En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Cristian Măcelaru

Le chef roumain a manqué son rendez-vous avec Beethoven, échouant à transmettre une vision engagée de la Symphonie n° 3 du compositeur.

En visite à la Philharmonie de Paris, le National et son directeur musical ont déçu, notamment dans une deuxième suite de Daphnis et Chloé peu inspirée.

Inégaux dans Strauss, Cristian Măcelaru et l'Orchestre National de France ont accompagné une Joyce DiDonato émouvante dans des lieder d'Alma et Gustav Mahler.

Le National et son directeur musical ont proposé un programme festif rappelant que Vienne n'est pas seulement la patrie des Strauss mais aussi le creuset d'une quantité de traditions populaires d'Europe centrale.

L'orchestre et son directeur musical ont livré une interprétation puissante de la Deuxième Symphonie de Mahler, avec Karen Cargill en invitée d'honneur.

Après un Concerto pour violon de Brahms décevant en compagnie de Julia Fischer, l'orchestre et son chef ont rayonné dans les Images de Debussy, et intéressé dans la rare Deuxième Symphonie d'Elsa Barraine.

Le piano formidable d'Alexandre Kantorow n'a pas suffi à compenser le ronron orchestral de la phalange dirigée par Cristian Măcelaru, peu éloquente également après l'entracte dans les extraits de Roméo et Juliette de Prokofiev.

Dans un programme 100% français qui représente pourtant le cœur de leur répertoire, l'orchestre et son directeur musical ont paru empruntés, au contraire d'un Seong-Jin Cho inspiré dans Saint-Saëns.

Premier des cinq concerts célébrant les 90 ans de l'Orchestre National de France, La Damnation de Faust de Berlioz dirigée par Cristian Măcelaru a laissé l'auditeur sur sa faim.

Prenant des tempos extrêmement lents, déstructurant les phrases, le pianiste russe n’est pas parvenu à apprivoiser la difficile partition de Rachmaninov.

Directeur musical du National et du George Enescu Festival, Cristian Măcelaru a dirigé un chef-d'œuvre méconnu, la Troisième Symphonie de Georges Enesco, après un formidable concerto de Rachmaninov par Kirill Gerstein.

Le directeur musical de la formation parisienne donne aux œuvres de Debussy et Ravel des contrastes abrupts et une vivacité explosive, au détriment parfois de leur onirisme et de leur délicatesse.

La soprano allemande a brillé de mille feux dans la scène finale de Capriccio, formidablement accompagnée par un Orchestre National de France en grande forme sous la direction de Cristian Măcelaru.

Le violoncelliste a délivré une performance hautement spectaculaire, aux côtés d'un Orchestre National de France dont les individualités ont brillé, sous la direction inégale de Cristian Măcelaru.

Le violoniste américain brille dans l'ingrate Symphonie espagnole de Lalo. Excellent dans Manoury, l'Orchestre National de France et son directeur musical ne résolvent pas tous les mystères de La Mer de Debussy.

Aux côtés d'un Boris Giltburg explosif, Cristian Măcelaru et l'ONF se complaisent dans un perfection sonore absolue qui confine parfois à une certaine platitude.

Au Grand Théâtre de Provence, l'Orchestre National de France, son directeur musical et le violoniste Nikolaj Szeps-Znaider font une démonstration de virtuosité parfaitement dosée.

À Radio France, Cristian Măcelaru propose une lecture plutôt intimiste de la Symphonie n° 4 de Brahms, et relie le compositeur à son ami Johann Strauss fils, chanté par Fatma Said.

L'ennuyeuse Symphonie n° 2 de Saint-Saëns n'a pas contribué au succès de ce concert de rentrée à Radio France, animé seulement par l'arrivée du pianiste britannique. 

Cristian Mǎcelaru elicits enthralling performances from the ONF, Daniil Trifonov blends stunning virtuosity with poetic insight in a crowd-pleasing French program.

Das Tonhalle-Orchester unter der Leitung des Gastdirigenten Cristian Măcelaru bringt neben der Zürcher Erstaufführung von Weathered auch die fünfte Symphonie von Prokofjew zur Aufführung.

