Live, Video: Find classical music concert, opera, ballet and dance reviews | Piano Sonata no. 3 in B minor, Op.58

Sir Stephen Hough continues his advocacy of Chaminade with three of her miniatures and gives passionate performances of Schumann' and Chopin. 

Mary Poppins would surely have a word for Sir Stephen Hough’s Crucible Playhouse recital... and she’d be right.

Grosvenor brings out the commonalities and contrasts of two great B minor sonatas, demonstrating his unique pianistic qualities. 

With only the latest composition by Tristan Murail acting as a palate-cleanser, this was a recital by a leading French pianist that was full of Romantic power and passion in works by Chopin and Beethoven.

Unlike many of his peers at the concert grand, Grosvenor kept histrionics to a minimum as he plays a well-programmed London recital. 

Martha Argerich hadn't played Chopin's Third Piano Sonata in public for at least 25 years... so this performance at the Laeiszhalle Hamburg came as a huge surprise.

In a passionate and evocative programme, South Korean pianist Seong-Jin Cho shows that his interpretive skills can start to blossom beyond mere technical prowess. 

With plenty of sparkle and spritz, Pollini laces his performances of Schumann and Chopin with intimacy and introspection in a programme of contrasting emotions.

At Carnegie Hall, a lion in winter focuses on Chopin.

In an unusual setting in Baden, the fine pianist Emanuel Ax coupled his exploration of demanding technique with a keen expressive focus, making an unparalleled musical experience.

A daring programme, with more than enough technical challenges which produced exciting, if uneven performances.  

Ivo Pogorelić’s return to Warsaw thirty-five years after his triumphant failure in the 1980 International Chopin Piano Competition should have been an occasion for great expectations. Sadly it was more like Hard Times.

Yuja Wang’s latest recital at Carnegie Hall, which took place Tuesday evening, is best compared to a triple-decker sandwich with very excellent bread and questionable innards. Ms. Wang is known for her intimidating technique: powerful, playful, and superlative. Her energy is at its highest during her showy encores, and her pianism is at its most impressive with virtuosic Russian repertoire.

At this Mozart Saal recital the latest addition to the bumf which routinely overfills concert programmes was a flyer for an autumn sale at Austria’s main Steinway dealership, drawing one’s attention a fraction more than usual to the unremarkable fact that like the overwhelming majority of his colleagues, Ingolf Wunder is a Steinway artist.

The word 'prodigy' is unavoidable when writing about Benjamin Grosvenor, or so it appears for the headline writers. Having eschewed many big concert dates and growing as an artist in smaller halls, he is clearly setting himself up for the long haul. This ambitious, sold-out Cambridge concert showed both how brilliant a pianist he already is, and hinted at how far he could go in the future.

“He looks rather Churchillian, doesn’t he?” my friend whispered as the lights dimmed, and Charles Rosen tottered on stage with the help of a walking stick, which he hooked over the edge of the piano. The comparison seemed appropriate, for Charles Rosen is truly a grand elder statesman of the piano.

Chez George Sand, Michel Dalberto convainc davantage dans Ravel que dans Chopin, tandis que le jeune Malaisien Vincent Ong est à l'aise dans Schumann.

La légende vivante du piano s'est exclusivement consacrée à la musique de Chopin à l'occasion d'un récital exceptionnel.

Stephen Hough ofreció un recital dentro del Ciclo Grandes Intérpretes con un contrastante programa y escogidas propinas en el que destacó un cuidado sonido. 

Dans un récital qui associait Debussy à Schumann et Chopin, le pianiste argentin a fait étalage de son talent, associant connaissance intime des partitions, virtuosité, liberté, panache et bonheur de jouer.

Le lendemain d'un récital de Joseph Moog réincarnant le jeune Liszt, Vadym Kholodenko a proposé une soirée tout aussi brillante, défiant les lois de la gravité pianistique.

Du Prélude BWV 855A de Bach à la Sonate op. 58 de Chopin, le pianiste britannique a proposé un récital entièrement en si mineur, qui a fait plus d'une fois dresser l'oreille.

La pianiste Diana Cooper a inauguré au Koïfhus la série de récitals consacrés aux jeunes talents, tandis que Bruno Philippe et Cédric Tiberghien ont ouvert le bal des concerts de musique de chambre.

De la conférence passionnante de Nicolas Dufetel au récital de l'extraterrestre Benjamin Grosvenor en passant par le programme impossible de Jean-Baptiste Doulcet, les Lisztomanias ont connu une sacrée journée de lancement...

Le récent Premier Prix du Concours Reine Élisabeth fait sonner son Steinway comme un orchestre dans Chopin et Brahms. Un récital prodigieux qui le fait entrer dans la légende de La Roque d'Anthéron.

Pour son récital à l'église de Ciboure, dans le cadre du Festival Ravel, Jean-Frédéric Neuburger a fait le choix d'un programme colossal, pensant en contrepoint les œuvres de Chopin, Ravel et Manoury.

Lukas Geniušas, grand espoir de la nouvelle génération de pianistes, livrait salle Gaveau un récital exceptionnel, de Chopin à Desyatnikov en passant par Tchaïkovski et Prokofiev.

Laloum n'oublie jamais que Chopin est un génie de la main gauche, contrairement à ce qu'en a dit Artur Schnabel pour le moquer. Retour sur un remarquable récital au Théâtre des Champs-Elysées. 

La prodigeuse leçon de Maurizio Pollini dans les Kreisleriana de Schumann et la Troisième Sonate de Chopin. 

Quand Nelson Freire entre sur la scène, le silence se fait instantanément. 2000 personnes sont venues écouter ce vieil ami, fidèle du festival depuis sa deuxième édition, en 1982. 

Il y a des interprètes dont les interprétations feront toujours l’émerveillement de celui qui les écoute à l’aveugle. Nelson Freire en fait décidément partie. Si différent dans sa personnalité de ces jeunes qui ont encore des choses à prouver et produisent éperdument jeu de main, de cheveux, de hanche ou de partition, le pianiste de soixante-douze ans ne fait que de la musique.

Ich kenne niemanden, der Avdeevas Intensität, ihre Ausdruckstärke erreicht – ihr Auftritt war eine Sternstunde!

Pour le concert de clôture de son festival, la société Chopin, nous a régalés d’un concert d’une exceptionnelle qualité. Laloum ne mérite que des éloges pour la discrétion, l’élégance et la cohérence naturelles de son jeu, montrant au travail un très grand schumanien.

Le Lauréat du Second Prix du Concours Chopin 2015 nous a offert une soirée entièrement dédiée au compositeur polonais dans la nouvelle salle de l’Orchestre de la Radio Polonais. Une très belle soirée.

Bei „Klassik vor Acht” geben zumeist junge Nachwuchspianisten etwa einstündige Konzerte. Was Anna Gourari dabei aus den Tasten zauberte, war eigenwillig, feinsinnig, temperamentvoll, lyrisch, wuchtig, zart und energetisch zugleich - kurzum, eine Sternstunde der Klavierkunst.