En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Gounod

Une mise en scène ingénieuse et subtile signée Denis Podalydès du « théâtre total » de cette version originale de Faust, avec une distribution emmenée par un Jérôme Boutillier irrésistible.

Si la mise en scène de Tobias Kratzer n'est pas dépourvue d'incohérences, elle réserve tout de même de grands moments de spectacle. Et la distribution tient son rang, emmenée par un grand Pene Pati.

Après d'intéressantes raretés de la fin du XIXe siècle français, le chef du Concert Spirituel a dirigé une belle version du chef-d'œuvre fauréen dans l'église de Saint-Jean-de-Luz.

Le programme « Proust, mots et musique » s'est avéré un bien curieux mélange, qui a malheureusement laissé la musique en général et le violoncelliste Steven Isserlis en particulier sur la touche.

Exhumé au disque en 2018 par le Palazzetto Bru Zane, le dernier opéra de Gounod bénéficie d'une première mise en scène depuis plus de 140 ans, avec une belle réalisation musicale.

La soprano et le ténor ont brillé de mille feux dans un programme qui aurait gagné à davantage de réflexion dans la conception, et malgré un orchestre parfois à la peine.

Dans un programme qui rendait hommage à Pauline Viardot, la mezzo-soprano et l'ensemble dirigé par Christophe Rousset ont su transcender les intempéries qui se sont abattues sur La Côte-Saint-André.

La nouvelle production de Roméo et Juliette a fait l'unanimité auprès du public, qui a réservé à tous les artistes, sans exception, de longues et chaleuresues ovations. Une très belle réussite, tant scénique que musicale. 

Injustement oublié pendant des décennies, l'opéra de Gounod bénéficie d'une nouvelle production où la beauté des costumes, la qualité de la direction musicale et l'abattage du rôle-titre compensent les défauts observés.

Après une première partie peu de circonstance, le Concert de Noël de l'Orchestre Philharmonique de Radio France a bénéficié de la joie contagieuse de la contralto québécoise dans un répertoire très évocateur...

Dans le programme le plus lyrique du Festival de Pâques, le ténor péruvien et la soprano espagnole ont fait merveille dans Rossini plus particulièrement. 

Pene Pati et Perrine Madoeuf, arrivés quelques heures avant le lever de rideau pour remplacer les titulaires malades, font triompher Roméo et Juliette à l'Opéra Comique.

Dans le cadre des commémorations entourant le centenaire du décès d'Albert Ier, l'OPMC a invité le violoncelliste norvégien pour un programme qui mettait en avant des compositeurs chers au prince.

La cité phocéenne met les petits plats dans les grands pour accueillir La Reine de Saba de Gounod et réunit à cette occasion une remarquable distribution.

Deux clans se sont opposés à l'occasion des dix ans du Centre de musique romantique française, sur la scène du Théâtre des Champs-Élysées. Retour sur un gala haut en couleur.

Au Concert de Paris, les stars de la musique classique se sont succédées devant les caméras de télévision, sous la Tour Eiffel. Pour de beaux moments, malgré la lourdeur des paillettes du 14 juillet.

Cantatrice en pleine ascension, Elsa Dreisig se produisait au Théâtre des Champs-Élysées pour son premier grand récital parisien. Une interprétation splendide dans un programme qui mettait en miroirs quelques scènes d’opéra.

La salle Cortot a accueilli le guitariste Thibaut Garcia le temps d'un récital. Un concert marquant où le jeune artiste a montré son talent hors norme.

Dans une version inédite de l'opéra de Gounod, plateau vocal de haut vol et orchestre peu inspiré ont peiné à s'accorder.

Quasiment oublié depuis sa création en octobre 1854, La Nonne sanglante retrouve enfin les honneurs de la scène. Souhaitons-lui une très longue seconde vie !

Olga Peretyatko, s’affirme comme une grande diva avec un timbre d’une rare pureté, une présence scénique envoûtante.

Plasson montre toute son expérience ; la mise en scène de Lavaudant nous étonne et nous ravit ; une distribution de haute tenue chante de tout cœur. Que demander de plus?

Bryn Terfel propose un récital maléfique et jubilatoire aux Chorégies d'Orange !

