En direct, Vidéo: Rechercher des critiques de musique classique, opéra et ballet | Ensemble de musique de chambre

Tissant un passionnant fil rouge entre des pièces de Scelsi et le Stabat Mater de Pergolèse, Castellucci recompose un livre d’images et de musique grâce à des tableaux vivants saisissants.

Pour l’ultime événement de leur saison, Les Arts Renaissants retrouvaient l’Auditorium Saint-Pierre des Cuisines pour un programme construit autour d’une idée historique, celle des « destins de reines ».

Consacrée à la musique de la compositrice autrichienne, l'édition 2025 du festival a proposé une pléiade de créations d'esthétiques variées, de l'énergie folle de Christophe Bertrand au bruitisme de Margareta Ferek-Petrić.

Associant Quarantième Symphonie et Requiem dans une version reconstituée par Masato Suzuki lui-même, l'ensemble japonais propose une interprétation puissante, rude et sans complaisance des chefs-d'œuvre de Mozart.

Le National et son directeur musical ont proposé un programme festif rappelant que Vienne n'est pas seulement la patrie des Strauss mais aussi le creuset d'une quantité de traditions populaires d'Europe centrale.

Pour les quinze ans de leur collaboration, le contre-ténor et l'ensemble de Christina Pluhar explorent tout le potentiel émotionnel des mélodies baroques européennes autour d'un programme porté sur l'amour.

À la tête de l'orchestre du festival et avec ses complices du Scharoun Ensemble de Berlin, le violoniste et chef a proposé une belle lecture des œuvres brahmsiennes, loin des habitudes karajanesques.

Retour sur un dimanche au Festival de la Grange de Meslay, avec deux jeunes pianistes (Marie-Ange Nguci et Masaya Kamei) qui ont laissé une impression mitigée.

Dans une version arrangée par Félix Roth pour onze instruments à vent et une contrebasse, le chef-d'œuvre de Mozart bénéficie d'une belle mise en place... mais guère plus.

Pas aidé par la direction emphatique et statique de Myung-whun Chung, le lauréat du Concours Van Cliburn n'a pas su déployer son jeu dans le Concerto de Robert Schumann.

Le quintette de joyeux trublions a conclu la journée du samedi en revisitant le Quintette pour clarinette et cordes de Johannes Brahms, sans toutefois parvenir à électriser les foules.

Dans la merveilleuse église de Saanen, le chef d'orchestre italien a dirigé une interprétation exceptionnelle du chef-d'œuvre de Haydn, avec un orchestre, des chœurs et des solistes au sommet.

Initié par Lars Vogt avant son décès, le Festival Brahms de l'Orchestre de chambre de Paris bénéficie de l'investissement et du jeu exemplaires des Tetzlaff aux côtés des musiciens de la formation.

En clôture de la Biennale Pierre Boulez, l'ensemble fondé par Daniel Barenboim joignait la Gran Partita de Mozart à Sur Incises, pour un concert tout en jeux de timbres et écoute chambriste.

Le contre-ténor et ses complices ont livré un concert de haut vol, s'aventurant aussi bien dans des danses endiablées que dans des pages bouleversantes...

Œuvres de Martinů, Turina et Poulenc dépeints en pleines couleurs par l’ensemble de l’Orchestre royal du Concertgebouw.

Sans la mise en scène de Bob Wilson, l'œuvre majeure de Philip Glass révèle toute son inconsistance malgré l'engagement de l'Ensemble Ictus et du Collegium Vocale Gent.

Le metteur en scène propose une vision dépouillée et ô combien poétique de l'œuvre de Mahler, interprétée dans la fosse par le Klangforum Wien dans la transcription de Reinbert de Leeuw.

Le Festival de musique sacrée et baroque de Froville a inauguré sa 25e édition avec une éblouissante prestation de L'Arpeggiata, entre pages savantes et musiques populaires, éveillant des images traversant âges et traditions.

Dans un programme qui comportait les danses et ostinatos les plus répandus de la Renaissance, un quatuor de fameux représentants de Hesperion XXI déçoit, manquant de fluidité et de précision dans le jeu.

Salle Bourgie, l'ensemble montréalais Constantinople a célébré ses vingt ans en compagnie de l'Accademia del piacere, dans un programme foisonnant.

Le fameux Ball im Savoy de 2013 fait son retour dans la mise en scène de Barrie Kosky mais aussi avec la distribution de l'époque, donnant lieu à des retrouvailles aussi réjouissantes qu'émouvantes.

Le ténor américain livre un concert formidable, son chant d'une élégance suprême se mêlant parfaitement à la saveur boisée des cordes de l'ensemble La Chimera.

Le Festival de Royaumont présente en deux concerts « Voix Nouvelles » les recrues de son Académie 2021 : un florilège passionnant où jeunes compositeurs et compositrices rivalisent d’imagination !

