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En cette fin d'été, le Quatuor Hernani propose une diversité de climats et une puissance collective qui forcent l'admiration, jusque dans un Concert de Chausson intense avec Julien Dieudegard et Jonas Vitaud.

Le chef et les musiciens ont proposé des interprétations exceptionnelles dans un programme pourtant riche en tubes (Prélude à l'après-midi d'un faune, Bolero...).

Après avoir laissé une impression mitigée dans Ravel et Chausson, la pianiste russe a livré une version d'anthologie des Treize Préludes op. 32 de Rachmaninov.

La création mondiale de la Ballade pour violon et orchestre d'Éric Tanguy est une superbe réussite, avant des Variations Enigma heureusement plus poétiques que pompeuses.

Dans un programme de musique symphonique très maritime, Philippe Jordan et l'Orchestre National de France ont montré une fois de plus la complicité qui les unit.

Le directeur musical de la formation parisienne donne aux œuvres de Debussy et Ravel des contrastes abrupts et une vivacité explosive, au détriment parfois de leur onirisme et de leur délicatesse.

Sous la direction de Michael Schønwandt, la formation éternellement jeune de France brille par sa cohésion, la transparence de sa texture orchestrale. Marie-Laure Garnier en impose dans Chausson.

Somptueuse Lisa Batiashvili, éblouissant Yannick Nézet-Séguin : la Philharmonie de Paris s'offre une soirée étoilée avec le Philadelphia Orchestra et son chef canadien, nommé Officier de l'ordre des Arts et des Lettres.

Sous le titre berliozien Des milliers de sublimités, le festival de La Côte-Saint-André proposait cette semaine une programmation riche et passionnante, à la fois ambitieuse et abordable.

Le Quatuor Modigliani et Frank Braley se mêlent au timbre de velours de Cyrielle Ndjiki Nya et accompagnent les danseurs Agnès Letestu et Vincent Chaillet dans un pas de deux plein de grâce.

C'est un public peu nombreux mais chanceux qui a assisté aux premiers pas des Rencontres Clés au Château d'Augerville, tout jeune festival porté par l'enthousiasme de David Grimal et de ses partenaires.

La Belle Saison a réuni les lauréats du Concours de Lyon et le Quatuor Zaïde pour un programme de musique de chambre puissante et raffinée – mais qui manque parfois de subtilité.

Pour le deuxième concert du festival aixois, deux créations de Bastien David et David Hudry se mêlaient au chant de Respighi et au Quintette d'Elgar, avec une pléiade de chambristes talentueux.

Déception à Radio France où la disposition de l'orchestre et la direction peu subtile de Kazuki Yamada plombent la Symphonie de Chausson. Alexandre Kantorow sauve la soirée dans Saint-Saëns.

De Rameau à la composition contemporaine, le programme concocté par la soprano et cheffe d'orchestre fait la part belle au spleen et manque parfois d'éloquence.

Un dimanche matin au Théâtre des Champs-Élysées et un concert d'anthologie, porté par l'alto de Lise Berthaud, le piano d'Adam Laloum, la voix de Lucile Richardot, le violon de Pierre Fouchenneret...

Le Club musical de Québec a offert une exaltante ouverture de saison avec un récital Baudelaire mettant en vedette la contralto chérie des Québécois Marie-Nicole Lemieux et le comédien chevronné Raymond Cloutier. 

Deuxième concert-hommage à Eugène Ysaÿe, à l'Auditorium du Louvre, par la Chapelle musicale Reine Elisabeth : le Quatuor Hermès émerveille dans Ravel, Elina Bukša peine à prendre son envol dans Chausson.

Pendant près de trois heures, le prince des violonistes russes s'est livré à une démonstration de charme et d'humilité sans pareille. On s'incline ! 

Marie-Nicole Lemieux, contralto pléthorique offre un récital jubilatoire soutenu par un Roger Vignoles royal ; malheureusement la truculence déjà légendaire de la cantatrice semble bien mal adaptée à l’exercice du récital.