Le violoncelliste et sa pianiste Kathryn Stott triomphent à l’Auditorium.

Vendredi 20 Janvier 2017, la finale du concours Paris Opera Competition récompensait de jeunes chanteurs lyriques se produisant devant un jury de professionnels, lors d'un concert-concours public au Théâtre des Champs-Elysées. Verdict. 

Diana Damrau a fait vibrer l'Opéra de Marseille lors d'un récital qui restera dans les anales de l'institution marseillaise. 

Sonya Yoncheva et Saimir Pirgu ont eu pour mission de clore l'édition 2016 des Chorégies d'Orange. Une mission perilleuse ! 

La production reprenait mise en scène, décors et costumes de la création toulousaine 2008-2009 amenée à l’époque par Michel Plasson et Nicolas Joel, et qui avait connu un succès certain, des Chorégies d’Orange à la ville rose. La part d’inconnue résidait surtout dans le plateau et l’individualité des voix.

Une très belle production du Médecin malgré lui de Gounod, servi par un Sganarelle savoureux entouré d’une troupe convaincante, dirigée de main de maître par un Laurent Pelly plein de malice qui nous livre un opus riche et sensible, riant sans parodiant, sans enflure ni surenchère. 

Cette « soirée d’opéra à Paris » nous offre de feuilleter le grand livre de l’opéra français, de Gluck à Massenet.

Elīna Garanča a incarné une Leonora somptueuse, dommage que les morceaux choisis ne furent pas tous du niveau de ce Verdi là ! Demeurent la beauté de la voix et l'intelligence de l'interprétation de la cantatrice.  

Dans le cadre des Nuits de l'Orangerie, Anna Netrebko avait concocté le 4 juillet un programme d'opéra italien quasi en famille, à destination de ses nombreux fans : ceux-ci n'ont pas été déçus.

De cette production, on ne gardera en mémoire que quelques belles émotions lyriques

De Gluck à Massenet, on plonge avec délice dans l’histoire de l’opéra français.

Dirigé par Ulf Schirmer, le Chœur de la Radio Bavaroise, l’Orchestre de la Radio de Munich et les solistes ont donné une très belle soirée. Il est regrettable cependant que les longueurs du texte aient pu parfois distraire le spectateur.

Brillante inicio de curso en Les Arts y triunfo de Lorenzo Viotti en su debut español. 

Amy Lane’s production of Gounod’s Roméo et Juliette at the COC is eye-catching and enjoyable but doesn’t offer the same level of insight as her Faust last season. 

The Swedish clarinettist pays tribute to two jazz legends in Joshua Weilerstein's programme that includes Proms debutante, Elsa Barraine, and Rachmaninov.

Bryn Terfel hizo su debut en México con una noche de Wagner y una selección de arias y canciones diversas.

Stripped of its original superstar casting, Gounod’s grand opera provides entertainment but fails to cohere. 

Hot on the heels of their modern-day take on Salome, Heartbeat Opera returns with another economical but inventive staging of a classic. 

Der französische Tenor bringt mit seiner uneitlen Art und Weise in Charles Gounods Oper das Wiener Publikum zum Schmelzen.

This first-time Neapolitan performance of Gounod's masterpiece is destined to leave a lasting impression in the audience's memory.

The French director updates the action to the present day, underscoring the validity of the plot – feuding families and class differences are still relevant. 

Amy Lane's scattered borrowings from Tim Burton to Stanley Kubrick fail to cohere in the Canadian Opera Company's new Faust.

One of the Lammermuir Festival's miniature miracles: Véronique Gens and Joseph Middleton present an evening of French chansons in the East Lothian countryside. 

In its tenth year and going strong, the biennial Éva Marton International Singing Competition fields an even level of talent in an entertaining finale. 

Eine temporeiche Inszenierung und eine starke Besetzung – Gounods Faust war noch nie so kurzweilig. Chapeau! 

Pretty Yende y Nadine Sierra se entregaron al placer de cantar en compañía y ofrecieron un recital brillante con un perfecto entendimiento entre ambas.

A visually captivating and lyrically authentic production by Doug Scholz-Carlson for the Lyric Opera of Kansas City.