En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Concerto pour violon en ré mineur, Op.47

La cheffe est apparue pour la première fois à la tête de l'Orchestre National du Capitole de Toulouse, avec le violon virtuose de Bohdan Luts en invité d'honneur.

Le chef finlandais se révèle un guide exaltant dans sa fascinante intégrale des symphonies de son compatriote, nous obligeant à oublier toutes nos habitudes d’écoute et nos références discographiques.

Dans un programme qui sortait des sentiers battus et avec un soliste-surprise (Stephen Waarts remplaçant au pied levé Christian Tetzlaff), le BNO et son chef associé ont suscité l'enthousiasme.

Santtu-Matias Rouvali s'épanouit complètement dans Boulanger, Sibelius ou Strauss aux côtés de l’Orchestre symphonique de Göteborg.

Une interprétation de légende du chef-d'œuvre de Berlioz. Dans ce qui restera du mandat de Klaus Mäkelä à la tête de l’Orchestre de Paris, il y aura un avant et un après la Fantastique.

Pour son grand retour auprès du Belgian National Orchestra qui retrouvait par la même occasion son ancien directeur musical, Hilary Hahn subjugue.

À la Cité de la Musique, Case Scaglione et son ONDIF exaltent les ardeurs des symphonies de Sibelius. L'impétueuse Simone Lamsma domine les pièges diaboliques du Concerto pour violon.

L'Orchestre National du Capitole, le chef américain Joseph Swensen et la violoniste Ye-Eun Choi ont défendu avec brio deux œuvres majeures du compositeur nordique.

À la Maison de la radio, Hilary Hahn délivre un concerto de Sibelius soigné, avant de laisser la vedette à un éblouissant Orchestre Philharmonique de Radio France dans la Symphonie fantastique.

Au Théâtre des Champs-Élysées, le violoniste a livré une interprétation époustouflante du concerto de Sibelius. Dirigé par Robin Ticciati, le London Philharmonic Orchestra a laissé une impression plus mitigée dans Bruckner.

Retour sur la grande finale « concerto » du Concours Long-Thibaud, vendredi et samedi à la Maison de la Radio : six jeunes violonistes aux talents aussi grands que variés ont fait honneur au grand répertoire.

Le Swedish Chamber Orchestra a confirmé, après une première partie décevante, sa réputation d’ensemble fringant débordant d’intelligence soliste à travers la Quatrième Symphonie de Brahms.

Une vertigineuse Symphonie n° 7 de Chostakovitch célèbre le retour de l'ex-directeur musical de l'Orchestre de Paris à la Philharmonie.

Retour attendu que celui de l'ancien directeur musical de l'Orchestre de Paris. Celui qui sut porter à ses sommets la phalange parisienne exerce-t-il le même art avec sa nouvelle formation, l'Orchestra de la NHK de Tokyo ?

Triomphe conjoint de Viktoria Mullova et Alain Atinlogu, réunis pour une soirée chatoyante avec Pärt, Sibelius et Brahms. 

Ce concert de l'Orchestre de Paris est d'une grande inégalité, la qualité de la symphonie de Dvořák rattrapant in extremis les déboires du concerto de Sibelius.

Programme réjouissant que celui tourné par l’Orchestre de Chambre de Paris avec Douglas Boyd et leur invité, Viktoria Mullova. Ce soir, les 43 musiciens permanents de l’ensemble nous offrent deux symphonies de Schubert, couplées pour l’occasion au Concerto pour violon de Sibelius. Approche intimiste, sans alibi, sublimée par l’enthousiasme des musiciens.

L’orchestre symphonique du Forum National de la Musique à Wroclaw donne un concert passionnant, plein de rebondissements sous la baguette du japonais Eiji Oue.

La jeune chef estonnienne conquiert l'auditoire par son dynamisme à toute épreuve.

Leonidas Kavakos et John Adams ont apporté jeudi soir au Victoria Hall le supplément d'âme de la soirée, avec Markus Stenz à la tête de l'Orchestre de la Suisse Romande.

En cette année 2015 qui honore les 150 ans de Sibelius, Mikko Franck, futur directeur du Philharmonique de Radio France, propose un concert qui lui est entièrement dédié. Quatre œuvres à la fois différentes et typiques du grand compositeur finlandais étaient au programme de ce magnifique concert. 

