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Dans un programme de récital exemplaire qui allait de Schubert à Scriabine en passant par Kabalevski, Janáček et Liszt, le jeune Russe a montré toute l'étendue de son talent pianistique.

On ne boude pas son bonheur devant la reprise de la production d'André Engel qui, en 2008, avait fait l'unanimité. La distribution et l'orchestre sont au diapason pour cette belle réussite.

Dans un programme imaginé comme une véritable invitation à voyager, le compositeur-chef d'orchestre a montré tous ses talents de conteur pour le dernier concert de sa résidence parisienne.

Le directeur de la maison lyonnaise propose une lecture de l'ouvrage de Janáček efficace à défaut d'être percutante. L'excellent Alexander Joel est à la baguette devant une distribution plutôt convaincante.

Un quart de siècle après sa création à l’Opéra de Flandre, la mise en scène du chef-d'œuvre de Janáček par l'artiste canadien n'a rien perdu de sa poésie.

Le pianiste offre un récital contrasté, avec une première partie Brahms-Janáček réjouissante, malheureusement suivie d'un Liszt et de trois bis très décevants.

La production du metteur en scène polonais est de retour à Bastille et on a bien du mal à lui trouver des défauts, d'autant que la direction musicale de Susanna Mälkki est au diapason.

Dans un programme qui alliait Schumann et Janáček, le quatuor et le pianiste ont livré une interprétation brillante, expressive et éloquente.

Malgré l'annulation de dernière minute d'un musicien souffrant, les artistes du Rosendal Chamber Music Festival ont livré un programme bouleversant de bout en bout.

Dans un programme original et somptueux, le jeune chef tchèque fait un retour remarqué auprès de l'Orchestre Philharmonique de Radio France.

Sous la direction du jeune chef tchèque Jakub Hrůša, l'orchestre viennois a montré tout son savoir-faire et sa personnalité sonore dans un programme copieux, constitué de tubes de Janáček, Prokofiev et Chostakovitch.

La soprano américaine subjugue dans le rôle-titre, au sein d'une nouvelle production (mise en scène par Barbara Wysocka et dirigée par Elena Schwarz) qui sert efficacement l'œuvre intense de Janáček.

Dans le chef-d'œuvre de Janáček globalement bien servi par la distribution, la mise en scène de Tatjana Gürbaca fait le pari judicieux d’un jeu psychologique pur, malgré quelques limites.

Le programme choisi par Sir George Benjamin pour le DSO nous plonge dans les théories modernes de l’utilisation du son orchestral, de Paul Dukas à Benjamin lui-même, avec le concours efficace de Cédric Tiberghien.

La production genevoise est d’abord un grand moment de théâtre, auquel s'ajoutent la direction musicale convaincante de Tomáš Hanus et une belle distribution, emmenée par une Corinne Winters impeccable.

Le trio multigénérationnel situé au cœur de l'œuvre de Janáček se distingue malgré un déséquilibre entre la fosse et le plateau. Christian Carsten signe la reprise de la mise en scène de Nicolas Joël.

Aux côtés d'un Boris Giltburg explosif, Cristian Măcelaru et l'ONF se complaisent dans un perfection sonore absolue qui confine parfois à une certaine platitude.

L'ovni violonistique Pekka Kuusisto et le pianiste-compositeur Thomas Adès ont livré un récital original et enlevé, imprévisible mais loin d'être incohérent.

De Beethoven à Ravel avec un écart vers Perkinson, le violoniste et le pianiste ont proposé un récital varié et toujours maîtrisé.

Le cinéaste hongrois Kornél Mundruczó propose une vision originale et puissamment dramatique du chef-d'œuvre de Janáček, portée par une Rachel Harnisch incandescente. 

Pour clôturer sa saison, la Philharmonie de Paris a réuni sur scène un casting idéal pour donner La Petite Renarde rusée de Janáček, mise en scène par Peter Sellars.

Le virtuose britannique Benjamin Grosvenor a impressionné dans son second récital au Club musical de Québec, mais guère ému. Du formidable piano, mais une absence de spontanéité qui déçoit. 

La production de l'année pour l'Opéra de Lyon ! Warlikowski livre une interprétation particulièrement efficace du chef-d'œuvre de Janáček, entre parabole poétique et réalisme cru.

Placé sous le signe des célébrations du centenaire de l'indépendance du pays, le festival « Les touches tchèques de la musique » s'est achevé ce dimanche sur un concert mettant à l'honneur la violoncelliste Camille Thomas.

