En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Nicholas Angelich

Reconfinement, attentat, crise du secteur culturel : Nicholas Angelich vient faire oublier un temps le climat morose et bouleverse l'Auditorium de Lyon avec un Concerto pour piano nº 3 de Rachmaninov suspendu. 

Aux Sommets musicaux, Nicholas Angelich a délivré une interprétation formidable du Concerto n° 24 de Mozart, avant que l'Aurora Orchestra ne se lève dans la Symphonie n° 1 de Beethoven.

À Deauville, le choc des générations a lieu à plusieurs échelles : Nicholas Angelich, Pierre Fouchenneret et Yan Levionnois croisent le jeune Beethoven et celui de la maturité.

Tout au long d'un récital de très haut vol, dans Beethoven comme dans Brahms et Ravel, Nicholas Angelich déploie un jeu subtil, sophistiqué, modeste et généreux.

Né en 1922, Ivry Gitlis est non seulement un violoniste mais aussi un citoyen, témoin d'un siècle qu'il n'est pas loin d'atteindre. Retour sur l'hommage que la Philharmonie de Paris lui a réservé lundi soir.

Pour le centenaire de l'État de Lettonie, les musiciens de l'Orchestre National de Lettonie dirigé par Andris Poga et accompagné de Nicholas Angelich offrent un concert de haute volée à la Philharmonie.

Deuxième soirée autour de Brahms, avec le piano royal de Nicholas Angelich. En première partie, une somptueuse Rhapsodie pour alto par Gerhild Romberger, avec les hommes de la Zürcher Sing-Akademie.

Premier concert d'un diptyque Brahms à Genève : Nicholas Angelich fait preuve d’une maestria sans ostentation dans le premier concerto, rayonnant sous la direction de Jonathan Nott.

Nicholas Angelich rejoint l'Orchestre National du Capitole de Toulouse sous la baguette de Tugan Sokhiev pour interpréter un 3ème concerto de Prokofiev charnel et voluptueux. Musique française aussi, dont une création de Mantovani.

Yannick Nézet-Séguin donne avec l'orchestre de Rotterdam une 4ème Symphonie de Bruckner mémorable, précédée du Concerto n°27 de Mozart aux notes incroyablement fraîches sous les doigts de Nicholas Angelich.

Bizet, Ravel et La Tragédie de Salomé de Florent Schmitt à l’honneur au Festival Musique française

Œuvres de la maturité, les sonates représentent un sommet de l’écriture piano-violon, tant au niveau de l’équilibre entre les deux instruments que de la richesse motivique fruit d’une inspiration féconde. 

Ce goût prononcé pour le flou, le tendre, n’a plus aucun secret pour Myung-Whun Chung. Si bien que la promesse d’un programme 100% brahmsien pour le retour au Philhar du chef honoraire avait de quoi enthousiasmer et fut, avec un plaisir et une générosité évidentes, abondamment tenue.

Triste concert symphonique aux Chorégies où Bernstein et Gershwin ont perdu le rythme. 

Le pianiste américain Nicholas Angelich nous offre dans son récital un programme dans lequel sa remarquable capacité de coloriste à différentier les plans sonores se met au service d'une pensée musicale exemplaire.

Sous la baguette du jeune et talentueux Gustavo Gimeno, les deux compositeurs à l’honneur étaient Beethoven et Ravel, tous deux figures marquantes et révolutionnaires de la forme par le langage, le plus classique des romantiques d’un côté, le plus traditionnel du style français moderne de l’autre.

Une soirée qui se voulait un hommage vibrant à la personnalité d'Adolf Busch. Mais dans leur approche géométrique, le style résolument moderne et leur son patiné : aucune trace des Busch chez le Quatuor Renaud Capuçon. 

Le 23 octobre 2015, l’Auditorium de Radio France accueillait comme tous les vendredis un concert de l’Orchestre philharmonique de Radio France. Au programme ce soir-là, de la musique russe : Tchaïkovski, Prokofiev, Stravinsky. Une soirée réussie, notamment grâce à la présence du célèbre pianiste Nicholas Angelich.

Lundi soir le Victoria Hall s'est un peu endormi dans une errance esthétique peut-être trop appuyée de la part de Renaud Capuçon...  Brahms a perdu son âme en chemin : dommage. 

Hélène Grimaud était attendue les 17 et 19 septembre aux côtés de l’OnL dirigé par Léonard Slatikin à l’Auditorium de Lyon. Malheureusement, la pianiste étant souffrante, elle a été remplacée par l'américain Nicholas Angelich entraînant quelques désistements dans le public qui n'a pas été perdant dans ce changement!

Renaud Capuçon et Nicholas Angelich se consacrent à l'oeuvre de Johannes Brahms. Lyrisme et délicatesse sont au rendez-vous.

A month into the year-long "Nature Unwrapped" programme at Kings Place, it was the turn of its resident Aurora Orchestra to contribute to the series.

Festivals and academies breed familiarity and mutual compassion between audiences and returning artists. Yet the warmly informal feel of this concert owed mostly to the close relationships between the musicians themselves.

Argerich is predictably a force of nature in Tchaikovsky and Dutoit shows his mettle in Ravel and Stravinsky.

Daniel Barenboim's absence may have confounded the all-Debussy programme but it left the Aix audience with a beautifully balanced recital.

El programa que la Orquesta Sinfónica de Euskadi presentó el pasado martes en el Baluarte de Pamplona tuvo como nota dominante el amor romántico, salpicado por un frenesí contemporáneo.

An all-Beethoven evening at the Philharmonie where the orchestral playing lacked bite, but Nicholas Angelich provided warmth and humanity in the Fourth Piano Concerto.

An embarassment of 20th century riches from the Philharmonia and Tugan Sokhiev.  

Nicholas Angelich's Mendelssohn Piano Concerto reaches places that Nézet-Séguin's and the LPO's Mahler Ninth at the Royal Festival Hall rarely touched. 

Last night’s program with the Sydney Symphony Orchestra was one of those to really get your teeth into, with substantial, complex works by Brahms and Rachmaninov, and only a short amount of respite provided by Dvořák. This was serious music in the form of the heavyweight Brahms Piano Concerto no. 1, which contains almost too much music to comprehend in one sitting.

Tortured souls don't always produce tortured music. Last night's concert at the Barbican, given by the LSO and Daniel Harding, featured two works by Schumann and Bruckner, two composers who had more than their fair share of mental crises and self-doubt. Both, however, produced music of rare beauty.