En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Symphonie no. 1 en ré majeur «Titan»

La violoncelliste suisse d'origine argentine a bouleversé le public toulousain dans Schelomo d'Ernest Bloch, avant que le directeur musical de l'ONCT ne joue la carte des contrastes exacerbés dans la Première Symphonie de Mahler.

Très attendu, le concert du tandem Pappano-LSO, qui marquait les débuts du mandat du maestro à la direction musicale de la phalange britannique, a surpris par son aspect compact et brouillon.

Lors de deux soirées de clôture grandioses, le futur chef principal de l'orchestre anglais a créé un ascenseur émotionnel rarement vécu de mémoire de spectateur.

Sous la direction taillée au cordeau de Jaap van Zweden, l'orchestre a proposé une interprétation exceptionnelle d'un superbe programme, avec Alexandre Kantorow en invité de marque.

Une soirée riche en couleurs et en textures, même si la Première Symphonie de Mahler a parfois souffert d'un excès de décibels, après un Concerto d'Adams engagé mais pas tout à fait convaincant.

En deux concerts, le jeune chef finlandais et futur directeur musical de l'Orchestre National du Capitole de Toulouse a montré l'étendue de son talent et de sa complicité avec la phalange toulousaine.

Si la création mondiale de l'œuvre de Camille Pépin a en partie tenu ses promesses avec Renaud Capuçon en soliste, la Première Symphonie de Mahler a laissé de marbre.

La formation dirigée par François-Xavier Roth associait Schönberg et Berg à la Première Symphonie de Mahler, dans un programme livré avec plus de précision que de souffle.

À la Seine Musicale, le DSO Berlin célèbre avec Robin Ticciati et Leif Ove Andsnes son 75e anniversaire, dans un Concerto de Schumann limpide et une éblouissante Première Symphonie de Mahler.

Une belle découverte avec Spira d'Unsuk Chin, Lise Davidsen impériale et une Première de Mahler d'un genre nouveau : avec Klaus Mäkelä, la rentrée musicale est de bon augure !

Sous la direction de Sakari Oramo, l'Orchestre Philharmonique Royal de Stockholm propose une Symphonie n° 1 de Mahler bien morne. Compensée heureusement par la clarinette stratosphérique de Martin Fröst dans Mozart.

À la Maison de la Radio, Neeme Järvi propose un Mahler original et captivant. Mais In Mo Yang manque de la douceur nécessaire pour défendre le Concerto n° 3 de Saint-Saëns.

Après une palpitante interprétation du concerto de Beethoven et de la Symphonie n° 1 de Mahler, Isabelle Faust, Daniel Harding et l'Orchestre de Paris triomphent à la Philharmonie.

Clôture du festival de Royaumont 2018 à la grange de Vaulerent, avec un concert 100% Mahler. François-Xavier Roth et Les Siècles ont affronté des conditions météorologiques peu idéales.

Dénes Várjon et Izabella Simon exécutaient la première symphonie de Mahler dans une version pour piano quatre mains. Gagne-t-on au change ?

Tout comme on parlait d'un phénomène Nézet-Seguin, il est en train de se produire un phénomène François-Xavier Roth...

Le précédent Troisième concerto de Trifonov, en 2015 avec Chung, avait suffisamment marqué les esprits pour qu’on l’invite à rebiffer, Gergiev au pupitre...

L’Orchestre de la Suisse Romande sous la direction de Jonathan Nott sonne éduqué et stylé, ce qui aura convenu particulièrement bien à Schubert, moins à Mahler. On attend de voir ce que le travail à long terme produira en terme d’émotion musicale. L’Orchestre de la Suisse Romande est à la croisée des chemins et de tous les possibles.

Tel est le tarif pour quiconque assiste à une performance du chef québécois. Nous autres parisiens, avions eu la chance de l’entendre dans son intégrale Mendelssohn, c’était au tour de Mahler et de sa 1ère Symphonie.

On sait que si la Philharmonie affichait complet depuis quelques semaines, ce n’était pas uniquement parce qu’elle enthousiasme davantage le public que l’Auditorium, ni parce que le nom d’Edgar Moreau s’ajoutait à celui de Mikko Franck.

Un opus 73 de la qualité de celle de Till Fellner, aussi pétillant de vie, ne lassera jamais personne. De même, difficile d'imaginer Première Symphonie de Mahler plus dominée que celle de Herbert Blomstedt qui, dans une simplicité apparente, parvient à en dégager toutes les lignes de force.

