et maturité résulte tout d’abord de l’interaction fusionnelle entre l’ONL et son chef Leonard Slatkin.

Représentant rêvé de la culture symphonique française, Mikko Franck sait ce que ses meilleures heures doivent avant tout à son goût de l’ailleurs.

Quand l'orchestre s'élague... le répertoire suit ! C'est en quelque sorte le credo de cette soirée, dédiée à de grandes œuvres pour orchestre arrangées pour orchestre de chambre.

Un beau marathon de musique française avec, en sommet de côte, le splendide "Tout un monde lointain" d'Henri Dutilleux et le non moins solaire Truls Mørk ! En écho aux influences françaises, s'est glissé un petit suisse contemporain, entre quelques pas de danse raveliens et une ondulation debussiste... 

The Royal Liverpool Philharmonic takes listeners from sultry Debussy to Puccini’s Messa di Gloria, with a nautical detour in between.

The City of Birmingham Symphony Orchestra and its former Music Director thunder in Disney Hall in the latest stop on their US tour.

Prieto, Korngold, Debussy y Ravel fueron cuatro mundos bien conjugados y amalgamados en un concierto que demuestra una vez más el buen estado de la Orquesta Nacional y su crecimiento. 

New Chief Conductor Nicholas Collon passes the Sibelius test with flying colours in a fine Fifth Symphony. 

In Elgar's Cello Concerto, Yo-Yo Ma displays his gentle expressiveness and magnificent “singing”  tone.

A night to remember for Montreal orchestral music devotees as Daniil Trifonov joins the Orchestre symphonique de Montréal and conductor Rafael Payare.

A refined but unromantic rendition of Brahms' Violin Concerto by Midori following compelling account of Anna Clyne's This Midnight Hour and Debussy's La Mer. 

Finnegan Downie Dear leitete durch ein Spektrum sinnlicher Musik von Wagner bis Jonathan Harvey.

Power of three: Finnish conductor Klaus Mäkelä makes his London debut in four works by a trio of composers... three of them in triptych form. 

Kirill Petrenko's remarkable artistry and Boris Giltburg's vibrant piano-playing are the highlights of the Santa Cecilia's performance.

Die Münchner Philharmoniker und das BRSO schließen ihre Corona-Saison mit Klassik am Odeonsplatz ab. In kleinerem Rahmen als sonst, dafür jedoch mit einem Feuerwerk an Klangfarben.

Klaus Mäkelä und das Königliche Concertgebouw Orchester bieten mit Beethoven und Debussy ein mächtiges und unvergessliches Weihnachtsspektakel.

The extraordinary Italian pianist Beatrice Rana and the Philharmonia Zürich orchestra under Fabio Luisi lit up the stage in an unforgettable performance. 

Clarity and colour from Alexandre Bloch and the Orchestre National de Lille in Debussy and Ravel, with an elegant and majestic Beethoven’s Fourth Piano Concerto from Eric Lu.

Barenboim und seine Staatskapelle beschenken die Berliner mit einem weiteren wunderbaren Konzert.

The US premiere of Dieter Ammann's Piano Concerto gets a great reception in Boston from Andreas Haefliger and conductor Susanna Mälkki. 

La Orquesta Sinfónica de Tenerife y su director principal Antonio Méndez presentan un programa muy atractivo dedicado al mar para comenzar la temporada 19-20.

Bookending a concert with Die Seejungfrau and La Mer, Klaus Mäkelä and the Swedish Radio Symphony Orchestra offered two very different musical depictions of water and the ocean.

Thierry Fischer led The Cleveland Orchestra in works of Bizet and Debussy flanking Rodrigo’s Concierto de Aranjuez with Pepe Romero.

Orchestre National du Capitole de Toulouse lets the air out of a promising program and a Czech classic.

Isabel Leonard demonstrated her keen sense of language and a wonderful lack of affectation in both scores she sung.

Tired of looking at the same wallpaper all the time? The London Philharmonic and their conductor Edward Gardner, together with soloist Stephen Hough, offer one way to see (part of) the world.

This was Tchaikovsky raw and fierce as if he had written it, as he might have, for a young lover.

Am Pult der Berliner Philharmonikern glänzt Yannick Nézet-Séguin mit Debussy und Prokofjew.

Bei ihrem Auftritt mit François-Xavier Roth trafen die Musiker bei Ravel und Dukas in Mark und Bein, bis sie bei Debussy den Himmel teilten und über Wasser gingen.

La joven pianista Beatrice Rana debutaba en el Palacio de la Ópera de La Coruña junto a la Orquesta Sinfónica de Galicia. Se presentó bajo la batuta de Otto Tausk con el diabólico Concierto núm. 3 de Prokofiev, el cual acometió con una brillantez y transparencia magníficas. El interés no decayó con el Aprendiz de brujo y la paradigmática La Mer de Debussy en las que la orquesta dio buena muestra de su ductilidad.

With concerts and recitals imaginatively programmed, this second weekend in the CBSO's Debussy Festival was a model of how to make classical music accessible to the widest possible audience.

Celebrating Debussy on the 100th anniversary of his death, this programme played to the strengths of the LSO under the energetic direction of François-Xavier Roth.

Das BRSO und Paul Daniel setzten drei Werke aufs Programm, die jedes auf seine spezielle Weise extreme klangliche Welten erkundet.

Warsaw Philharmonic celebrates the 100th anniversary of Polish independence with performances of great local composers – Lutoslawski, Szymanowski and Szabelski – and Debussy’s La Mer for good measure.