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Dans son récital qui ouvrait l'édition 2025 du festival tourangeau, le pianiste argentin s'est illustré dans les petites formes que sont le Carnaval de Schumann et les Préludes op. 23 de Rachmaninov.

Dans un récital au (trop) long cours, le duo a souvent semblé déséquilibré, le violoncelle d'Edgar Moreau manquant de caractère au côté du piano somptueux et virtuose de Nelson Goerner.

Dans un récital qui associait Debussy à Schumann et Chopin, le pianiste argentin a fait étalage de son talent, associant connaissance intime des partitions, virtuosité, liberté, panache et bonheur de jouer.

Le pianiste argentin a livré un récital de haut vol, notamment dans une seconde partie indescriptible consacrée aux œuvres de Franz Liszt.

Des Danses symphoniques de Rachmaninov légendaires et un Carnaval des animaux exceptionnel, lu par Annie Dutoit-Argerich : le concert de clôture des Sommets Musicaux aura tenu ses promesses !

Le pianiste argentin affronte les difficultés par la face nord dans un récital audacieux qui marque également par la profondeur de ses pages lentes.

À la Philharmonie de Paris, Martha Argerich et Nelson Goerner ont montré qu'ils avaient, à l'instar de Nelson Freire à qui ils rendaient hommage, « The real thing ».

Nelson Goerner était au Théâtre des Champs-Élysées : dans un programme romantique, entre Schumann, Brahms et Liszt, le pianiste argentin nous livre un beau récital marqué de sa « griffe ».

En compagnie du pianiste Nelson Goerner, la phalange héraultaise a emmené son public fidèle dans une soirée festive, avec Michael Schønwandt en heureux maître de cérémonie. 

Le chef Paavo Järvi dirigeait ce jeudi l’Orchestre de Paris dans trois œuvres contrastées. Parmi elles, le Concerto pour piano n° 4 de Beethoven, interprété avec une grande finesse stylistique par Nelson Goerner. Un concert ensorcelant !

L’Orchestre de la Suisse Romande sous la baguette de Jonathan Nott poursuit son chemin vers l’excellence. Nelson Goerner offre un concerto de Ravel stratosphérique ! Heureux genevois !

Le pianiste argentin semble à peine tendu, bien qu'il doive jouer les deux concertos de Chopin ! Un exploit tant ces pièces exigent que l'instrumentiste mobilise toutes les ressources physiques dont il dispose.

Avec Nelson Goerner, la Hammerklavier explore, rumine, plus qu’elle n’affirme. Pourtant, non seulement ne se lasse-t-on jamais de l’écouter, mais le pianiste nous en livre une image chimérique, insaisissable et par là tout à fait unique.

Sans doute l'un des plus beau récital entendu à Genève depuis ce début de saison: le style, l'émotion, la capacité de faire chanter son piano. Tout a concouru pour rendre à Beethoven et Debussy une émotion rare et sublime: chapeau Mr Goerner! 

La visita de Nelson Goerner cierra brillantemente el Ciclo Grandes Intérpretes en el Auditorio Nacional.

Un atractivo programa para una de las visitas de la temporada de Josep Pons, quien venía acompañado del pianista Nelson Goerner.

El CNDM presentó en el ciclo Liceo de Cámara XXI un concierto a dúo por dos grandes pianistas cuyo carisma transcenció la propia interpretación.

Valery Gergiev nos ofrece al mando de la Orquesta Sinfónica del Teatro Mariinsky dos obras que giran en torno a la figura del héroe.

Martha Argerich gives a rare solo performance in the final programme of her festival, performing movements from Tchaikovsky's The Seasons for the very first time. 

The Martha Argerich Festival minus Martha Argerich on this occasion, but ending with a Russian pièce de résistance.  

El martes 31 de enero de 2017, en el Auditorio Nacional, tuvimos el placer de escuchar a la Orchestre de la Suisse Romande bajo la batuta del director Jonathan Nott y con Nelson Goerner como solista, en un concierto integrado dentro del ciclo Ibermúsica y dedicado íntegramente al genio de Bonn, Ludwig van Beethoven.

Where does one go to hear some of the world’s greatest pianists? To Jerusalem. More specifically, the Jerusalem International Chamber Music Festival, the annual ten-day musical delight in the Holy City in early September. 

How radical can an exposition repeat be? Well, in the hands of Schubert, very radical indeed, it turns out. The sheer scale of the Molto moderato which opens his final piano sonata means that by the time the opening material returns a huge swathe of time has passed, so much so that each re-encountered phrase is seen in the light of all that happened in the mean time.

The Pastoral Symphony is perhaps an optimistic choice for January in Manchester, but for a short while all memory of the deluge outside evaporated in the Bridgewater Hall.Olivier Messiaen’s suite L’Ascension opened the concert with serene, otherworldly modality in a masterfully sculpted brass chorale.