La Comédie française, la littérature et la philosophie unissent leurs forces avec celles de la musique pour une lecture et un concert franco-russe qui resteront dans les mémoires.

On attendait beaucoup de cette production du Roi Arthus de Chausson à l'Opéra de Paris mais force est de reconnaître que cette redécouverte ne fut qu’un demi-succès ou plutôt même un demi-échec.

C’est avec un silence fébrile et une concentration palpable que le public du Théâtre des Champs-Élysées a accompagné ce récital consacré à Verlaine.

Măcelaru's eclectic programming elicits passionate performances from the Orchestre National de France, and Randall Goosby shows his versatility with elegant and impassioned artistry. 

In a concert taking in music of the Belle Époque and beyond, Dame Sarah Connolly joins the BBC Philharmonic Orchestra in a performance of Chausson’s Poème de l’amour de la mer.

One of the Lammermuir Festival's miniature miracles: Véronique Gens and Joseph Middleton present an evening of French chansons in the East Lothian countryside. 

Karina Canellakis conducts a Franco-Prussian program featuring Beethoven and Brahms in the first half, Chausson and Ravel in the second. 

Joshua Bell brings virtuosic fireworks and generous tone to works by Chausson and Vieuxtemps, while Christoph Eschenbach delivers a Brahms 1 devoid of fresh insight.

La Sinfónica de Galicia, Lozakovich y Chausson ofrecieron un irregular concierto con un Beethoven desconectado y un Chausson ya más vivo y equilibrado.

Duncan Ward leads a varied programme from Bartók and Janáček to Chausson, closing with a benchmark performance of La Mer. 

Vilde Frang and Bertrand Chamayou join the Belcea Quartet for a musical feast including Chausson's sumptuous Concert. 

A lunchtime concert with principal players from the Royal Northern Sinfonia and Dinis Sousa offers a delectable treat. 

Violin dealers J & A Beare celebrate its 130th anniversary in lavish style by bringing together eight of the Cremona luthier’s exceptional instruments for a concert directed by Dutch violinist, Janine Jansen. 

Fabien Gabel and the Pittsburgh Symphony Orchestra bring Stravinsky's puppets to vivid life, while violinist Karen Gomyo delivers passion and pathos in Chausson's Poème.

From the tragically short-lived Guillaume Lekeu to Ernest Chausson's big-boned Concert via Debussy's sole string quartet, a tremendous evening at Wigmore Hall. 

Rimsky-Korsakov and Rachmaninov may be bread-and-butter repertoire for pianist Nikolai Lugansky and conductor Tugan Sokhiev, but the stellar presentation at this Berlin Philharmonic concert was Chausson's Symphony in B flat major.

David Grimal captures the rhapsodic nature of Chausson and Ravel's scores, but how well does the conductor-less approach work in non-concertante scores? 

The first fully staged American production of Chausson's sole opera features remarkable singing, fine storytelling and plush orchestral playing.

Song cycles by Ralph Vaughan Williams and Ernest Chausson are paired at the Barbican.

Violinist Anna Tifu and the Tekfen Philharmonic join together for a richly played Poème before Aziz Shokhakimov conducts Brahms' First Symphony.

Daniel Hope gedenkt der Epoche mit einem vielfältigen Programm von Massenet bis Schönberg.

An evening of “French Beauties and Swedish Beasts” from the Swedish clarinettist, demonstrating phenomenal tone and dare-devil risk-taking. 

In music by Janaček and Dvořák, Kožená seemed to just enjoy the freedom to perform in her native idiom. 

What a day to hear an all-French programme, and with this fragile moment at its heart criticism feels futile, disrespectful even.

A chamber version of Chopin is outshone by Chausson's compositional ingenuity.

Nézet-Séguin leads Philadelphians and Joyce DiDonato in superb performances of Wagner, Bates, Chausson and Respighi.

Here was singing and playing to live long in the memory.

Mary Bevan’s bewitching soprano is the star of a glorious programme of music by Ravel and his contemporaries.

In the last week, the LPO has been on a journey through the seasons. Tonight, it was mists and mellow fruitfulness, courtesy of rarities by Respighi and Marx.