En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Rossini

En duo avec un David Fray excellent pour chercher le théâtre à chaque coin de note, la mezzo-soprano a proposé un récital d'exception dans un programme foisonnant, entre classicisme et bel canto.

Le metteur en scène propose une vision forte de l'opéra de Rossini mais qui manque de clarté. Si la direction musicale est au rendez-vous, le plateau vocal laisse une impression mitigée.

Le metteur en scène signe une nouvelle production réjouissante, reprenant à bon escient les codes de la fotonovela. La distribution et la direction contribuent à faire de ce Turc en Italie un événement.

Avec les jeunes artistes prometteurs du studio du Theater Basel, le metteur en scène autrichien fait le pari de monter entièrement l’ouvrage de Rossini avec des marionnettes, pour un résultat revigorant.

Au côté d'une distribution inégale et d'un chef inspiré, Michieletto signe une mise en scène qui répond bien au double impératif du dramma et du giocoso, mais qui manque d'originalité et de poésie.

Dans un programme qui rendait hommage à Pauline Viardot, la mezzo-soprano et l'ensemble dirigé par Christophe Rousset ont su transcender les intempéries qui se sont abattues sur La Côte-Saint-André.

Le week-end de clôture du festival portugais dirigé par Christoph Poppen a fait la part belle aux jeunes interprètes, avec des résultats particulièrement enthousiasmants.

L'Orchestre de Chambre de Genève et l'Ensemble Vocal de Lausanne ont donné un diptyque inégal sous la direction de Daniel Reuss, la messe mozartienne paraissant plus adaptée au lieu que celle de Rossini.

Le public du TCE a été gâté par l'ampleur des moyens vocaux de la chanteuse lettone et l'évolution des couleurs de la mezzo française.

Après sa présentation au Festival d'Aix-en-Provence l'été dernier, la mise en scène de Tobias Kratzer fait ses débuts sur la scène lyonnaise, avec la même réussite.

Après une première partie peu de circonstance, le Concert de Noël de l'Orchestre Philharmonique de Radio France a bénéficié de la joie contagieuse de la contralto québécoise dans un répertoire très évocateur...

Le metteur en scène flirte avec un discours moralisateur peu subtil mais s'en tire en proposant une belle satire ; le plateau vocal n'est en revanche pas à la hauteur des grandes soirées du Festival.

Dernière production de la saison toulousaine, le Barbier mis en scène par Josef Ernst Köpplinger est un spectacle qui fourmille de détails réjouissants, défendu par une distribution en grande forme.

Dans le programme le plus lyrique du Festival de Pâques, le ténor péruvien et la soprano espagnole ont fait merveille dans Rossini plus particulièrement. 

Si la mise en scène de Clément Poirée manque de fantaisie, l'Orchestre Opéra Éclaté et la distribution vocale font passer ce regret au second plan.

Grand succès à l'Athénée pour Michael Spyres et Mathieu Pordoy, qui servent Rossini avec tact et distinction.

Le chanteur et le guitariste transforment un programme éclectique, de Dowland à Barbara, en récital palpitant.

Rarement donné depuis sa création, l'opéra de Rossini bénéficie d'une belle distribution, Nino Machaidze en tête dans le rôle-titre, et de la direction avertie de José Miguel Pérez-Sierra.

L'Opéra de Metz propose un Comte Ory dénué de lourdeur ou de vulgarité, servi par une très belle distribution. 

Le public a réservé un accueil très chaleureux à ce gala lyrique, témoignant de la qualité du concert mais aussi de l'appétence des spectateurs pour le récital vocal.

Dans un diptyque de concerts mis en espace et diffusés en streaming, La Monnaie nous fait entrer dans l'univers brillant et élégant de l'opéra romantique italien, avec une distribution vocale assez inégale.

Déprogrammé du printemps 2020 à cause de la pandémie, l'opéra de Rossini revit à Monte-Carlo, servi par une mise en scène explosive et une distribution excellente.

Réunis pour une soirée de gala exceptionnelle, les adhérents de l’association UNISSON ont proposé, d’une seule voix, un concert mettant en avant des œuvres lyriques d’une grande diversité. 

L'Opéra de Toulon a remplacé la production de Semiramide qui aurait dû ouvrir sa saison par un magnifique concert lyrique.

Ouverture de saison lyrique à Montpellier avec le chef-d'œuvre de Rossini, bien traité par la distribution et la direction musicale mais desservi par la mise en scène.

Le Grand Théâtre de Genève ouvre sa saison avec La Cenerentola vue par Laurent Pelly : une Cendrillon farfelue, décoiffante mais aussi très émouvante.

