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Temps fort de la saison du Ballet de l'Opéra National de Bordeaux, la soirée « Quatre tendances » associe cette année deux créations de Wiest et Casquilho et deux œuvres cultes de McGregor et León & Lighfoot.

Le petit festival de piano organisé par Vanessa Wagner dans le bel auditorium en bois clair du Musée des impressionnismes de Giverny a mis à l'honneur quatre pianistes remarquables.

Dans un programme « italien » qui associait la création française d'une œuvre de Glass à des partitions de Mendelssohn et Strauss, le chef et l'orchestre ont montré leur singularité.

Dans Debussy, Ravel comme dans Les Enfants terribles de Philip Glass, les deux pianistes donnent à entendre l'osmose à laquelle elles sont parvenues en cinquante ans de carrière.

Phia Ménard propose une relecture glaçante et audacieuse des Enfants terribles de Philip Glass, dernier volet de la trilogie Cocteau du compositeur américain.

Sans la mise en scène de Bob Wilson, l'œuvre majeure de Philip Glass révèle toute son inconsistance malgré l'engagement de l'Ensemble Ictus et du Collegium Vocale Gent.

La compagnie fondée par Benjamin Millepied présentait un programme consacré à trois chorégraphes américaines émergentes (Pam Tanowitz, Madeline Hollander et Bobbi Jene Smith), pour un résultat plus que mitigé.

Jean Cocteau rencontre Philip Glass à l'Opéra d'État hongrois, dans le cadre neuf de l'Eiffel Art Studios, et cette production des Enfants terribles se déroule à un tempo infernal !

Qui de mieux que John Adams pour diriger un concert américain ? L'Orchestre Philharmonique de Radio France s'est associé au fameux compositeur pour un concert prometteur mais finalement frustrant, notamment dans la création du jour.

Le L.A. Dance Project présente un programme où quatre esthétiques fondamentalement différentes se côtoient : une conception artistique très intéressante. Retour sur la variété de ces écritures contemporaines made in L.A.  

La création française de la Symphonie n° 12 de Philip Glass est un échec inattendu, qui masque la remarquable interprétation de Tchaïkovski par Krzysztof Urbański et l’Orchestre Philharmonique de Radio France.

Les jeunes danseurs du NDT 2 interprètent avec brio les œuvres d’Alexander Ekman, Marco Goecke, Sol León et Paul Lightfoot sur la scène du Théâtre National de Chaillot.

Pour la première fois, le Ballet de l’Opéra de Paris interprète des œuvres du tandem Sol León et Paul Lightfoot, actuels directeurs artistiques du Nederlands Dans Theater.

En 2018, le monde entier a fêté le centenaire de la naissance de Jerome Robbins, chef de file de la danse néoclassique américaine. Le Ballet de l’Opéra fait revivre cet héritage avec une soirée-hommage reprenant quatre œuvres de Robbins.

L'Orchestre de Radio-France s'invite à la Philharmonie pour un programme à l'accent américain, de Fauré à Bernstein en passant par Glass (création française du Double concerto) et Copland.

Bruce Brubaker bien plus que lecteur, se fait acteur en mettant en scène l’inconscient de ce monde flottant qui nous habite et résonne en nous, au plus profond et que révèle Philip Glass. 

Une nouvelle saison s’ouvre à l’Opéra Garnier, avec une soirée réunissant les chorégraphies de Justin Peck et William Forsythe créées l’année dernière, la création de la talentueuse chorégraphe canadienne Crystal Pite The Seasons’ Canon, et une composition sans titre de Tino Sehgal

L.A. Dance Project, collectif fondé et dirigé par Benjamin Millepied, est de retour à Paris au Théâtre des Champs Elysées avec un programme néoclassique mêlant Martha Graham, William Forsythe, Justin Peck et Benjamin Millepied.

Le Ballet de l’Opéra de Paris présente une nouvelle soirée néoclassique qui met à l’honneur trois générations de chorégraphes : Georges Balanchine, Jerome Robbins et les chorégraphes contemporains Alexeï Ratmansky et Justin Peck.

N’en déplaise aux sœurs Labèque, Jaap Van Zweden était indiscutablement la star de cette soirée. En regard d’une 5ème Symphonie de Chostakovitch récurée, brillant de mille feux, la création programmée a pris un rude coup.

