En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Le Sacre du printemps

En associant Joséphine Baker dans un solo de Germaine Acogny et Pina Bausch avec son mythique Sacre du printemps, le TCE rend hommage à son histoire et à deux grandes artistes.

Sur des œuvres de Schubert et Stravinsky interprétées en live, la troupe australienne Circa incarne une humanité en souffrance mais solidaire dans un spectacle plein de beauté et très actuel.

De Mendelssohn à Stravinsky en passant par Schubert et Ravel, en quatre mains ou à deux pianos, le duo hollandais a subjugué par son osmose impressionnante et son jeu idéal.

La phalange et son ancien directeur musical ont donné la Pastorale de Beethoven et Le Sacre du printemps de Stravinsky dans un beau concert qui aurait toutefois pu être plus porté sur la narration.

Bien loin du jeune musicien très prometteur qu'il était dans son album Chopin-Liszt de 2011, le pianiste russe déçoit lors d'une soirée déconcertante à plus d'un titre.

Si Klaus Mäkelä et l'Orchestre de Paris impressionnent fortement dans leur enchaînement du triptyque Oiseau de feu / Petrouchka / Sacre du printemps, le rapprochement film-musique ne convainc pas.

Pour leurs débuts avenue Montaigne, les deux frères se montrent particulièrement bien accordés et d'une élégance à toute épreuve, quitte à manquer parfois de variété dans les personnalités et les caractères.

L’École des Sables, centre de formation de danse contemporaine fondé au Sénégal par Germaine Acogny, interprète le mythique Sacre du printemps de Pina Bausch dans une tournée mondiale qui fait l’événement.

La première rencontre de l'Orchestre symphonique de Québec et des Violons du Roy a donné lieu à un renversant Sacre du printemps. Prestation sans faille du légendaire trompettiste Håkan Hardenberger.

Au Théâtre des Champs-Élysées, Lahav Shani dirige brillamment son Orchestre philharmonique de Rotterdam. Dans le Concerto n° 4 de Rachmaninov, Freire a les doigts d'un jeune homme.

À l'Opéra de Nice, Hélène Grimaud réalise une superbe performance dans le Concerto en sol de Ravel et parvient à insuffler élégance et expression à l’orchestre philharmonique de la ville.

Après un temps d'adaptation, l'Orchestre de Paris et Pablo Heras-Casado se sont accoutumés l'un à l'autre et ont livré de très belles interprétations, notamment celle du troisième concerto pour violon de Péter Eötvös, joué par Isabelle Faust.

Sous la direction de Kent Nagano et en compagnie de Marie-Nicole Lemieux, l'Orchestre Symphonique de Montréal enchaîne les chefs-d'œuvre symphoniques à la Philharmonie, de Jeux au Sacre du printemps.

Qui de mieux pour défendre un programme Penderecki/Dvořák/Stravinsky que Krzysztof Urbański, chef d'orchestre polonais, et Josef Špaček, violoniste tchèque ? Les deux trentenaires promettent une bouffée de fraîcheur.

Après près de trente ans, la compagnie fondée en 1926 par la chorégraphe Martha Graham remonte sur les planches de l’Opéra Garnier. Pionnière de la danse moderne, la chorégraphe a laissé derrière elle un répertoire de plus de cent cinquante œuvres qui ont profondément marqué l’histoire de la danse. 

Les quatre-vingt-treize musiciens des Dissonances ont participé à une performance extrême: interpréter le Sacre du printemps sans chef d'orchestre. Retour sur cet événement qui a enthousiasmé la Philharmonie.

L’Orchestre de la Suisse Romande aura émerveillé dans l’accompagnement d’un Sergey Khachatryan au violon élyséen dans le concerto de Brahms, et paru un peu technique dans un Sacre du Printemps néanmoins rutilant et adolescent sous la direction de Jonathan Nott.

Un dialogue entre peinture et musique autour des avant-gardes russees et françaises avec les pianistes Tamara Stefanovitch et Lenad Lecic, à l'occasion de l'exposition Icônes de l'art moderne, la collection Chtchoukine à la fondation Louis Vuitton.

Il fallait bien la solidité technique et la richesse expressive, rares, de l’Orchestre Philharmonique de Saint-Pétersbourg, alliées au brio et à l’élégance d’un Berezovsky en très grande forme, pour sublimer ces deux substances au détriment d’aucune. Un grand concert !

Nouvelle saison à l'Auditorium de Lyon : Cameron Carpenter dépoussière le grand orgue Cavaillé-Col.

