En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Bertrand Chamayou

Prodigieux techniquement, inspiré poétiquement, fidèle aux multiples dimensions de la musique de Ravel, Bertrand Chamayou a livré une intégrale qui fera date.

Dans un passionnant programme franco-américain inspiré par le jazz, l'orchestre, le chef et le soliste ont joué en osmose, avec une jubilation contagieuse.

Lors de deux soirées de clôture grandioses, le futur chef principal de l'orchestre anglais a créé un ascenseur émotionnel rarement vécu de mémoire de spectateur.

Dans l'œuvre formidable de John Zorn comme dans les Chants de Terre et de Ciel de Messiaen ou dans les pièces de Scriabine, les deux artistes proposent une interprétation exceptionnelle.

Bertrand Chamayou étonne par ses choix interprétatifs dans le Concerto n° 20 de Mozart, tandis que Michael Sanderling dirige le superbe Luzerner Sinfonieorchester d'une main de maître dans la Symphonie n° 7 de Beethoven.

Le pianiste ne donne jamais l'impression d'être dans la réitération d'une interprétation mise au point dans le secret de son studio. Il recrée sans cesse et remporte un triomphe mérité.

Dans un programme 100% russe, le directeur musical de l'Orchestre de Paris et sa formation produisent un formidable jeu en technicolor, mais dont les teintes paraissent parfois excessivement rehaussées.

Le quintette de joyeux trublions a conclu la journée du samedi en revisitant le Quintette pour clarinette et cordes de Johannes Brahms, sans toutefois parvenir à électriser les foules.

Ce n'est pas tant à un concert mémorable qu'à une fête exceptionnelle, comme jaillie d'une époque révolue, que l'Orchestre des Champs-Élysées a convié les spectateurs de la Philharmonie.

Sous la direction du chef finlandais, l'œuvre monumentale d'Olivier Messiaen a eu du mal à retenir l'intérêt, après une belle prestation d'Axelle Fanyo et de l'Orchestre de Paris en première partie.

Dans la petite église de Hendaye pleine comme un œuf, le co-directeur artistique du Festival Ravel a livré un récital Ravel-Liszt-Jarrell proprement extraordinaire.

Dans un programme 100% français (Ravel, Fauré, Saint-Saëns), les deux solistes ont livré un récital de plus en plus incarné.

De Rameau à la composition contemporaine, le programme concocté par la soprano et cheffe d'orchestre fait la part belle au spleen et manque parfois d'éloquence.

Ce programme 100% Saint-Saëns voit briller Les Siècles et François-Xavier Roth mais déçoit pour ce qui est des œuvres avec Renaud Capuçon et Bertrand Chamayou.

De retour sur scène après plusieurs mois de silence forcé, l'orchestre dirigé par François-Xavier Roth a célébré ce retour à la vie en compagnie de Vincent Lhermet, Renaud Capuçon et Bertrand Chamayou.

Le directeur musical de l'Orchestre Philharmonique de Radio France échoue à structurer l'œuvre debussyste et à assister Bertrand Chamayou, brillant dans Ravel comme dans les études de Yann Robin.

Le Festival Ravel a accueilli l'Orchestre Français des Jeunes, dirigé par Fabien Gabel. Berlioz, Saint-Saëns et Stravinsky ont suscité l'enthousiasme de l'auditoire réuni dans l'église de Saint-Jean-de-Luz.

Au Festival de Menton, Bertrand Chamayou marque les esprits par son toucher délicat, sa technique transcendante et son style éloquent, admirablement mêlés aux sonorités du Cuarteto Casals.

Dans un programme allant de Schumann à Saint-Saëns en passant par Ravel, Bertrand Chamayou livre un récital fabuleux. De ceux qui installent un pianiste parmi les plus grands.

Au sein d'un week-end consacré à Berlioz, le monumental Te Deum étourdit les auditeurs de la Philharmonie, écrasant la création du Concerto pour piano n° 2 de Jarrell par Chamayou.

Artiste en résidence à Radio France cette saison, le pianiste Bertrand Chamayou y donnait un concert-hommage à Beethoven avec Vilde Frang, Sol Gabetta et l'Orchestre Philharmonique de Radio France.

À l'occasion d'un week-end consacré à l'univers musical de Stanley Kubrick, l'Orchestre Philharmonique et le Chœur de Radio France, sous la direction d'Alan Gilbert, proposaient un concert autour des compositeurs qui ont inspiré le cinéaste.

La 29e édition du Festival Présences de Radio France nous introduit au compositeur Wolfgang Rihm, avec des créations d'Hugues Dufourt et Martin Matalon ainsi que Refrain de Karlheinz Stockhausen.

