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Dans un programme remarquablement construit en forme d'hommages en série, le jeune pianiste a fait montre d'un toucher subtil et d'une belle maîtrise de langages riches et variés.

Le festival dirigé par Suzana Bartal s'est achevé en beauté, avec un récital de Jean-François Heisser et l'alto solo des Berliner Philharmoniker en invité d'honneur.

Dans un programme conceptuel sous-titré « Prélude aux Préludes », le pianiste canadien a déçu, notamment dans des Préludes op. 28 de Chopin plus qu'approximatifs.

Après plusieurs années d'exil forcé, la Maîtrise retrouve enfin sa cathédrale et inaugure son retour avec un programme de nature à combler ceux qui croient au Ciel comme ceux qui n'y croient pas.

Le soir de l'officialisation de sa nomination en tant que futur directeur musical de la formation, le chef a montré l'étendue de ce qu'il pouvait apporter à l'orchestre dans une formidable Septième de Bruckner.

Programme-fleuve et effectifs pléthoriques ont livré un étonnant hommage à Gabriel Fauré, peu en accord avec le style du compositeur. Avec des moments extrêmement convaincants néanmoins.

Cinq pianistes, 2h30 d'un récital XXL aux allures d'épopée noctambule : l'édition 2024 de Pianomania a fait plus que tenir ses promesses, même si tous les pianistes n'ont pas convaincu.

Dans l'œuvre formidable de John Zorn comme dans les Chants de Terre et de Ciel de Messiaen ou dans les pièces de Scriabine, les deux artistes proposent une interprétation exceptionnelle.

Pour une fois directement sous le feu des projecteurs, les musiciens de la Grande Boutique et leur directeur musical ont globalement brillé dans un programme varié allant de Haydn à Messiaen.

La soprano allemande a brillé de mille feux dans la scène finale de Capriccio, formidablement accompagnée par un Orchestre National de France en grande forme sous la direction de Cristian Măcelaru.

Le directeur musical honoraire de l'Orchestre Philharmonique de Radio France surprend dans son interprétation légère et peu recueillie de la Septième Symphonie d'Anton Bruckner.

En ouverture du Klarafestival, la cheffe opte pour une approche assez mesurée et une sobriété qui évitent le piège du sentimentalisme mais privent Messiaen et Mahler d'une part de leur puissance expressive.

Sous la direction du chef finlandais, l'œuvre monumentale d'Olivier Messiaen a eu du mal à retenir l'intérêt, après une belle prestation d'Axelle Fanyo et de l'Orchestre de Paris en première partie.

Concluant leur résidence à la Cité de la Voix, l'Ensemble Aedes et son chef ont proposé un extraordinaire programme-concept en forme de « chemin de foi » menant au Stabat Mater de Poulenc.

Sous le titre berliozien Des milliers de sublimités, le festival de La Côte-Saint-André proposait cette semaine une programmation riche et passionnante, à la fois ambitieuse et abordable.

Le programme choisi par Sir George Benjamin pour le DSO nous plonge dans les théories modernes de l’utilisation du son orchestral, de Paul Dukas à Benjamin lui-même, avec le concours efficace de Cédric Tiberghien.

Dans la Salle des concerts de la Cité de la Musique, Pierre-Laurent Aimard donne au chef-d'œuvre de Messiaen toutes ses dimensions.

Dans son répertoire de prédilection qui avait impressionné Olivier Messiaen lui-même, Roger Muraro livre Vingt Regards aussi mystiques que mythiques.

Dans l'église de La Grave, le pianiste et le violoncelliste se promènent avec aisance entre des styles variés, de Beethoven à Manoury et Meïmoun en passant par le trop rare Maurice Emmanuel.

À la tête de l'Orchestre National du Capitole de Toulouse, le jeune chef scandinave a livré une interprétation personnelle et intense d’œuvres phares du répertoire français, aidé par le violoncelliste István Várdai.

Jean-Paul Gasparian livre un récital qui montre une approche pianistique des plus fines. Excellent dans une première partie Debussy-Murail-Messiaen, le musicien montre quelques difficultés dans Chopin ensuite.

Depuis plusieurs années, l’Opéra de Nice propose chaque lundi midi un concert inédit, donné aux quatre coins de la ville. Aujourd’hui, rendez-vous est pris avec Vera Novakova (violon), Bruno Caulier (cor) et Roberto Galfione (piano).

Raphaëlle Moreau. Yan Levionnois. Paul Meyer. Adam Laloum. Quatre noms et un Quatuor pour la fin du Temps surnaturel, qui a emporté les Sommets musicaux de Gstaad vers des hauteurs inattendues.

Deborah Nemtanu, Livia Stanese, Florent Pujuila et François-Frédéric Guy se sont réunis salle Cortot autour de l'œuvre de Haydn et de Messiaen. Quatre belles personnalités musicales pour un programme très inspiré.

