Sébastien a grandi à Montréal, au Québec. Après avoir fait des études collégiales en musique classique, il a complété à l’université un premier baccalauréat en littérature française. Successivement traducteur, libraire et professeur de français, il poursuit à présent des études en droit. Entre deux articles de loi, il aime jouer du piano ou de l’accordéon. Il s’intéresse à toutes les époques musicales, de la Renaissance à la musique contemporaine, avec un faible néanmoins pour la musique baroque et le romantisme du XIXe siècle.
À la Maison Symphonique de Montréal, l'Orchestre Métropolitain et le violoncelliste Maximilian Hornung ont livré une prestation admirable, sous la direction inspirée de Jordan de Souza.
Concert costaud samedi dernier à la Maison symphonique de Montréal, avec le Concerto pour violon de Dvořák, la Symphonie n° 3 de Brahms et la création de Hunger de la compositrice Zosha Di Castri.
L’Orchestre symphonique de Toronto prenait d’assaut la Maison symphonique en déployant un arsenal pour le moins impressionnant : Leon Fleisher (90 ans !) dans le Concerto pour piano n°12 de Mozart et la puissante Symphonie n°8 de Bruckner.
L’Opéra de Montréal présentait samedi Dialogues des Carmélites, une production réunissant Serge Denoncourt et Jean-François Rivest. Pour rendre l’univers de Poulenc, ceux-ci ont respectivement fait le choix d’une mise en scène sobre et d’un orchestre expansif : un mélange qui, avec l’arsenal d’interprètes à leur disposition, a donné de brillants résultats.
La Maison Symphonique de Montréal accueillait mardi le pianiste Marc-André Hamelin et l’Orchestre Symphonique de Montréal, sous la baguette de Kent Nagano, pour un concert intitulé « Haydn & Reich ». Au programme : Eight Lines de Reich, le Concerto en sol de Ravel et la Symphonie n° 104 de Haydn.
L’Orchestre Métropolitain, son chœur affilié et trois chanteurs solistes livraient dimanche dernier un concert intitulé « Yannick Nézet-Séguin et l’âme russe », sous la baguette du chef éponyme. Si l’on tient compte de la flamboyance du jeu, de la clarté des tableaux, du chatoiement des couleurs orchestrales, ce n’est pas l’âme russe qui a été révélée cet après-midi-là, mais bien plutôt celle du chef d’orchestre.
Tout ce que la musique russe peut évoquer de force et de fermeté, de passion sourde et d’intensité, Danny Driver l’a livré mercredi soir à la Salle Bourgie. Dans le cadre de la série « Complètement piano » de la Fondation Arte Musica, durant laquelle les compositeurs russes sont mis à l’honneur, le pianiste proposait un récital autour de Bach, Schumann, Balakirev, Rachmaninov et Prokofiev.
Pour leur cinquantième concert à la Salle Bourgie, les Violons du Roy et le chef Bernard Labadie offraient au public quatre cantates de Bach (BWV 52, 82, 84 et 58), en compagnie des solistes Lydia Teuscher (soprano) et Tyler Duncan (baryton). Le tout formait un joli bouquet dans le froid et la grisaille de dimanche à Montréal !
L’Orchestre KlangVerwaltung et le chef Enoch zu Guttenberg, en compagnie du chœur Chorgemeinschaft Neubeuern, proposaient vendredi dernier à la Maison symphonique de Montréal deux œuvres majeures du répertoire choral : le Magnificat de Bach et le Requiem de Mozart. Ce concert était présenté dans le cadre d’une tournée nord-américaine visant à souligner les 20 années d’existence de l’orchestre.
Quoiqu’on l’ait sentie moins à son aise au départ, Hélène Grimaud a livré une performance remarquable et une lecture tout à fait heureuse de la partition.
C’est avec enthousiasme que nous avons accueilli l’initiative de la Fondation Arte Musica et de l’Orchestre Symphonique de Montréal de présenter le Quatuor à cordes n° 2 et le Sextuor à cordes Souvenir de Florencede Tchaïkovski, avec Richard Roberts au premier violon menant l’ensemble formé pour l'occasion.