Giancarlo Guerrero debutó con la Sinfónica de Galicia, acompañados por el pianista Kirill Gernstein presentaron un programa sencillo pero que redundó en una efusiva y arrolladora velada musical.
Sobresalieron las intervenciones solistas de la madera, la textura de archi -cimentada, fundamentalmente, en el balance entre bajos y violines logrado por Bringuier- y la aportación cromática de la percusión y el arpa. La fuerza de los tutti fue patente, pero operando mediante un contorno nebuloso y conscientemente difuminado, ciertamente apropiado para el espíritu de la sinfonía.
Aparecieron fantasmas en el escenario del Teatro Real; espectros, salidos de la batuta de Gustavo Dudamel e instalados entre los miembros de la Filarmónica de Viena, que nos condujeron entre los sueños narcóticos de un joven romántico francés y la insondable angustia del que fue director del conjunto vienés.
Con el empaste orgánico y la complicidad construida concierto a concierto desde 2011, el tándem BBC-Mena vibró, bailó y estremeció. El torrente sonoro cuidó hasta el menor recoveco de pentagrama, cuajando el mejor de los augurios para lo que resta de festival.
Una notable masa sonora y destellos de intervenciones solistas que atestiguan la prometedora pasta -en realidad, los resultados ya están a la vista- que conforma actualmente la criatura del maestro Abbado.
El Gran Teatre del Liceu presenta, ante una gran expectación, Benvenuto Cellini de la mano de Terry Gilliam. Tras una intensa campaña promocional, asistimos a un gran éxito de la temporada, con Josep Pons en la dirección musical y John Osborn y Kathryn Lewek en los roles principales.
Philip Cobb’s bluesy inflections turned the dear old Barbican Hall into the coolest nightspot in the capital; they might as well have lowered the lights and served cocktails.
Beau succès pour l'ONF et Emmanuel Krivine qui viennent conclure ce cycle Brahms commencé en début d'année, terminant par une Symphonie n° 3 de Brahms particulièrement exaltée.
C’est un Théâtre des Champs-Élysées archi-comble qui a accueilli la phalange autrichienne et son chef Mariss Jansons pour un concert réunissant la Symphonie n° 1de Schumann et la fameuse Symphonie fantastique de Berlioz.
Concert hors-catégorie pour conclure un week-end Berlioz à la Philharmonie : bien entourés, François-Xavier Roth et Les Siècles livrent une interprétation exceptionnelle du diptyque Symphonie fantastique – Lélio.
Au sein d'un week-end consacré à Berlioz, le monumental Te Deum étourdit les auditeurs de la Philharmonie, écrasant la création du Concerto pour piano n° 2 de Jarrell par Chamayou.
Christopher Purves bosses the show as Méphistophélès; Richard Jones' production is intelligent and carefully thought through but ultimately unconvincing.
À la Maison de la radio, Hilary Hahn délivre un concerto de Sibelius soigné, avant de laisser la vedette à un éblouissant Orchestre Philharmonique de Radio France dans la Symphonie fantastique.
Dirigés par Daniel Harding, les Berliner Philharmoniker illuminent la nef du musée d'Orsay dans un florilège d'œuvres françaises et allemandes. Bryn Terfel les accompagne dans une Walkyrie céleste.
Yomiuri Nippon Symphony Orchestra's Sunday matinee, which was the final concert for its outgoing Principal Conductor Sylvain Cambreling, had many French connections.
Dans une création française d'Abrahamsen et dans le célèbre Harold en Italie de Berlioz, la soprano Barbara Hannigan et l'altiste Antoine Tamestit se sont montrés créateurs autant qu'interprètes.
Sous la direction de Tugan Sokhiev, l'Orchestre National du Capitole de Toulouse proposent une interprétation puissante et minutieuse de La Damnation de Faust. Au sein du plateau vocal, les Chœurs de l'institution toulousaine se distinguent.
BBCSSO’s contributes to Berlioz – The Ultimate Romantic with a swaggering Waverley Overture, Dramatic Death of Cleopatra and an intriguing performance of Lélio, or what happened after Symphonie Fantastique.
The SCO delights and charms with François Leleux, Carolyn Sampson and Eleanor Hudson in a thoughtful programme of French music linking the Debussy and Berlioz anniversaries.
Concerto Köln und Nagano rufen beim Einstand zum gemeinsamen Wagner-Großprojekt einiges hervor: Überraschung, Vorfreude und eine leise Befürchtung im Zeichen der Eingewöhnung.
Sous la direction de Fabien Gabel, l'Orchestre national d'Île-de-France défend avec brio le répertoire français, de Berlioz à Roussel, et sert d'écrin au timbre merveilleux de Karine Deshayes.
À la Philharmonie, François-Xavier Roth et Les Siècles ouvrent les festivités de l'année Berlioz, 150 ans après le décès du compositeur. Avec une invitée de marque, l'altiste Tabea Zimmermann.
Dans la Deuxième Symphonie de Brahms, le chef américain cherche l'harmonie, la beauté sonore, l'équilibre, la clarté des textures et du dessin. L'Orchestre de Paris se couvre de gloire.
Au Théâtre des Champs-Élysées, l'Orchestre National de France et son directeur musical, Emmanuel Krivine, délivrent une interprétation sèche de l'œuvre de Berlioz. Malgré une grande Stéphanie d'Oustrac.
Korngold's Violin Concerto from Simone Lamsma is delivered with extraordinary deftness and depth, while Rachmaninov's Symphonic Dances thrill under Yan Pascal Tortelier and the Pittsburgh Symphony.
Pour accueillir Sir John Eliot Gardiner et son Orchestre Révolutionnaire et Romantique, l’Opéra Royal de Versailles a reconstitué le décor d’un « concert monstre » donné par Berlioz il y a 170 ans.
Cantatrice en pleine ascension, Elsa Dreisig se produisait au Théâtre des Champs-Élysées pour son premier grand récital parisien. Une interprétation splendide dans un programme qui mettait en miroirs quelques scènes d’opéra.