La dixième édition des Etés de la danse marque le retour du San Francisco ballet à Paris, compagnie qui avait inauguré cette manifestation en 2005.  Une matinée néoclassique dont la beauté et la fluidité de la danse laissent un goût de revenez-y...

Katia et Marielle, les sœurs pianistes, avec l'assistance du trio de musiciens basques Kalakan, nous donnent des mélodies, des rythmes et des couleurs d’horizons variés. C'est un concert étonnamment homogène malgré un programme éclectique.

An eclectic programme including evocative Sámi joiks from and powerful Shostakovich performed from memory by the Norwegian Chamber Orchestra.

El esplendido dúo pianístico Labèque inundó de notas y emociones la Iglesia del Carmen de Peralada.

In Prometheus, Krzysztof Pastor has created an epic full-length ballet for his company which serves to show-off a roster of powerful principal roles as well as a fine ensemble.

A joyful, very gracious finale for a highly respected and loved principal dancer at NYCB. Andrew Veyette bows out with dignity and humility.

Philip Glass' Double Concerto proves to be a substantial, rewarding work in the hands of Gidon Kremer and Giedrė Dirvanauskaitė with fine support from the Belgrade Philharmonic under Hossein Pishkar. 

Kate Soper performs the role of Orpheus, spoken and sung, in the world premiere of Orpheus Orchestra Opus Onus at David Geffen Hall. 

A wonderfully varied triple bill for NYCB allowing the company to shine across all ranks.

After a more traditional direction from the new leadership of Ballett am Rhein in their season opener, new programme Kaleidoskop is a mixed selection that sees a fusion of contemporary and neoclassical choreography. 

Yuja Wang conquers Tchaikovsky’s First Piano Concerto, and just as impressive is The Cleveland Orchestra’s powerful take on the same composer’s Fifth Symphony.

Barrie Kosky's new production of Philip Glass' Akhnaten for Komische Oper at the Schillertheater removes any egyptological references. 

Despite my reservations about Diabelli, there is no doubt Twyla Tharp is one of the most inventive, adventurous voices in dance still (and she's 83). She deserves her flowers.

The JACK Quartet frames its recital at Symphony Space on Manhattan’s Upper West Side around the Pierre Boulez centennial. 

Missy Mazzoli's Dark with Excessive Bright is the centrepiece of the Omega Ensemble's contribution to the festival's imaginative chamber music series. 

An exceptional programme with insight, didn’t quite fulfil itself with renditions that had understanding, but lacked a little polish and refinement.

Lucinda Childs presents four new works at the Haus der Berliner Festspiele, appearing on stage as a youthful 84, in one of them.

Artistic Director, Susan Jaffe, reviving the Kingdom of the Shades for ABT’s Fall Season was both a testament to her trust in her company, and also a test.

Just as there can never be a bad performance of Serenade, there are no bad performances of In the Upper Room. It practically dances itself.

What took so long, you may wonder, to get three female choreographers on a triple bill at New York City Ballet. This one yielded three keepers. 

A carefully chosen programme of exciting, short pieces which all share parallel energetic explorations of musical patterns and pulses.

Before heading to the Far East for a 12-concert honeymoon, the nuptials of the LSO and new Chief Conductor Sir Antonio Pappano were completed in the fourth concert at the Barbican. 

Piano Concerto #2 dominated this program and as the closer, would have sent everyone home happy.

Yuja Wang returns to David Hockney’s Bigger & Closer (not smaller & further away) installation at London's Lightroom for a truly immersive recital. 

Baritone Benjamin Appl and accordionist Martynas Levickis tour Europe and the USA in songs and solos demonstrating both the richness and simplicity of 19th- and 20th-century music. 

Zwei Premieren von Marcos Morau und Yoann & Marie Bourgeois sowie Crytal Pites Paradestück Solo Echo sorgen für einen elektrisierenden Abend.

Although Glass Pieces and Pictures at an Exhibition are on the surface very different ballets, they both draw us into their world. I wish NYCB had been able to find more compelling middle ballets.

Fabien Gabel showcases his French music bona fides, while Katia and Marielle Labèque offer a trademark Philip Glass concerto with the Orchestre symphonique de Montréal.