Dutoit a embarqué le Royal Philarmonic de Londres dans un délice de musiques ravéliennes portées aux nues. On se souviendra longtemps de cette belle soirée à Montreux qui, envoûtée par des musiques si solaires, se transforma, le temps d’un concert, en sublime rivage méditerranéen. 

La nouvelle Seine Musicale porte au nombre de trois le nombre d’auditoriums flambant neufs récemment inaugurés à Paris.

De nouveau réunis un peu plus d'un an après un concert déjà exceptionnel, les deux géants Noseda et Chamayou, sous la gouverne des Grands Interprêtes, se retrouvaient sur les planches de la Halle, avec cette foi l'Orchestre de Turin.

Le chef italien aux nombreuses casquettes, directeur musical du Teatro Regio de Turin et récemment nommé à la tête du National Symphony Orchestra de Washington, rencontrait pour la première fois sur la même affiche Bertrand Chamayou, pianiste virtuose d’origine toulousaine et récemment auréolé d’une Victoire de la Musique Classique au sein de la salle hexagonale.

Si Sol Gabetta fascine d’emblée, c’est par son énergie, sa poigne et même une certaine voracité. Au piano, l'exemplaire Bertrand Chamayou se révèle également un formidable accompagnateur. Un Mendelssohn torrentiel et un Chopin d'une rare vivacité !

Si l’on ne doute pas que les programmes prévus pour les 3 et 5 mars sous la direction du chef napolitain auraient fait merveille, Emmanuel Krivine ne s’est pas contenté de sauver les meubles, et a assuré, avec humilité et maîtrise, un concert tout à fait mémorable.

Born to a Basque mother just ten miles from the Spanish border, Ravel excelled at authentic Spanish flavours as heard in this splendid festival concert by the Orchestre National de France.

At the Festival Ravel, Bertrand Chamayou, Pierre-Laurent Aimard and Hyunji Kim perform all the solo piano works at the Église Saint-Vincent, a stone’s throw from the house where Ravel was born.

Liv Redpath and Bertrand Chamayou shine at the Lucerne Festival in this celebration of Pierre Boulez's legacy. 

The BBC Philharmonic Orchestra, under former Associate Artist Ludovic Morlot, serve chilled Ravel at the Glasshouse, Gateshead. 

A rare performance of Boulez' Rituel is followed by four Ravel works, including a fine Piano Concerto in G major featuring Bertrand Chamayou. 

The Canadian soprano and her accomplished accompanist, Bertrand Chamayou, offer a thoughtful and eclectic program of Messiaen, Scriabin and John Zorn.

Die weiterhin unverständliche KOB-Instrumentierung jetzt gleichwohl besser funktionierend, hielt Herreweghe Kurs auf beobachtetem Weg, auf dem Chamayou schnörkellos bockstarke Konturen anlegte und das Orchester mehr als randerscheinende Wirkung erzielte.

Silliness can find a place in art, as we see in some of Erik Satie’s work titles, but sometimes it is just silly. 

One does not often get a profound sense of approaching Bunyan's Celestial City while at the Barbican, but Sir Antonio Pappano and the LSO open heaven's gates wide open. 

What better way is there to celebrate Czech music than with an all-Dvořák programme brought by the Czech Philharmonic under their chief conductor Semyon Bychkov?

Vilde Frang and Bertrand Chamayou join the Belcea Quartet for a musical feast including Chausson's sumptuous Concert. 

The 43rd edition of the International Piano Festival opens with a Beethoven programme of elegance and grace from Bertrand Chamayou and the Orchestre de chambre de Paris.

Heavenly strings and Hellish piano from the Belcea Quartet and their celebrity guests in Crail as the 2023 East Neuk Festival begins.

Two larger than life piano quintets share star billing on an intense Wigmore Hall programme. 

Robert Louis Stevenson was clear in the advice he gave: “It is better to travel hopefully than to arrive.” Pablo Heras-Casado, Bertrand Chamayou and the house orchestra of the Elbphilharmonie embark on musical journeys, but with mixed results.

Pablo Heras-Casado conducts the Netherlands Radio Philharmonic Orchestra in a programme that sends the audience on its imaginary travels.

Four Ravel masterpieces shine anew in fresh, vibrant interpretations by Bertrand Chamayou, Sakari Oramo and the Royal Stockholm Philharmonic.

The Paris-based Quatuor Modigliani are joined by special guests for an evening of Schubert quintets in Évian-les-Bains. 

Herreweghe’s lifelong artistry of concentration, clarity and intimacy was nowhere better demonstrated than in an exalted account of Mozart's last symphony.