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Si l'Orchestre National du Capitole de Toulouse a étalé sa somptueux pâte sonore, c'est bien la pianiste argentine qui a une nouvelle fois impressionné dans le Concerto pour piano n° 1 de Beethoven.

Martha Argerich joue avec des partenaires de longue date et de jeunes artistes qu’elle prend sous son aile, nous confirmant qu’elle est l’une des plus fabuleuses chambristes qui soit.

Dans le Troisième Concerto de Bartók, soliste, chef et orchestre ont proposé une interprétation admirable et indissociable, avant une Symphonie « du Nouveau Monde » d'une très grande justesse.

Avant une splendide Deuxième Symphonie de Rachmaninov sous la direction d'un Antonio Pappano inspiré, la lionne argentine a réservé de ces coups de griffes dont elle a le secret...

Des Danses symphoniques de Rachmaninov légendaires et un Carnaval des animaux exceptionnel, lu par Annie Dutoit-Argerich : le concert de clôture des Sommets Musicaux aura tenu ses promesses !

Entouré de Martha Argerich, Géza Hosszu-Legocky et Edgar Moreau, le pianiste britannique a réservé aux spectateurs de la Philharmonie une soirée de légende.

Avec les Wiener Philharmoniker, Argerich et Mehta ont donné un programme Schumann/Bruckner qui a rappelé de grands moments de leurs histoires respectives et fait vibrer une nouvelle fois le Musikverein.

Les deux pianistes sont d'une vivacité rythmique qu'aucun chef, aucun orchestre ne peuvent atteindre ; ils animent le ballet de Prokofiev d'un souffle rare, malgré l'acoustique de la Philharmonie pas idéale dans ce répertoire.

À la Philharmonie de Paris, Martha Argerich et Nelson Goerner ont montré qu'ils avaient, à l'instar de Nelson Freire à qui ils rendaient hommage, « The real thing ».

L'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo a invité la pianiste et le chef d'orchestre Charles Dutoit pour un concert Ravel-Tchaïkovski de haut vol.

De passage à Paris au cours d'une petite tournée européenne, le duo éblouit dans Beethoven, Prokofiev et Franck.

Le festival « Les Coups de Cœur à Chantilly » du pianiste Iddo Bar-Shaï célèbre les 80 ans de la célèbre pianiste, avec Evgeny Kissin et Maxim Vengerov en guest stars.

Brahms enflammé, Schumann passionné, Chostakovitch endiablé : rien ne résiste au duo formé par Mischa Maisky et Martha Argerich, qui déchaîne le public de la Philharmonie.

Concerto, symphonie, œuvres pour deux pianos ou cordes seules : voici le programme éclectique offert par Martha Argerich et l'Orchestre de chambre Franz Liszt dirigé par Gábor Takács-Nagy en cet après-midi de Fête des Lumières à Lyon.

Triomphe pour Martha Argerich dans le Concerto n° 1 de Liszt. L'Orchestre de l'Académie nationale de Sainte-Cécile livre une leçon d'orchestre sous la direction d'Antonio Pappano.

Né en 1922, Ivry Gitlis est non seulement un violoniste mais aussi un citoyen, témoin d'un siècle qu'il n'est pas loin d'atteindre. Retour sur l'hommage que la Philharmonie de Paris lui a réservé lundi soir.

Au milieu d'un week-end « Spirit », Martha Argerich était invitée à donner le Premier Concerto de Liszt. Pärt et Schubert étaient également au programme, par l'Orchestre symphonique de Lucerne.

Au Septembre Musical de Montreux, Charles Dutoit galvanise les troupes de l’European Philharmonic of Switzerland et séduit le public par l’excellence de son interprétation.

Argerich. Maisky. Jansen. C’est la promesse de voir le génie en acte, l’autorité musicale en robe d’insouciance.

Martha Argerich, Emmanuel Krivine et l'Orchestre national s'en donnent à coeur joie dans le Concerto en sol de Ravel avant que le chef s'embarque avec Sindbad le marin pour les mille et une nuits de Shéhérazade.

Entre la gouaille chostakovitchienne et l’exubérance des batucadas, entre la sensualité brésilienne et le fatum d’un Tchaïkovski, il n’y avait qu’un pas, franchi par l’orchestre Neojiba et son chef Ricardo Castro, portés par la figure de Martha Argerich.

