En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Laurent Naouri

La mise en scène de l'ex-directeur du Komische Oper de Berlin s'appuie sur une foule multicolore qui ne suffit pas à transcender les limites de l'opéra-bouffe d'Offenbach.

Créée en 2016, la mise en scène de l'opéra de Debussy par Katie Mitchell a fait l'objet de plusieurs adaptations qui apportent cependant leur lot d'interrogations et de doutes.

Distribution exemplaire (dont Lea Desandre dans le rôle-titre), orchestre, chœur et chef aux petits oignons, mise en scène intelligente : le génial opéra de Charpentier fait une grandiose entrée au répertoire de la Grande Boutique.

Malgré un aspect véritablement enchanteur, la mise en scène de Mariame Clément ne convainc pas toujours, comme la distribution. Heureusement, l'orchestre dirigé par Keri-Lynn Wilson vient au secours du plateau.

La nouvelle production de Roméo et Juliette a fait l'unanimité auprès du public, qui a réservé à tous les artistes, sans exception, de longues et chaleuresues ovations. Une très belle réussite, tant scénique que musicale. 

Dans sa tentative de relier les œuvres de Stravinsky et Poulenc, le metteur en scène produit un spectacle déséquilibré, peu convaincant dans Le Rossignol avant de livrer d'irrésistibles Mamelles de Tirésias.

En ouverture de saison, la production mise en scène par David Marton et dirigée par Nathalie Stutzmann est un succès, porté par une belle distribution.

Le Festival de Menton met en lumière les plus célèbres airs de Broadway magnifiés par l’interprétation de Natalie Dessay et de ses invités surprise.

Permettre au public de redécouvrir une œuvre rare et rassembler toutes les conditions pour que l’entreprise soit un succès : mission accomplie !

Après un mois et demi d'annulations successives, l'Opéra de Paris a rouvert ses portes pour l'œuvre d'Offenbach, dans la célèbre mise en scène de Robert Carsen, toujours aussi ingénieuse.

 À Bastille, nouvelle reprise de Madame Butterfly dans la mise en scène historique de Robert Wilson. On adore ou on abhorre ; en tout cas, le plateau et l'orchestre font l'unanimité.

Dernier spectacle proposé dans l'éphémère Opéra des Nations, Viva la mamma ! est un formidable opéra dans l'opéra. La production doit beaucoup à ses deux Laurent, Pelly et Naouri.

Superbement incarnée par Vannina Santoni, c’est une grande Violetta qui est née ce 28 novembre 2018 au Théâtre des Champs-Élysées.

Hier soir à la Philharmonie, la rencontre miraculeuse d’une distribution de très haut vol et d’un public aussi nombreux qu’attentif nous prouvait que les Liebeslieder avaient encore de beaux jours devant eux.

Un épatant Laurent Naouri croise le fer vocal avec Patrizia Ciofi dans une distribution sans faille.

Accourez au grand théâtre voir et entendre cette belle production de Cosi fan tutte qui loin d’être parfaite, rassemble une belle équipe qui joue et offre le plaisir d’un Mozart juvénile et frais, dominé par les interventions tant musicales que scéniques de la Despina de Monica Bacelli et du Guglielmo de Vittorio Prato.   

Un sombre pacte faustien anime cette nouvelle création de Luca Francesconi à l'Opéra de Paris, servie par une distrution vocale précieuse et portée par une musique aux harmonies plurielles.

Frissons et effroi à l'Opéra de Lyon autour du duo flamboyant Naouri - Stundyte.

Surréaliste, psychanalytique, ce Pélléas et Mélisande l’est donc assurément. Mais c’est peut-être sa naïveté, sa tendresse presque enfantine, qui l’emporte.

Berlioz mis en scène de façon incisive et satirique par David Marton à l’Opéra de Lyon.

