En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Ana Maria Labin

Le metteur en scène signe un maelstrom débridé, volontiers fantasque, où fusionnent l’art et le sport, les performances vocale et athlétique, le chant et la danse.

Le récital d'Eva Zaïcik avec Les Épopées restera dans les annales beaunoises, de même que la version de concert très incarnée de Didon et Énée par les Arts Florissants.

Jean-Christophe Spinosi et l’Ensemble Matheus reprennent l’œuvre de Vivaldi avec une distribution resplendissante : Carlo Vistoli fait le ravissement général dans le rôle-titre.

Le public fait un triomphe à cette reprise des Noces de Figaro, dont la mise en scène (Ivan Alexandre) respectant de très près le livret de Da Ponte met paradoxalement en lumière la modernité de l'œuvre.

À la Philharmonie, Julia Lezhneva triomphe dans ce bijou de la jeunesse de Haendel... jusqu'à faire de l'ombre à ses partenaires ?

Marc Minkowski et ses Musiciens du Louvre étaient à Genève pour une soirée consacrée à la musique religieuse de Mozart. Une déception, causée par l'effectif vocal limité et une direction excessivement droite.

Beethoven en toute limpidité, de l’œuvre lyrique à la Messe en ut en passant par la Fantaisie chorale.

Retour sur le dernier volet de la triologie Da Ponte à Versailles sous la baguette de Marc Minkowski.

Marc Minkowski et ses musiciens décidément irréprochables connaissent en effet le verbe mozartien sur le bout des doigts, et en conjuguent avec le même plaisir manifeste l’intranquille sensualité, le délicat tumulte et le lyrisme résigné. 

Pas de changement de décor depuis Les Noces de Figaro l’an dernier : l’action de Don Giovanni se déroule ici encore entre un élégant théâtre portatif  de rideaux et de fausses coulisses, écrin idéal pour les lieux de représentation – Drottningholm puis Versailles.

Quoi de plus cohérent pour une saison versaillaise célébrant le tricentenaire de la mort du plus absolu des monarques français, que de programmer les subversives Noces de Figaro à l’Opéra Royal ?

Unter der Leitung von Raffaele Pe gelingt dem MusikTheater an der Wien eine kohärente Rekonstruktion von Francesco Gasparinis Opera seria Ambleto. Die musikalischen Highlights bleiben aber aus.

The Staatsoper Unter den Linden's multi-seasonal Baroque project continues with a new production of Mozart's first opera seria, which roars and soars under the conducting of Marc Minkowski.

Ivan Alexandre y Marc Minkowski hermanan tres obras del combo compositor-libretista en una única dimensión, con más aciertos que fallos, presentando una propuesta fresca y viviente.

In the Bucharest performance, the individual vocal contributions were consistently good, with some really standing out.

The third opera of the Mozart-Da Ponte trilogy opens the opera festival in Drottningholm, the "Swedish Versailles", with a good cast beautifully conducted by Marc Minkowski.

Brockes-Passion is becoming not quite the performing rarity it once was, and this outstanding performance at the Göttingen Handel Festival this year could hardly be bettered.

A lack of inspiration and dull staging is a serious hindrance to the second of Glyndebourne's touring productions.

Ian Page assembled a fine cast, with a particularly good Leporello from David Soar for yet another superb performance of Mozart from Classical Opera.

David McVicar's production is visually stylish, superbly acted and the attention to detail is pervasive. Show-stealing acting from Franck Saurel's Selim and a fine Osmin from Clive Bayley help make this a memorable evening's opera.

A gleeful production of The Marriage of Figaro from Opera North, which makes it hard to imagine any dark side at all to the comedy. 

Glyndebourne has a great track record with staging Handel’s works. In recent years, there have been great productions of Theodora, Rodelinda and Giulio Cesare, all of which have proved equally popular at subsequent revival and Glyndebourne on Tour (GTO) productions as well.