Dans l'église Saint-Pierre de Thiré, la mezzo-soprano déploie une voix extraordinaire dans un programme qui aurait mérité davantage de préparation.

Un programme bâti sur des compositions bien connues et appréciées, une maitrise technique et expressive.

Un bric à brac sonore merveilleusement poétique soutient merveilleusement la voix de la chanteuse

Trois ensembles et six clavecinistes ont proposé à Radio France une intégrale des concertos pour clavecin de Johann Sebastian Bach. Le projet a oscillé entre prises de risques décomplexées et miracle musical.

Pour 2e2m, le concert « Memoria » s'est malheureusement transformé en un « In memoriam », à la suite du décès de Paul Méfano. Mais le concert réussit à être aussi un instant de gaieté musicale.

Le double concert de l'Académie Voix Nouvelles a donné lieu à de splendides découvertes dans le vaste réfectoire des moines de l'abbaye, en ouverture du Festival de Royaumont.

Dans l'acoustique généreuse de la Cathédrale Saint-Louis des Invalides, Les Paladins de Jérôme Correas ont interprété avec plus ou moins de bonheur un programme entièrement consacré au compositeur florentin.

Lorsque Max Emanuel Cenčić et Renata Pokupić s'égarent, Peter Van Heyghen garde le cap dans une soirée pour le moins inégale.

Le chef de l'Ensemble Matheus dirige une Italienne à Alger pleine de verve et de fantaisie, et donne à cette version de concert l'entrain irrésistible d'une représentation scénique. 

Le Ricercar Consort nous emporte à la cour princière roumaine du XVIIe siècle à travers la musique sacrée et profane du Codex Caioni. L'immersion est totale !

Une soirée en demi-teinte à Versailles pour des Indes galantes un peu ternes côté orchestre, mais vivifiées par une distribution d’excellence. 

Pour le troisième concert d'Aux Armes, Contemporains ! à La Scala Paris, les quatuors Aeolina et Girard ainsi que Claire-Marie Le Guay jouent Hersant, Matalon, Drouet, Waksman et Escaich.

L'opéra de Grétry fait un retour remarqué sur les planches dans la mise en scène sensible de Marshall Pynkoski. Hervé Niquet dirige un excellent Concert Spirituel et une belle équipe de jeunes chanteurs-acteurs.

Sous la direction de Valentin Tournet, La Chapelle Harmonique livre un Messie inégal en ouverture de la saison baroque de Radio France. Un événement marqué par le secours inattendu et spectaculaire d'Adèle Charvet.

Avec un programme dévolu à la virtuosité chez Offenbach, la soprano colorature Jodie Devos et l'Ensemble Contraste ont ravi le public des Bouffes du Nord.

L'Opéra Royal de Versailles donne Il ritorno d'Ulisse in patria de Monteverdi, dans la production créée en 1998 par William Kentridge. Les marionnettes font toujours leur effet mais la vidéo laisse parfois dubitatif.

C’est à Saint-Roch, vaste nef de la capitale parisienne, que l'ensemble Vox Luminis et le Café Zimmermann ont entamé une tournée consacrée à la Passion selon saint Jean.

Christophe Rousset et Les Talens Lyriques exhument La divisione del mondo, opéra de Legrenzi donné pour la première fois en France 350 ans après sa création. Une découverte qui offre des moments exquis, portés par la mise en scène de Jetske Mijnssen.

Au Centre de Musique de Chambre, « Beethoven Labyrinthus » nous plonge dans le long soliloque intérieur que se tient le compositeur. Une réalisation spectaculaire, tant dans les effets scéniques que dans l'interprétation musicale.

Né en 1922, Ivry Gitlis est non seulement un violoniste mais aussi un citoyen, témoin d'un siècle qu'il n'est pas loin d'atteindre. Retour sur l'hommage que la Philharmonie de Paris lui a réservé lundi soir.

Peu importe le mauvais temps, peu importe les manifestations et récriminations : Rain est le meilleur des remèdes contre tous les maux, une vraie déferlante de bonne humeur et de vitalité. Lumineux, irrésistible… plus vital que jamais !

Vendredi 7 décembre. Loin des costumes à paillettes et autres musiques féériques de saison, l'Ensemble intercontemporain investit la Philharmonie dans un programme 100% Ligeti et 100% macabre.

Le bel âge de la musique contemporaine à Clermont-Ferrand : le Festival Musiques Démesurées souffle ses vingt bougies avec l'Ensemble 2e2m en ouverture. Avec une création de Raphaèle Biston à la clef.

Le jeune pianiste impose une présence faite d'une plénitude pianistique et spirituelle qui confirment ses premiers prix aux Concours Clara-Haskil et de Leeds.

Dans une version inédite de l'opéra de Gounod, plateau vocal de haut vol et orchestre peu inspiré ont peiné à s'accorder.