Habituée de la Halle aux Grains et du répertoire français, Natalie Dessay retrouvait la salle toulousaine cette fois-ci accompagné par Laurent Naouri et par le pianiste polonais Maciej Pikulski. 

Avec un Philharmonia au meilleur de sa forme, un plateau exceptionnel et une direction intelligente, ce fut une sensationnelle représentation de l'unique opéra de Debussy.

Vendredi 18 juillet à 20h, sous la direction de Santtu-Matias Rouvali, l'Orchestre Philharmonique de Radio France a interprété un programme consacré à Maurice Ravel. Une soirée inoubliable qui restera gravée dans les mémoires comme un sommet de musicalité. Festival de Radio France - Montpellier Languedoc Roussillon

Mozart's Requiem packs in the crowd, but it's Berg's Violin Concerto with Carolin Widmann that really finds the spiritual depth.

Director Johannes Erath and conductor Alexander Soddy bring György Kurtág's first and only opera to the Staatsoper Unter den Linden, starting the year with a dash of Beckett.

John Dexter's production, now among the longest-serving in the company's repertory, remains a marvel of simple, effective storytelling.

Laurent Pelly’s new production combines froth and hilarity with a dark, satirical heart; Marc Minkowski and the orchestra seduce us.

Ludovic Morlot conducts Berlioz’s Roméo et Juliette with The Hallé.

Marco Arturo Marelli's 2012 production lacks mystery but puts a fine Golaud centre stage, while Esa-Pekka Salonen ensures superior musical values in the pit. 

Sir Mark Elder conducts a memorable performance of Berlioz' masterpiece in Manchester's Bridgewater Hall.

The Met's new season opens with a new Samson et Dalila only marginally more trashy than Saint-Saëns’ peculiar brand of kitschy orientalism.

Dismembered after the 1840 bankruptcy of its promoter, Opera Rara's decade-long reconstruction has resulted in a beautifully constructed opera that's enjoyable throughout.

Bartlett Sher's production of Gounod's Romeo et Juliette returns to the Met. 

Laurent Pelly’s staging provided some of the most memorable moments in this performance of Cendrillon. 

Bartlett Sher's production of The Tales of Hoffmann, revived at The Met, takes a Kafka-esque, surreal view of the opera.

An unapologetic treat at the Proms and a composition of immediate appeal.

Prom 20 proved an exhilarating journey, featuring Berlioz’s Roméo et Juliette as one of the key works of this year’s BBC Proms' Shakespeare 400 celebrations.

Great opera at the Los Angeles Philharmonic as Esa-Pekka Salonen conducted Debussy’s Pelléas et Mélisande as part of the City of Light, a retrospective that examines works seen in Paris during the first half of the 20th century. 

The task sounded Herculean: turning Benvenuto Cellini, that reputedly difficult, flawed work by Berlioz, into an utterly entertaining show that renders justice to its youthfully energetic music. This is what Terry Gilliam manages to pull off... and it is nothing short of miraculous.

Great singing and acting from the Met's Tales of Hoffmann second cast. 

Opera at the 2012 Proms began with a performance of Debussy’s only completed opera, Pelléas et Mélisande. Conducted by Sir John Eliot Gardiner, the production celebrated the 150th anniversary of the composer’s birth, and marked the 24 years since Gardiner first brought the work to the Royal Albert Hall with the Opéra de Lyon.

Claude Debussy’s only opera, Pelléas et Mélisande, calls for a spring in a forest, scenes in a palace, a well in a park and a scene in the palace vaults. Ever since its premiere in 1902, it has been a difficult work to stage, and indeed to appreciate. Its complex symbolism, impressionistic music and lack of any memorable melodies were not a good recipe for a runaway hit.

We spent last night in Zurich, where we had the chance to see the Zurich Opernhaus production of Offenbach’s Tales of Hoffmann. It’s the first time I’ve been to the opera house here and the first time I’ve seen Offenbach on stage, so interesting on both counts. The opera house is “small but perfectly formed”, as the cliché goes.