Outre un Royal Philarmonic Orchestra London pléthorique, on aura retenu les délices pianistiques d’un Daniil Trifonov superlatif, et surtout un Chrales Dutoit qui nous livre Un Sacre du Printemps magistral d’énergie primale et de musicalité : des concerts qui vous revigorent pour longtemps !

Toujours soucieux de proposer à un public varié une musique à la croisée des genres, l’Orchestre Pasdeloup a donné à la Philharmonie de Paris un programme d'une cohérence, d’une rigueur et d’une générosité rares.

Avec une soirée mixte réunissant les chorégraphies de Christopher Wheeldon, Wayne McGregor et Pina Bausch, l’Opéra de Paris rend hommage au compositeur et chef d’orchestre contemporain Pierre Boulez.

Troisième gala d’ouverture de la Philharmonie de Paris : les masses éclatantes de Borodine, Tchaïkovski et Stravinsky livrent un nouvel aspect de l'acoustique de la salle — chatoyant bien que parfois déséquilibré.

Jean-Yves Thibaudet’s astonishing technical prowess in Saint-Saëns’ Fifth Piano Concerto entrances Amsterdam’s Concertgebouw. 

Eva Ollikainen conducts the BBC Symphony Orchestra and soloist Johannes Moser in the UK premiere of Anna Thorvaldsdottir’s BBC co-commissioned Cello Concerto. 

Fragmentation to ritual: this was no Rite of Spring of two halves but a single, vast architectural crescendo.

The Uzbek conductor shows that he's a force to be reckoned with, revealing unimaginable amounts of detail in Stravinsky's score. Jan Lisiecki gives a carefully weighted account of Mozart.

The Seattle Symphony co-commissions a new work, Jan Lisiecki plays Mozart with religious fervor, and Stravinsky's Sacre still creates an uproar.

Vasily Petrenko frames his Royal Philharmonic Orchestra programme with Berg and Stravinsky, with Boris Giltburg playing Beethoven's Emperor Concerto in between. 

After so many terrific concerts in the last few months, Petrenko's performance with the SSO does not quite fulfill expectations.

Klaus Mäkelä opens his London Symphony Orchestra debut with Tapiola, gripping from its very first bars. 

A double bill of great contrasts, common ground[s] with Germaine Acogny and Malou Airaudo, and Bausch’s Rite of Spring with École des Sables is captivating.

Tough, punchy Stravinsky from guest conductor Teddy Abrams and violinist Leila Josefowicz.

Blurring boundaries: Romanticism and Modernism in Kirill Gerstein and Alan Gilbert’s Boston Symphony performances at Tanglewood. 

El concierto de la Orchestre de la Suisse Romande se convirtió en un evento especial al concederle a Martha Argarich la Medalla de Honor del Festival.

Evangelia Kranioti's film reawakens the extraordinary extremity of Stravinksy's original ballet score in the Netherlands Radio Philharmonic's performance. 

Die Musik als Gegenwart: Teodor Currentzis gelingt mit dem SWR Symphonieorchester und dem Pianisten Kirill Gerstein ein atemberaubender Festspielabend, dem sich niemand zu entziehen vermag. 

Martha Graham Dance Company never disappoints. Especially good is her version of The Rite of Spring with Stravinsky's score played live.

As part of a deep dive into music of the Ballets Russes, the Orchestre de Paris and their busy Music Director bring visceral Stravinsky ballets to Carnegie Hall.

La SWR Symphonieorchester ofreció, con Orozco-Estrada a la cabeza, un concierto emocionante y sólido con un sonido contenido en la Pastoral de Beethoven y una explosión de energía en la Consagración de Stravinsky.

Seong-Jin Cho is the scampering left-hand soloist in Ravel's “Gershwin meets Boléro” concerto. 

Occurring at the Park Avenue Armory, the double bill program investigated stories of the crone and the maiden. They were united by the mother who brought us together – Pina Bausch.

A major premiere from Romania and a Russian classic that’s forever new in a concert that struck out with a spirit of adventure at the Barbican.

The TSO’s opening concert promises a season of style and ideas, but it’s Gustavo Gimeno’s uncompromisingly raw Rite of Spring that offers the evening's pièce de résistance.

Powerful performances of a double bill at the Edinburgh International Festival by the Senegal based École des Sables.

The inaugural mcr:classical weekend comes to a rowdy finish with Stravinsky's Rite of Spring at The Bridgewater Hall.

Isata Kanneh-Mason thrills with sparking fingerwork in Prokofiev, while the RLPO and Domingo Hindoyan are just as dazzling in Falla and Stravinsky.