Pour ce programme pour le moins éclectique, l’ONCT accueillait le très jeune mais non moins talentueux chef américain Joshua Weilerstein et la violoniste soliste lettone Baiba Skride.

Samedi 19 juillet, Santtu-Matias Rouvali dirigeait à l’Opéra Berlioz de Montpellier un programme de musique russe interprété par l’Orchestre Philharmonique et le Chœur de Radio France, rejoints pour une séquence violon par Renaud Capuçon. Un répertoire dont l’orchestre et les chanteurs ont su mettre en valeur le lyrisme et la solennité.

Manfred Honeck inaugurates the new season in Pittsburgh with a Sibelius concerto and a Dvořák symphony, prefaced by a contemporary American work by Christopher Theofanidis. 

At the George Enescu International Festival, the Frankfurt Radio Symphony plays music without consolation by Sibelius and Shostakovich. 

The BBC's annual classical jamboree is launched in fine style with a premiere and a timely revival, conducted by Sakari Oramo. 

Textures, tensions and transformations across musical perspectives imbue the Tanglewood programme Thomas Adès inherited from Esa-Pekka Salonen. 

La Orquesta Sinfónica de Tenerife ofreció un complejo programa de excelente ejecución y en perfecta comunión con la directora Delyana Lazarova. 

Ryan Banchroft und das Royal Stockholm Philharmonic Orchestra begeistern mit einem intensiven und spannenden Konzertprogramm.

Karina Canellakis makes her debut with the Royal Concertgebouw Orchestra in a programme full of extremes. 

Mit einer unverwechselbaren Wiedergabe von Sibelius‘ Violinkonzert bestätigt die niederländische Geigerin ihr Weltformat. Und in Rimsky-Korsakows Scheherazade schlägt die Stunde des Tonhalle-Orchesters Zürich und seines Chefdirigenten Paavo Järvi. 

As the news breaks that Esa-Pekka Salonen will be leaving at the end of his San Francisco Symphony tenure, he conducts the music of his fellow Finn, Jean Sibelius. 

 After a delightful opener by Suk, Simone Lamsma wows in stunning Sibelius with the RLPO before Rachmaninov's ill-fated, dramatic First Symphony completes the programme.

An Usher Hall fire alarm interrupts Thomas Søndergård and the Royal Scottish National Orchestra's rendition of Dvořák’s Sixth Symphony.

Alpesh Chauhan conducts the LA Phil in the world premiere of Saad Haddad's cinematic Aysheen. 

Comienza una nueva y estimulante etapa para la Orquesta Sinfónica de Galicia con la titularidad de Roberto González-Monjas.

Not much of a flicker in the needle of the barometer for orchestra and conductor in Brahms, but Johan Dalene charms the ear in a serene outing of Sibelius’ Violin Concerto.

Jaap van Zweden conducts the world premiere of Julia Wolfe's multimedia event unEarth, a reflection on the climate crisis, forced migrations and changing seas. 

The Estonian National Male Choir make a strong impression, while Jennifer Pike excels in a cornerstone of her repertoire. 

Everybody's current darling among international orchestras, Klaus Mäkelä, takes his Parisian band on a fantastic ride, courtesy of Berlioz, while Janine Jansen displays individualism in Sibelius.

Janine Jansen's interpretation of Sibelius' Violin Concerto is a triumph, followed by a powerful reading of Prokofiev's Sixth by Noseda – a thrilling concert to leave the heart racing.

The young American conductor leads propulsive readings of Ravel and John Adams in his Philadelphia Orchestra debut, and partners perfectly with soloist Augustin Hadelich in Sibelius' Violin Concerto.

Un sonido de presencia rotunda del violín de Stefan Jackiw inundó el Palacio de la Ópera con un brillante concierto de Sibelius.

In the existential angst stakes, Sibelius steals Mahler's thunder in an intense performance with the Philharmonia and Lahav Shani. 

Detlev Glanert's homage to Kafka highlights an evening of stellar sounds and talent, including Johan Dalene playing Sibelius. 

The precise control of Santu-Matthias Rouvali yields a reference Symphonie fantastique from the Gothenburg Symphony Orchestra; the Sibelius Violin Concerto is less convincing.

An urgent, fiery Eroica follows Augustin Hadelich’s poetic reading of Sibelius’ Violin Concerto at the Festival Hall.

The Hallé also perform two long-neglected mini-masterpieces and a joyful Italian Symphony at the Bridgewater Hall.