La Fondation Louis Vuitton ouvre ses portes au pianiste britannique Thomas Adès qui nous livre une intégrale poignante de l'œuvre pour piano du compositeur tchèque Leoš Janáček.

À la Philharmonie, l'Orchestre de Paris invite Jakub Hrůša à la direction, le violoniste Renaud Capuçon et la mezzo-soprano Stéphanie d'Oustac pour un programme riche et varié.

La nuit est tombée, la nature s'est tue, le pianiste est là sur scène qui prend possession de la musique qu'il joue avec une éloquence si persuasive qu'on est captivé.

Retour sur la création française du Sieidi du finlandais Kalevi Aho sous la baguette alerte de Marzena Diakun.

Créé il y a dix ans à Vienne, triomphe au Festival d’Aix qui a suivi, De la maison des morts, dans la mise en scène de Patrice Chéreau, est enfin donné sur la scène de Bastille, ici encore sous l’impulsion bienveillante de Stéphane Lissner.

Evgeny Kissin dans le deuxième concerto pour piano de Bartók, avec Lawrence Foster à la tête de l'Orchestre national de France. Un engagement et une déterminatin à toute épreuve.

L'Orchestre de Paris sous la direction du chef slovaque Juraj Valčuha nous offre un programme original autour d'un Bartók plutôt timide, d'un Prokofiev admirable de poésie (avec le violoniste Vadim Gluzman) et d'un Janáček luxuriant.

Très belle représentation de Katia Kabanova à l'Opéra d'Avignon marquée par une très belle proposition scénique et une distribution très homogène ! 

Smetana, Janacek et Dvorak réunis autour de trois œuvres aux positionnements esthétiques différents sous la direction de Christian Arming. Un véritable potentiel émerge de cette rencontre entre l'Orchestre National de Montpellier Languedoc Roussilon et l'actuel directeur musical de l'Orchestre Philharmonique Royal de Liège.

L'Opéra National du Rhin nous livre sa version burlesque et crépusculaire de l'Affaire Makropoulus, l'avant-dernier opéra de Léos Janacek, avec Marko Letonja à la direction et Robert Carsen à la mise en scène. 

Tout dans ce spectacle est justesse, cohérence, beauté. Et le pari de Laurent Joyeux est largement gagné, comme en témoignent les longs et chaleureux applaudissements d’un public entièrement conquis.

Hélène Grimaud nous offre un programme dont l’unité réside dans le thème de l’eau, ainsi que la puissante Sonate No.2 de Brahms.

Damiano Michieletto’s production of Janáček’s opera breaks a key tenet of high-concept opera: where it should reveal, it obfuscates. 

In Coburg lotet Regisseur Balázs Kovalik die psychologischen Extremzustände einer bäuerlichen Dorfgemeinschaft in Leos Janáčeks früher Oper Jenůfa voll aus. Am Ende fasziniert ein tief bewegendes Plädoyer für den Humanismus.

The director drains the life out of an impassioned opera with a staging devoid of authenticity and ideas.

The Royal Liverpool Philharmonic Choir star in Janáček’s Glagolitic Mass after an ideal Pastoral Symphony from the RLPO and Dinis Sousa. 

Janáček’s From the House of the Dead Suite and Beethoven’s Fifth Symphony impress alongside a stunning rendition of the latter’s third Leonore overture.

Eine moderne Sicht auf Janáčeks Beziehungsgeschichte durch Krzysztof Warlikowski erweist sich als vordergründig eindrucksvoll, verwischt aber in weiträumigem Bühnenspiel den Fokus auf die Charaktere der Figuren. Corinne Winters brilliert erneut als zur Außenseiterin abgestempelten Káťa Kabanová.

Robert Carsen's new production of Janáček’s The Excursions of Mr Brouček for the Staatsoper Unter den Linden scores a well-deserved success thanks to a stellar – or rather, lunar – conducted by Sir Simon Rattle.

Orla Boylan’s creation oozes charisma and reeks of entitlement, driven to emotional cruelty by the lassitude of a life too-long lived.

While Uchida’s performances showcase remarkable precision and refinement, they occasionally feel restrained, leaving room to explore the improvisatory charm that make Mozart’s music so compelling.

Corinne Winters is phenomenal as the self-possessed Jenůfa in The Royal Opera's revival of Claus Guth's powerful staging. 

With Petr Popelka on the podium, the Czech Philharmonic provides a memorable commemoration of the 35th anniversary of the Velvet Revolution.

Janáček’s drama of infanticide is delivered at full power by Nina Stemme and Agneta Eichenholz in Annilese Miskimmon’s well-crafted production. The orchestra, however, are just too loud.