Le chemin enneigé, bordé de bougies, monte à la vieille Église de Saanen de 1604. Sous son toit, le vieux bois de la balustrade, d’une chaude couleur miel, travaille, grince, gémit : l’atmosphère des concerts hivernaux à Gstaad est unique.

Deux ans après la disparition de Claudio Abbado, mais près d'un demi-siècle après leur premier triomphe parisien, Martha Argerich revient poser le fin mot d'une longue histoire.  Difficile de ne pas éclater en superlatif – sinon en larmes – après pareil saisissement.

Martha Argerich and Mischa Maisky's duo recital at Wigmore Hall turns into a trio... and offers the London audience a rare opportunity to hear the Argentinian pianist play solo.

El concierto de la Orchestre de la Suisse Romande se convirtió en un evento especial al concederle a Martha Argarich la Medalla de Honor del Festival.

In the sacred golden temple that is the Musikverein, Martha Argerich plays Ravel's saucy Piano Concerto in G major, before the Philharmoniker and Zubin Mehta play Bruckner's Seventh Symphony. 

Soaring choral music precedes the arrival of Martha Argerich for a daredevil account of Shostakovich's First Piano Concerto with RPhO Principal Trumpet, Alex Elia. 

Martha Argerich returns to the Enescu Festival for one of the pillars of her repertory, Prokofiev's Third Piano Concerto, in a buoyant performance. 

Argerich shows her full artistry, while Europe's young musicians show impressive coordination and dynamics, if short of emotion in Beethoven 7.

Some conductors get better with age, ripening like fine wines, but age wearies others. Daniel Barenboim’s decline is difficult to bear.

Returning to the concert platform after recent illness, Argerich demonstrates why she's still the reigning pianist in Lucerne's “Le Piano symphonique” festival. 

Nach einer wunderbaren ersten Mozart-Hälfte mit Cecilia Bartoli und Martha Argerich kam das Konzert zu einem unerwarteten Ende.

El CNDM presentó en el ciclo Liceo de Cámara XXI un concierto a dúo por dos grandes pianistas cuyo carisma transcenció la propia interpretación.

The octogenarian phenomenon that is Martha Argerich still has something different to say about Schumann's Piano Concerto, while Sylvain Cambreling adopts a bright and breezy approach to Schubert's Ninth Symphony.

Das Schumann-Programm des Musikfests Berlin wird zu einer wahren Sternstunde.

Martha Argerich is one of the musical miracles of our times. Like exquisite wine, she seems to gain depth and new qualities with maturity.

Martha Argerich gives a rare solo performance in the final programme of her festival, performing movements from Tchaikovsky's The Seasons for the very first time. 

From Beethoven's “Ghost” Piano Trio to Schumann’s song cycle, Frauenliebe und -leben, an eclectic programme at the Martha Argerich Festival. 

Lilya Zilberstein, Gabriela Montero and Martha Argerich were just three of the pianists in this celebration of the piano in Hamburg. 

Piazzolla rubs shoulders with Lanner and Kreisler at the Martha Argerich Music Festival in Hamburg's Laeiszhalle. 

Gérard Caussé and Nicholas Angelich impress in Brahms, while Mischa Maisky joins Martha Argerich in Shostakovich. 

An enjoyable first live stream of the 2021 edition of the Martha Argerich Festival in Hamburg's Laeiszhalle.

All the music in their joyous concert was composed to delight the ear, and during a distressing pandemic there can be no higher calling.

A performance of Ravel's concerto to savour as a beacon of light and hope in these dark times. 

An unmissable recital as the Sommets Musicaux festival takes on an online incarnation. 

The duo shines in sunny Beethoven, cool Prokofiev and over-ripe Franck.

Martha Argerich hadn't played Chopin's Third Piano Sonata in public for at least 25 years... so this performance at the Laeiszhalle Hamburg came as a huge surprise.

Argerich sprinted through technical runs with her characteristic articulation and breathtaking technique, and made Prokofiev's Third seem like child’s play.

Zu kontrolliert und selbstverständlich wirkten Ravels La Valse und Strawinsky, ein Musizieren mit angezogener Handbremse.