Vendredi 1er avril 2016, Myung-Whun Chung revenait diriger l’Orchestre Philharmonique de Radio France dont il a été le directeur musical pendant 15 ans. Au programme, le Triple Concerto de Beethoven et la Symphonie n°1 de Mahler. Un concert très appréciable, donné au profit de l’UNICEF.

Deux géants du romantisme au programme de l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg.

Don Juan, sept lieder de Strauss et Titan : les Bamberger Symphoniker nous offraient ce soir un vaste aperçu de l'idéal postromantique allemand, tant amoureux qu'héroïque. À leur tête, le charismatique Jonathan Nott a suscité la totale adhésion du public, malgré les imperfections de son orchestre et de sa battue.

After Jan Lisiecki clarifies the architecture of Beethoven's Third Piano Concerto, Renes' Mahler felt like a letter written in the dark. 

John Williams' new concerto evokes the spirit of jazz virtuosos, paying tribute to Art Tatum, Bill Evans and Oscar Peterson. 

La London Symphony Orchestra con Gustavo Dudamel en la dirección ofreció un equilibrado y magnífico concierto dominado por la narrativa intrínseca de la obra de Mahler.

Led by Sir Antonio Pappano, the London Symphony's first New York appearance in two decades also featured Janine Jansen in Bernstein's Serenade after Plato's "Symposium".

Like the grainy intensity of a high-contrast black-and-white photograph, these rugged edges accentuated Mahler’s expressive extremes, reaffirming the conductor’s innate flair for crafting a grand aesthetic narrative within the symphony’s expansive architecture.

Continuing their Carnegie Hall mini-residency, Klaus Mäkelä and the Royal Concertgebouw Orchestra dive into late Romantic works by Schoenberg and Mahler.

Domingo Hindoyan opens the 2024–25 Liverpool season with Strauss, Mahler and a novelty by Juan Bautista Plaza. 

Kahchun Wong conducts his first concert as The Hallé's Principal Condutor, concluding with Mahler's First Symphony. 

Before heading to the Far East for a 12-concert honeymoon, the nuptials of the LSO and new Chief Conductor Sir Antonio Pappano were completed in the fourth concert at the Barbican. 

Unter Leitung von Manfred Honeck machen das Pittsburgh Symphony Orchestra und Pianist Yefim Bronfman im Rahmen ihrer Europatour Station beim Südtirol Festival in Meran.

Under Iván Fischer's direction, Mahler's First Symphony is notable more for bombastic passion than subtle artistry.

Mit Mahlers Erster Symphonie, die sie schon bei ihrem Einstand im Berliner Konzerthaus dirigiert hat, begeistert die deutsche Dirigentin auch das Zürcher Publikum restlos.

After a hiatus of five years, Singapore Symphony's Conductor Laureate Lan Shui returns for a poignant Mahler 1. 

On its 50th anniversary concert tour, the Hong Kong Philharmonic pulls out all stops in Singapore, joined by star French pianist Alexandre Kantorow. 

The US premiere of Jimmy López Bellido's Ephemerae, a Philadelphia Orchestra co-commission, leads the listener by the nose through a world of olfactory sensations.

Gidon Kremer konnte bei Bartóks Erstem Violinkonzert seine ganze Kunst vorführen. Markus Poschner dirigierte Mahlers Erste Symphonie.

The youthful phenomenon mesmerises his Montreal audience in Prokofiev's Third Piano Concerto. 

The Simón Bolívar Symphony Orchestra, Gustavo Dudamel and cuatro player Jorge Glem set the Edinburgh International Festival alight with a mix of Venezuelan music and a terrific Mahler 1. 

Sir Stephen Hough launches the Proms' Rachmaninov celebrations with a winning rendition of the composer's First Piano Concerto. 

Hannu Lintu conducts the BBC Symphony Orchestra in an epic symphonic programme at Snape Maltings. 

Michael Tilson Thomas couples Mahler and Debussy at The Cleveland Orchestra, close contemporaries but worlds apart stylistically. Leif Ove Andsnes illuminates the latter’s sole work for piano and orchestra.

Judith Jáuregui, Enrique Diemecke y la OFUNAM reunieron dos obras de gran formato en un concierto deslumbrante y lleno de emoción.

A thrilling account of Mahler's First Symphony under Simone Young launches the Sydney Symphony Orchestra's 2023 season, with Mahler's Blumine and Debussy's Ariettes oubliées on the undercard.

Kirill Gerstein dio vida al inspirado Concierto para piano de Thomas Adès con su sonido rotundo a la par que la Orquesta Sinfónica de Galicia tuvo su protaganismo