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Tout le long d'un programme imaginé avec la complicité de la compositrice Diana Soh, le quatuor vocal montre un goût appréciable pour la spatialisation, transportant le public à défaut de toujours le convaincre.

La création française d'After the Fall, concerto pour piano de John Adams, a laissé une impression mitigée, au contraire du reste du programme, formidablement convaincant sous la baguette du chef estonien.

Approximatif dans Unsuk Chin, peu inspiré dans Bach, excellent dans Ligeti et inégal dans Brahms, l'Orchestre de Paris a livré un programme contrasté sous la direction du chef finlandais.

Sous la direction précise et dynamique de François-Xavier Roth, l'unique opéra du compositeur hongrois, proposé dans une nouvelle version française, est servi par une distribution excellente.

Retour sur le troisième volet de l'hommage à György Ligeti organisé par Radio France avec François-Xavier Roth. Jean-Frédéric Neuburger et Isabelle Faust étaient invités et ont répondu présent avec classe.

Sous la direction du chef des Siècles, l'Orchestre National de France produit une interprétation inégale de deux chefs-d'œuvre du compositeur (Atmosphères et Lontano), convaincant davantage dans Le Mandarin merveilleux de Bartók.

Le quintette de joyeux trublions a conclu la journée du samedi en revisitant le Quintette pour clarinette et cordes de Johannes Brahms, sans toutefois parvenir à électriser les foules.

James Ehnes, Yeol Eum Son, Leif Ove Andsnes, le Dover Quartet, Håkan Hardenberger et Roland Pöntinen ont ouvert cette septième édition consacrée à Johannes Brahms.

Dans un programme original et somptueux, le jeune chef tchèque fait un retour remarqué auprès de l'Orchestre Philharmonique de Radio France.

Sous la direction du chef finlandais, l'œuvre monumentale d'Olivier Messiaen a eu du mal à retenir l'intérêt, après une belle prestation d'Axelle Fanyo et de l'Orchestre de Paris en première partie.

Véritable Fête de la musique avant l'heure, le concert du London Symphony Orchestra a mis à l'honneur la faculté de la formation britannique à se transformer en ensemble de chambristes de premier ordre.

Le programme choisi par Sir George Benjamin pour le DSO nous plonge dans les théories modernes de l’utilisation du son orchestral, de Paul Dukas à Benjamin lui-même, avec le concours efficace de Cédric Tiberghien.

Le pianiste emporte son auditoire dans un récital ensorcelant, avec cet effacement dans la présence qui est le secret des maîtres.

L'Orchestre philharmonique de Strasbourg a donné son premier concert de l'année 2020 : magistralement interprété par Charlotte Juillard, le Concerto pour violon de Ligeti a précédé une admirable Symphonie n° 4 de Mahler.

Calixto Bieito offre avec The String Quartet's Guide to Sex and Anxiety un spectacle intime sur l'angoisse existentielle, accompagné par le Heath Quartet.

Programme éclectique à la Philharmonie, mélangeant classique et contemporain, pour un concert tout en subtilités avec le vénérable Christoph von Dohnányi à la tête de l'Orchestre de Paris. 

Le Quatuor Hanson fête son premier album avec un concert plus que prometteur dans ce cadre inhabituel.

Pour leur première fois au Festival Musica de Strasbourg, l'ambitieux Quatuor Béla crée son spectacle « Barbarie », tourbillonnant et fascinant voyage désarticulé dans l'intrigante histoire de la mécanisation des instruments.

Dans la salle Pierre Boulez de la Philharmonie, l'Ensemble Intercontemporain se lance avec brio dans quatre concertos de Ligeti.

À l'occasion d'un week-end consacré à l'univers musical de Stanley Kubrick, l'Orchestre Philharmonique et le Chœur de Radio France, sous la direction d'Alan Gilbert, proposaient un concert autour des compositeurs qui ont inspiré le cinéaste.

La Fondation Louis Vuitton ouvre ses portes au jeune pianiste Albert Cano Smit. Retour sur un récital inspiré dans lequel l'artiste met en miroir Bach, Ligeti, Beethoven, Scriabine et Schumann.

Vendredi 7 décembre. Loin des costumes à paillettes et autres musiques féériques de saison, l'Ensemble intercontemporain investit la Philharmonie dans un programme 100% Ligeti et 100% macabre.

De Ligeti à Kurtag en passant par Jeremias Iturra, Robert Pascal et Frédéric Aurier, le Quatuor Béla ne fait pas dans la demi-mesure virtuose et inspirée au festival Musiques Démesurées. 

