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Idéalement accompagnée au piano par sa nièce Pantesilena Jaho, la soprano albanaise a de nouveau marqué les esprits dans un récital italien de toute beauté.

Accompagnée de l'excellent pianiste Malcolm Martineau, la soprano bulgare a proposé un programme intégralement italien (Puccini-Tosti-Verdi) où sa voix si richement colorée a fait merveille.

Ce trittico fera date, grâce à un travail d’équipe exceptionnel d’où se distinguent notamment Christof Loy, Carlo Rizzi et l’incroyable Asmik Grigorian dans les trois rôles féminins de l’ouvrage.

Le Théâtre Impérial-Opéra de Compiègne propose en tournée une vision réduite mais globalement convaincante du drame de Puccini, avec une soprano idéale dans le rôle-titre.

Au Grimaldi Forum, la production suscite l'adhésion grâce à une mise en scène très lisible, une direction musicale admirable et une belle distribution, emmenée par une Anna Netrebko des grands soirs.

Rarement représentée, l'œuvre bénéficie de la mise en scène sobre et éloquente de Nicola Raab, de la direction énergique de Giuliano Carella et d'une distribution cohérente.

Dans la reprise de l'éternelle mise en scène de Bob Wilson, la distribution est de très haut niveau. La soprano italienne marque les esprits pour ses débuts à l'Opéra de Paris.

La soprano albanaise confirme qu'elle est l'une des meilleures Cio-Cio-San de l'histoire du rôle, accompagnée par un Orchestre de l'Opéra de Lyon en grande forme. La mise en scène, en revanche, déçoit.

Cent ans après le décès de Giacomo Puccini à Bruxelles, la maison belge propose une nouvelle production de son ultime ouvrage inachevé, dans une intéressante mise en scène de Christophe Coppens.

Présenté dans une mise scène d'Orpha Phelan très respectueuse du livret, l'opéra de Puccini est magnifié par les inspirations du chef américain Roderick Cox, futur directeur musical de l'institution.

Avec des trouvailles fortes, la mise en scène propose une vision convaincante du drame de Puccini, bien servie par Izabela Matula (Tosca), Stefano Meo (Scarpia) et la direction musicale de Clelia Cafiero.

La soprano et le ténor ont brillé de mille feux dans un programme qui aurait gagné à davantage de réflexion dans la conception, et malgré un orchestre parfois à la peine.

Trente ans après son dernier passage sur les planches milanaises et cent ans après la disparition de son auteur, l'opéra méconnu de Puccini bénéficie d'une mise en scène efficace et d'une belle distribution.

La mise en scène de Bob Wilson se confirme comme l'une des grandes réussites de l'artiste américain dans le domaine lyrique. Servi par une distribution de premier ordre, le spectacle est un magnifique succès.

Grand succès pour cette nouvelle Bohème, fort réussie musicalement et dont la proposition scénique intéresse... tout en restant un peu froide.

Si Cristina Pasaroiu s'illustre dans le rôle de Mimi, la mise en scène de Kristian Frédric manque sa tentative de transposition dans les années 1990, alourdissant inutilement l'ouvrage.

La mise en scène de Claus Guth laisse encore une fois sceptique voire irrite, tandis que la direction musicale de Michele Mariotti déçoit. Aylin Pérez compose en revanche une Mimi touchante.

Sans transposer trivialement l’opéra de Puccini directement dans la contemporanéité, le duo de metteurs en scène offre une superposition de temporalités qui viennent enrichir la représentation.

Sous la direction convaincante de Gustavo Dudamel, l'interprétation de Saioa Hernández est remarquable dans le rôle-titre, mais une direction d'acteur erratique et la petite forme de Joseph Calleja tempèrent le succès espéré.

Dans une mise en scène épurée, Asmik Grigorian est la grande triomphatrice de la production ; sous la direction de Franz Welser-Möst, les Wiener Philharmoniker sont au meilleur de leur forme.

À l'exception de la direction intéressante d'Antonino Fogliani à la tête de l'Orchestre de la Suisse Romande, il n'y a pas grand-chose à saluer dans cette production clinquante, dénuée de la moindre cohérence artistique.

Pour cette dernière production de la saison lyrique monégasque, le duo propose une incarnation formidable des protagonistes de l'opéra puccinien.

Dans le programme le plus lyrique du Festival de Pâques, le ténor péruvien et la soprano espagnole ont fait merveille dans Rossini plus particulièrement. 

Le metteur en scène allemand respecte le caractère propre à chaque partie du trittico puccinien, tout en tissant des liens subtils entre les œuvres.

Une Tosca à l'esthétique « bande dessinée », magnifiée par l'orchestre de la Staatskapelle et l'interprétation flamboyante de Saioa Hernández dans le rôle-titre.