Marquée à la fois d’un désir de lignagevet d’un profond souhait de modernité, la musique d’un Messiaen, d’un Stravinsky ou d’un Fauré posent inévitablement problème à tout interprète voulant rendre compte de la part éthique d’une esthétique.

Belle idée que de faire coïncider les ateliers dédiés à l’orgue de l’Auditorium et la programmation du festival Présences : l’orgue se prête mieux que n’importe quel instrument au désir de monographies de cette édition, mettant à l’honneur une compositrice à la croisée d’influences et de domaines d’expression.

Fazil Say « par l’auteur », (K)ein Sommernachtstraum d’Alfred Schnittke, Messiaen et Chostakovitch. Un programme exemplaire, et une salle qui aurait mérité d’être pleine !

La Philharmonie de Paris a la chance d'acceuillir le London Symphony Orchestra dirigé par Sir Simon Rattle, dans les Couleurs de Cité céleste de Messiaen suivies d'une remarquable Symphonie n°8 de Bruckner.

Dans le chef-d'œuvre de Messiaen, c’est une expérience sonore renversante et inoubliable que nous ont offerte les musiciens de l'Orchestre de Paris et les solistes. Un choc sensoriel absolument exaltant !

Salué unanimement depuis sa prise de fonction à la tête de l'Orchestre Philharmonique de Radio France, Mikko Franck a proposé ce 18 mars pour les Vendredis du Philhar, une fois de plus, un programme audacieux et exigeant.

Quel plaisir de voir les mains de l’instrumentiste parcourir les quatre claviers, la commande de registres manipulée par ses soins, les pieds de part et d’autre du pédalier ! Quelle belle idée que de placer au centre de la salle le buffet et les volets de bois amovibles, reliés au trois pédales d’expression ! Et quels jolis éclairages pour accompagner le tout … 

Le Chilingirian Quartet a proposé au Shakespeare's Globe un programme marqué par l'expérience personnelle de la guerre et transfiguré par le Quatuor pour la fin du temps de Messiaen. 

Un Messiaen hédoniste parfaitement rendu par un Esa-Pekka Salonen spécialiste de musique française.

A la tête du LSO, Valery Gergiev a présenté à Paris un programme transeuropéen : Messiaen, Chopin et Scriabine. Mystique dans les Offrandes oubliées et le Divin Poème, il s'est révélé plus terne dans le Deuxième concerto pour piano, interprété par la jeune star Daniil Trifonov. 

Karina Canellakis brings a riot of Technicolor to the Edinburgh International Festival, but countertenor Hugh Cutting threatens to steal the show in Chichester Psalms.

After the premiere of Mark Simpson's concerto, Anja Bihlmaier concludes her BBC Philharmonic Prom with a rousing performance of the Symphonie fantastique. 

Zittern beim Tonhalle-Orchester Zürich: Ersatz-Dirigent Jonathan Nott vermochte zwar das vorgesehene Programm zu übernehmen. Aber Mahlers Lied von der Erde konnte nur durch einen Einspringer in letzter Minute gerettet werden.

Joanna MacGregor and the Brighton Philharmonic Orchestra bring their 100th season to a triumphant conclusion at the Brighton Dome. 

Alina Ibragimova and friends join forces at the Queen Elizabeth Hall in two powerful chamber works composed at the height of the Second World War. 

Karina Canellakis conducts a program at the New York Philharmonic of works tied to the mystical or ineffable, with astonishing clarity.

In a rare performance of Des Canyons aux étoiles, Ludovic Morlot and Steven Osborne plunge the depths of Utah’s canyons and ascend to celestial plains. 

The Canadian soprano and her accomplished accompanist, Bertrand Chamayou, offer a thoughtful and eclectic program of Messiaen, Scriabin and John Zorn.

Steven Osborne was lucid and detailed in his interpretation, lighting the technical fireworks as appropriate and seductive in the long and languid sixth movement, Jardin du sommeil d’amour.

A very impressive outing for the young Canadian pianist, who brings some of the old school magic of an Arthur Rubinstein to his Chopin. 

An eclectic evening of vividly communicative music-making in Gloucester Cathedral, superbly directed by Adrian Partington. 

No half measures in a triple-decker Hamburg staging of Saint François d'Assise at the Elbphilharmonie. 

The Hebrides Ensemble make its first visit to Perth Festival of the Arts with an 'Auld Alliance' programme which mixes contemporary Scottish with 20th-century French works. 

Yuja Wang stuns the Gilmore Festival audience with a formidable program of Messiaen, Debussy, Scriabin, and Chopin – and a generous selection of encores.

Installation art sounds a dissonant note with the sublime harmony of Saint François d’Assise in Adel Abdessemed's creation at the Grand Théâtre de Genève.