Le Chamber Orchestra of Europe, dirigé par le chef en vogue Sir Antonio Pappano, signe un concert autour des figures de Brahms et Ligeti dans leurs explorations de jeunesse, avec Lisa Batiashvili en soliste.

Retour sur un programme original révélant des connexions inattendues. 

La Philharmonie de Paris accueillait l’Orchestre du Conservatoire supérieur de Paris encadré par l'Ensemble Intercontemporain, pour une soirée consacrée à Ligeti, Kurtag et Bartók.

De Bach à Ligeti en passant par Copland et Strauss, l'Orchestre National de Lyon dialogue superbement avec le grand orgue de Vincent Warnier le temps d'une ravissante soirée aux caractères nuancés.

Programme audacieux que celui proposé par la jeune pianiste luxembourgeoise Cathy Krier, faisant dialoguer Rameau, Ravel et Ligeti avec la création contemporaine.

Avec une soirée mixte réunissant les chorégraphies de Christopher Wheeldon, Wayne McGregor et Pina Bausch, l’Opéra de Paris rend hommage au compositeur et chef d’orchestre contemporain Pierre Boulez.

Avec Arvo Pärt en tête d'affiche, on s'attendait à une sanctification du maître estonien. Mais c'est finalement une interprétation très réussie du huitième quatuor de Chostakovitch qui remportera la plus franche adhésion du public.

Pour l'édition 2015 du Festival Musica de Strasbourg, Pierre-Laurent Aimard nous donne un récital centré sur la musique de Pierre Boulez, mais où se côtoient aussi Ligeti et Beethoven.

Dans un programme composite et résolument contemporain, le Ballet de l’Opéra de Paris nous invite à découvrir le travail de quatre chorégraphes : Nicolas Paul, Pierre Rigal, Benjamin Millepied et Edouard Lock.

At the Elbphilharmonie, a programme of Ligeti, Adams and Lutosławski showcases the power of modern orchestral music to engage both intellectually and emotionally. 

Singapore Symphony's first concert of 2005 distinguished by Yu-Chien Benny Tseng and Julian Kuerti.

In a programmed titled Birds and Bagatelles, Ensemble 360’s wind players offered vividly characterised music in this programme of 20th-century classics of the repertoire.

The Berlin Phil celebrates Seong-Jin Cho's recently inaugurated residency with a Hungarian-themed chamber concert.

Stigma is a monumental work, with a wealth of serious reflection on where we are as the human race on a fragile planet.

Yuja Wang returns to David Hockney’s Bigger & Closer (not smaller & further away) installation at London's Lightroom for a truly immersive recital. 

Nigel Lowery’s new production at Prague State Opera is a gusher of ideas, starting as slapstick but profoundly moving by the end.

Patricia Kopatchinskaja and Aurora Orchestra serve up an over-the-top confection at Purcell Room in Southbank Centre. 

Gustavo Gimeno leads the Toronto Symphony in a programme of absorbing musical abstraction and storytelling, let down by a banal new trombone concerto.

Sir George Benjamin begeistert mit Werken von Oliver Knussen, Unsuk Chin, Igor Strawinsky und György Ligeti.

A “Sound Unwrapped” programme, featuring Aurora Orchestra's trimmed line-up of five musicians and one sound engineer on electronics, proves to be an absolute success. 

The New York Philharmonic's first presentation of Julia Perry's Stabat Mater draws attention to an undeservedly forgotten score.

Jan Lauwers inszeniert Ligetis Le Grand Macabre als durch-choreographierte Komödie mit hohem Unterhaltungswert.

Ein anspruchsvolles Programm mit Werken von Unsuk Chin und György Ligeti, bei dem die Zuhörer den Atem anhielten.

The New York Philharmonic features two early Ligeti works, a new concerto for Yefim Bronfman by Elena Firsova, and Brahms' Serenade no. 1.

The French pianist leads the Southbank Centre's celebration of Ligeti's centenary with a performance of great physical prowess and intense emotional energy.

Inside Queen Elizabeth Hall, a centenary celebration of György Ligeti unfolds – a mesmerising blend of rhythmic exuberance and eerie textures, alongside pieces by Conlon Nancarrow and Unsuk Chin.

Kirill Gerstein, together with Sir Antonio Pappano and the LSO, delivers a coruscating performance of what is rapidly becoming a 21st-century classic, framed by Bartók and Beethoven.