Une distribution un peu terne n'entache nullement le succès de la nouvelle Turandot proposée par l'Opéra de Paris, accueillie au rideau final par une standing ovation.

Le tout jeune Operafest de Lisbonne propose une nouvelle Madama Butterly dans un cadre séduisant mais nécessitant une sonorisation, avec, dans le rôle-titre, la directrice du festival en personne : Catarina Molder.

Fidèles au Festival Radio France Occitanie Montpellier, la soprano et le chef d'orchestre proposent une soirée d'anthologie en clôture de l'édition 2021.

Fin de saison en demi-teinte à l'Opéra du Rhin avec une production de Madama Butterfly réussie côté mise en scène mais plus mitigée côté distribution.

A priori intéressante, l'idée de Rafael Villalobos de greffer le destin de Pasolini sur celui l'œuvre de Puccini ne prend pas, en dépit d'une distribution engagée et d'une direction d'orchestre remarquable. 

L’Opéra de Lille propose une Tosca chargée d’émotion, portée par un excellent trio vocal et un orchestre incandescent.

Réunis pour une soirée de gala exceptionnelle, les adhérents de l’association UNISSON ont proposé, d’une seule voix, un concert mettant en avant des œuvres lyriques d’une grande diversité. 

Grand succès pour le concert donné par les jeunes chanteurs de l'Académie de l'Opéra de Paris : une pépinière de talents en devenir !

Première production à bénéficier de la nouvelle plateforme « Normandie Lyrique et Symphonique », la Tosca de David Bobée vaut le détour pour sa mise en scène saisissante comme pour son trio vocal principal.

Dans les décors épurés de cette nouvelle production de La Bohème à Monte-Carlo, Andeka Gorrotxategi et Irina Lungu se distinguent.

Après sa création au Festival d’Aix-en-Provence cet été, la production de Tosca de Christophe Honoré arrive à l’Opéra de Lyon, dans une mise en scène puissante mais parfois écrasante pour les chanteurs.

L'Opéra de Montpellier ouvre sa saison 2019-2020 avec une excellente production de Madama Butterfly, où la qualité de l'orchestre joue un rôle primordial.

 À Bastille, nouvelle reprise de Madame Butterfly dans la mise en scène historique de Robert Wilson. On adore ou on abhorre ; en tout cas, le plateau et l'orchestre font l'unanimité.

Dernier concert réussi pour Enrique Mazzola avec l'ONDIF à la Philharmonie. Les différentes facettes de cette « Dolce Vita » toute en subtilité ont enchanté le public.

L'inégale Tosca de Pierre Audi est de retour à l'Opéra de Paris. Portée par un duo remarquable et un orchestre formidablement mené par Dan Ettinger.

À l'Opéra de Marseille, l'œuvre de Puccini bénéficie de l'élégante mise en scène de Charles Roubaud. Avec un solide tandem Ricarda Merbeth – Antonello Palombi dans les rôles principaux.

Le Centre Lyrique Clermont Auvergne fête vingt années de passion et de combats pour faire vivre l'opéra et la musique en région. Et il ouvre la voix à plus d'un talent...

Butterfly vengée par la fidèle Suzuki au prix d'un infanticide : la servante modèle apparaît en ange exterminateur dans la nouvelle production du Centre Lyrique Clermont-Auvergne, à l'Opéra de Clermont-Ferrand.

Dans le cadre des récitals « Grandes Voix » du Centre lyrique Clermont-Auvergne, la soprano sud-africaine Pretty Yende s’est livrée le 20 décembre à un exercice de haute précision vocale.

Créé il y a bientôt quinze ans à Garnier, le diptyque réuni par Laurent Pelly occupe aujourd’hui la scène plus monumentale de Bastille. Son ancrage dans le plaisir de la comédie continue de séduire.

Difficile de comprendre réellement comment a pu naître, dans l’esprit du metteur en scène allemand, un rapprochement aussi saugrenu. C’est pourtant dans un vaisseau spatial, puis sur la terre lunaire, que l’action de La bohème se déroule.

La mise en scène de Nicolas Joël de La Rondine est de retour au Capitole avec un nouveau plateau d'artistes.

Cette belle Bohème de Puccini au Théâtre des Nations de Genève vous tire des larmes à coup sûr, tout au long de ces deux heures de musique sublime portée par des artistes investis. 

Très attaché à la représentation picturale, Pierre Audi signe ici une mise en scène relativement classique, efficace, laissant libre champs à l’attention portée aux voix plutôt qu’aux divers éléments qui composent les décors, très figuratifs.

Sonya Yoncheva et Saimir Pirgu ont eu pour mission de clore l'édition 2016 des Chorégies d'Orange. Une mission perilleuse !