Venturing into Gershwin, Rudolf Buchbinder joins an Orchestre National de France programme at the George Enescu International Festival marked by surprises. 

Măcelaru's eclectic programming elicits passionate performances from the Orchestre National de France, and Randall Goosby shows his versatility with elegant and impassioned artistry. 

A sumptuous exploration of Saint-Saëns at Lotte Concert Hall in a programme forming a cohesive tapestry woven from the composer’s fascination with colour, all traced back to a distinctly Parisian sensibility. 

Cristian Măcelaru und die Pianistin Beatrice Rana begeistern mit Ravels Klavierkonzert sowie weiteren französischen Klassikern.

Expectations are not fulfilled in an uneven performance of Mendelssohn's great fiddle concerto, followed by an unidiomatic view of Sibelius' Fifth Symphony.

Frisch gebackener Ritter Măcelaru legt mit Di Castri, Lutosławski und Orff zündende Lunten eines in sich stimmigen Geburtstagsfeuerwerks.

In Elgar's Cello Concerto, Yo-Yo Ma displays his gentle expressiveness and magnificent “singing”  tone.

Ein Auftritt mit Enthusiasmus und Knalleffekt als Grundlage für einen bestätigenden Erfolgsdreiklang aus Vorstellung, Vertrag und Visitenkarte.

Ging mit Saint-Saëns' Symphonie ein ersehnter Ruck durch das Orchester, erfüllten sich die erweckten Hoffnungen auf einen kämpferischen Beethoven bei Tjeknavorian und Mačelaru nicht.

The percussion department of the Orchestre National de France took their turn in the spotlight for Rodion Shchedrin's ballet. 

Cristian Măcelaru conducts The Hallé in music by Copland, Bernstein and Gershwin, plus his own arrangement of Jake Heggie's Moby Dick.

Making his Proms debut, Cristian Măcelaru opened the evening with music from his countryman, Constantin Silvestri, before tackling Prokofiev and Rachmaninov.

 A lively, muscular account of Stravinsky's Violin Concerto by Norwegian violinist Vilde Frang while Măcelaru conducts a convincing Manfred Symphony by Tchaikovsky. 

Zwischen düsterer Nachtmusik und greller Groteske schwankt Schostakowitschs Erstes Violinkonzert.

Performing both works for the first time, the RCO capered crisply through Shostakovich’s Suite from The Nose and played sumptuously in Weill’s The Seven Deadly Sins, with captivating songstress Wende.

A glittering performance of Mason Bates’ recent “concerto for orchestra” was a thrilling journey wedged between pretty good Beethoven.

Cristian Măcelaru joins forces with Nikolaj Znaider in a performance of Tchaikovsky's Violin Concerto with the Atlanta Symphony Orchestra.

It was a concert of two halves for RSNO's Bernstein tribute.

Hallé guest conductor Cristian Măcelaru provided excellent direction in a selection of classic repertoire.

Bach presented in various orchestral transcriptions made for a powerful, entertaining evening in Barcelona. 

Mason Bates' Symphony Liquid Interface takes over the stage in Washington DC. 

Cristian Măcelaru and the Hallé give exemplary accounts of Fauré's Dolly Suite and Prokofiev's Romeo and Juliet, whilst Mozart's “Jeunehomme” Concerto with soloist Heejae Kim is variable and lacks instrumetal balance.  

The Hallé under Cristian Măcelaru performs a thrilling concert of works inspired by legends, along with Poulenc's Organ Concerto. 

Helena Wood makes Lutoslawski's Partita sizzle while the Con Tempo Quartet give a fascinating account of Liget's Métamorphoses nocturnes. 

The Slav pianist brings his informal vision of Bartók to Symphony Hall.

Shostakovich's Eighth dominated another memorable City of Birmingham Symphony Orchestra programme. 

Cristian Măcelaru and the Vancouver Symphony offer an imperfect yet charismatic journey through Central Europe in works by Dvořák, Brahms, and Enescu.

Znaider's dual role: this week, violinist, next week conductor at the  Kennedy Center.