Ambiance recueillie pour cette Petite Messe de Rossini où brillent un quatuor vocal de grande qualité et un excellent pianiste. Chœurs et chef superlatifs !

L'Opéra de Toulon fait revivre l'excellente mise en scène de l'œuvre de Rossini, avec une distribution globalement enthousiasmante.

Le chef de l'Ensemble Matheus dirige une Italienne à Alger pleine de verve et de fantaisie, et donne à cette version de concert l'entrain irrésistible d'une représentation scénique. 

Iván Fischer et le Concertgebouw d'Amsterdam livrent une soirée au sommet de l'excellence musicale, accompagnés d'Isabelle Faust et Tabea Zimmermann pour une Symphonie concertante très émouvante.

Déception pour l'ouverture de saison à l'Opéra de Lyon : la mise en scène de Tobias Kratzer aligne les poncifs et les nombreuses coupures opérées dans la partition déséquilibrent l'ouvrage de Rossini.

Les Chorégies d'Orange reprennent largement la mise en scène et la distribution du Guillaume Tell produit à Monaco en 2015, pour le plus grand bonheur du Théâtre Antique.

Au Festival de Saint-Denis, Antonio Pappano dirige généreusement un bel Orchestre de l’Accademia Nazionale di Santa Cecilia. Joyce DiDonato se distingue dans Giovanna d’Arco.

Le Centre Lyrique Clermont Auvergne fête vingt années de passion et de combats pour faire vivre l'opéra et la musique en région. Et il ouvre la voix à plus d'un talent...

Pour terminer l’année en beauté, l’Opéra royal de Wallonie a choisi de proposer aux mélomanes Le Comte Ory de Rossini, en reprenant la mise en scène signée Denis Podalydès.

Dans le cadre des récitals « Grandes Voix » du Centre lyrique Clermont-Auvergne, la soprano sud-africaine Pretty Yende s’est livrée le 20 décembre à un exercice de haute précision vocale.

À l'Opéra Garnier, le conte de Rossini est assombri par la mise en scène de Guillaume Gallienne. On se rattrape avec la production dans laquelle se distingue Marianne Crebassa, éblouissante dans le rôle-titre.

Cantatrice en pleine ascension, Elsa Dreisig se produisait au Théâtre des Champs-Élysées pour son premier grand récital parisien. Une interprétation splendide dans un programme qui mettait en miroirs quelques scènes d’opéra.

Encore une fois, la magie du lieu sublime la qualité des spectacles, avec en prime un irrésistible Florian Sempey dans le rôle titre. 

L’Opéra National de Lorraine transpose avec succès l’opéra bouffe de Rossini.

Le dernier concert de l’année, avant le traditionnel concert du nouvel an, voyait l’ONCT s’ouvrir aux œuvres. Ce concert de Noel caritatif était organisé en faveur de la Fondation Marie-Louise œuvrant pour l’intégration et l’accueil pour les personnes en situation de handicap avec la maxime : « le meilleur sans vouloir l’impossible ».

Le Comte Ory vient clore en apothéose la saison 2017 de l’Opéra Comique, avec à la manœuvre le tandem Louis Langrée et Denis Podalydès.

La nouvelle mise en scène de Stefan Herheim se joue de tout pathos et convoque une esthétique hilarante, située entre la parodie de Disney et l’humour acerbe des Monty Python.

La nouvelle mise en scène de Laurent Pelly fait ses grands débuts. Distribution impeccable pour une production qui ne se cantonne pas à la légèreté de l'intrigue.

#Be Classical. À rassembler de telle sorte une brochette de musiciens dont la distribution frise l’idéal, il y avait à la fois quelque chose du flash-mob et de la bande de copains.

Coup d'envoi de la rentrée lyrique genevoise avec le Barbier de Séville, premier volet d'une trilogie consacré à Figaro. 

S’attaquer à Rossini implique de comprendre son alchimie – en somme, de se souvenir qu’il ne peut exister sans qu’on mobilise la légéreté et la tenue, le souffle et la précision.

Il suffit parfois de quelques voix bien choisies pour qu'une œuvre prenne son envol.

Belle idée, pour attester à qui en douterait encore, de la place toute particulière de Nino Rota dans la musique du XXème siècle, que d’adjoindre à ces pages cinéphiliques celles de la pièce de concert Divertimento concertante pour contrebasse et orchestre. 

C'est avec éclat que le Théâtre des Champs-Élysées termine sa saison, en compagnie de la pétillante Pretty Yende.